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 ai i JQe/ poissé»; jbafeiîe  le£ '  fdst in a p te . mtiridficMal : 
 les  itidigànics  le  »miamaaçifiBtl:! >  i «tr il,e.afe^afï-<â çïi t 
 comme  un excellent manger, mais les EurQpeens Ittreiet-  
 tent. 
 Le  P L O T O S E   U N I  CO  L O  R E . 
 (JÈ^^ifs^wolèr, K. et V. H.) 
 1  MJVL Kuhl et Van H,asseït ontrqnv^ye'ae Java un plotose  
 teUenient .§emlDj.aËfé'au  ça n iu s,  que>je  .SJpis  fôrt^tènte  
 de  le  prendrerpour la même 
 mais  i l a,les  yeux  un  peu  plus petits,  les  hpbijlons  im  mm  plus  
 longs et. des nombres supérieur^dte rayons'^uxm^eo^res Verticales. 
 '  D.3133îgPg-il^A.  111 ( t ô t . ^ s. 
 D’après  ÇPff|>5if>^-&îun_ 
 l  foncé j  légèrementï olivâtre;  ; 
 »  Wfeé'ëelikùüliôn est long dfe treize, lô u ^ e ^ ^ 
 L e   ■ P l o t o s e . a   plyRESyïmANCH  .;% 
 Yiè^pfâtmiïs  aiMlèibPi^i 4Étib$bp> 
 Les Malais  de  Java  paraissent  employer pour  le  genre  
 entier le nom àe s a m b îla n ^ m e  riom  Bmins dfljivu appliqué  
 au plotose p j® |  du moins, en  avons-nous  reçirsous  
 ce nom par M.  lleynaudune  espèce:fbft-difïerente. 
 1  Sa tête est bombée, presque  àttësi haute q i^lKfg^ du   sixième de  
 la  longueur du M M !  Ses lèvres'sont'épaisses  et papilleuses.  Ses  
 barbill6tis:  nasaux  un  peu. plüis  longs'que  la  tête;’ ^maxillaires  
 d’uû  tiers  plus  cOùrtsf  mais  les:1ittandibulaires  extërnesipresque  
 aussi longs. Sa peau est finement papilleuse. Ses nagebîreS vérücàlçs  
 ,  entourent sa queue  enosWpndissant>!et.non  pas  en iormantiune  
 pointe, ,de sorte  que  la caudale  est  arrondie..