LIVRE X VII. M A L,84. A C 0&TÊ R Y GI ENS.
, 4: «p^edç^pfiéPIfcde« jUe là
lpp§çcule..Le bat^illcn maxihajm.n’atteint )qqe le milieu deï l’opçr-
ugü1^j lfâs àu^e^s sïïp&çieftre
déps^^i^^^blepient J ’ajitpé. lies d^pts(JgS; mâ^b»)Fes sont»en|ge-
lOfUiis un peu gros, mais très-ras; celles du palais, en forme de pavés,
.occupent deux, grands* espaces ovales,« qui s.e touphçnt sur toute leur
longueur par-leiir Jbord interne. La membrane des outes n’est point
-édaanprée. L’épaulette,,, aussi haute que. large et médiocrement
.pointue, est. grossièrement, granulée > comme -le crâne. ,Les: épines
dorsale et .pectorale sont.striées, granulées àlèur; bord antérieur:
‘ la'premièfe*.eStdroitêi,'faiblement dentée en arriéré; la seconde, un
peu arquée et à dents fortes; L ’adipeuse est presque aussi longue que
. l’anale,; et -un peu moins haute.- .
M p f P 19 j C. ltfP. 1/11ŸF. 6.
Noslleçhantillons paraissent d’un gris roussâtre en dessus,
argentes aux flancs et w dessous. Noü$f en av.oûs yj|pn
pied et de dix-huit pouces, venus tous de Cayenne oufâe
la Mâna, par M. Poiteauou MM,. Lescfifnault et Douiûere,
ou M. frère. 1
^ e s t ^aussi de Cayenne qùe'respè’dè'a^t^'.eny^ÿép au
Musée royahdeiLeyd#. ;
Nos Erancais dq-cettp colonie la connaissent^soqs le
nqni ,deifeq4Æ07î. __
Il paraît, quelle offre quelque variété. ,]Le, bouclier,
dans uuljgraùd individu ,.vesL non p.as échanecé, -m ais v $®.up é
en avant eu grande arc rentrant,’ et là pr.oétoinenc« interpari
étale'est^un peu‘ sémPeireülaiiæ. Mais npus Ue pensons
pas qu’il y ait lfèu!’détablir une*e5pùéè sur un caraîctèiè’si
lqger, surtout la grandeur proportionnelle du bouclier
demeurant la même. ÿ
-Le^squelêtte de $ZÉr. quadrisciulis les mêmes dispositions que
celui de %Ar-, luniscutis pour l’arrière de la tête;.on y voit de même
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. îes occipitauxÈxtçri^i^l^îFf$«*fa«e .granulée. Lénprm© hoitqlier
cache ^presque lesdames que le% occipitaux envient à la grande
vedèb^. En-Want réènanerüre des frontaux principaux, est en
^ grande partit remplie pan*: une proilongalioHçépaissie de ces . mêmes
os, qui rappelle celle duba^re-coni'mun, sans être poreuse comme
elle - iei'elle estr au Gpntraire très-'Solide. La première des vertèbres
.qui- surent la: grand© :^'réunit.,|'et est encore-un peu -dilatées et
percée de ht* continuation du canal qui vient depuis leïbaéilaîreaH y
a dixdiùit vertèbres abdominales, trènte et une caudales et-l’éventail.
Lelplus curieux de ces< siluroidesjtdenls palatines en
patvé^j^st' une, ësg^e^çs.Indeg, qui n’a que deux 'bRrbih
lonsposseux dans.leur totalité; ,
-#i>’AMtjét*A BEUX TRAITS.
(Arius militarisé nob. ;■ Silurus m ilitaris, Linn. ?).
■‘ Cette eSpecê remarquable, dont on n’a point encore
publie de figure, iës$ cependant répandue dans* toutes des
partiès.ues Indes ’orientales!,
- Ml Dussumier fioüsd’a rapportée de Bomba# et de Mahé,
sur ia cote de Malabar;, dé Pondichéry et du Bengale, où
M.d^elanger l’a aussi recueillie. ÙlrawouaddLeu a procuré
à M. Reynaud auprès de Rangoonÿ, enfin nous, en trouvons
une bonne figure dans fes dessins« exécutés à Malacca pour
M. Farquhar.* i
Il noiïsfest venu l’idée que cëpoùrrait bièïù être le vrai
silurïiS3'militafis de Linné'"espèce* asiatique, à deux barbillon#
roidis^l’ef dont to,üt lé resté d’une description à
la vérité assez courte Convient parfaitement au poisson que
nops ayons" sous les yeux. Bloch a'.confondu ensuite, ce
silurus. militaris ave c une - espèce : a§u éricaine toute. différente
$odont nous parlerons ailleurs. Malgré cette sorte de