§ 1 6 L I V R E , 3 m i i ï < M & L & e ü P T $ M G I E N S .
ai i JQe/ poissé»; jbafeiîe le£ ' fdst in a p te . mtiridficMal :
les itidigànics le »miamaaçifiBtl:! > i «tr il,e.afe^afï-<â çïi t
comme un excellent manger, mais les EurQpeens Ittreiet-
tent.
Le P L O T O S E U N I CO L O R E .
(JÈ^^ifs^wolèr, K. et V. H.)
1 MJVL Kuhl et Van H,asseït ontrqnv^ye'ae Java un plotose
teUenient .§emlDj.aËfé'au ça n iu s, que>je .SJpis fôrt^tènte
de le prendrerpour la même
mais i l a,les yeux un peu plus petits, les hpbijlons im mm plus
longs et. des nombres supérieur^dte rayons'^uxm^eo^res Verticales.
' D.3133îgPg-il^A. 111 ( t ô t . ^ s.
D’après ÇPff|>5if>^-&îun_
l foncé j légèrementï olivâtre; ;
» Wfeé'ëelikùüliôn est long dfe treize, lô u ^ e ^ ^
L e ■ P l o t o s e . a plyRESyïmANCH .;%
Yiè^pfâtmiïs aiMlèibPi^i 4Étib$bp>
Les Malais de Java paraissent employer pour le genre
entier le nom àe s a m b îla n ^ m e riom Bmins dfljivu appliqué
au plotose p j® | du moins, en avons-nous reçirsous
ce nom par M. lleynaudune espèce:fbft-difïerente.
1 Sa tête est bombée, presque àttësi haute q i^lKfg^ du sixième de
la longueur du M M ! Ses lèvres'sont'épaisses et papilleuses. Ses
barbill6tis: nasaux un peu. plüis longs'que la tête;’ ^maxillaires
d’uû tiers plus cOùrtsf mais les:1ittandibulaires extërnesipresque
aussi longs. Sa peau est finement papilleuse. Ses nagebîreS vérücàlçs
, entourent sa queue enosWpndissant>!et.non pas en iormantiune
pointe, ,de sorte que la caudale est arrondie..