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 ,  4: «p^edç^pfiéPIfcde« jUe  là 
 lpp§çcule..Le bat^illcn maxihajm.n’atteint )qqe  le milieu deï l’opçr-  
 ugü1^j lfâs àu^e^s  sïïp&çieftre 
 déps^^i^^^blepient J ’ajitpé. lies  d^pts(JgS; mâ^b»)Fes  sont»en|ge-  
 lOfUiis  un peu gros, mais  très-ras; celles du palais, en forme de pavés,  
 .occupent deux, grands* espaces ovales,« qui s.e touphçnt sur toute leur  
 longueur par-leiir Jbord interne. La membrane des  outes  n’est point  
 -édaanprée.  L’épaulette,,, aussi  haute  que.  large  et  médiocrement  
 .pointue,  est. grossièrement, granulée > comme -le  crâne. ,Les:  épines  
 dorsale  et .pectorale  sont.striées,  granulées  àlèur; bord  antérieur: 
 ‘  la'premièfe*.eStdroitêi,'faiblement  dentée  en arriéré;  la  seconde,  un  
 peu arquée et à dents fortes; L ’adipeuse est presque aussi longue  que  
 . l’anale,; et -un  peu  moins haute.-  . 
 M p f P   19 j C.  ltfP.  1/11ŸF.  6. 
 Noslleçhantillons  paraissent  d’un  gris roussâtre  en  dessus, 
   argentes  aux flancs et w   dessous. Noü$f en  av.oûs yj|pn  
 pied et de  dix-huit pouces, venus tous  de Cayenne oufâe  
 la Mâna, par M. Poiteauou MM,. Lescfifnault et Douiûere,  
 ou M. frère.  1 
 ^ e s t  ^aussi  de  Cayenne  qùe'respè’dè'a^t^'.eny^ÿép  au  
 Musée  royahdeiLeyd#.  ; 
 Nos  Erancais  dq-cettp  colonie  la  connaissent^soqs  le  
 nqni ,deifeq4Æ07î. __ 
 Il  paraît, quelle  offre  quelque  variété.  ,]Le, bouclier,  
 dans uuljgraùd individu ,.vesL non p.as échanecé, -m ais v $®.up é  
 en  avant  eu grande arc  rentrant,’ et là pr.oétoinenc«  interpari  
 étale'est^un peu‘ sémPeireülaiiæ. Mais npus Ue pensons  
 pas qu’il y ait lfèu!’détablir  une*e5pùéè  sur un  caraîctèiè’si  
 lqger, surtout  la  grandeur  proportionnelle  du  bouclier  
 demeurant la même.  ÿ 
 -Le^squelêtte de $ZÉr.  quadrisciulis  les mêmes  dispositions que  
 celui  de %Ar-, luniscutis  pour l’arrière de la tête;.on y voit de même 
 ClUP.  VI. "A RI U Sv 85 
 . îes  occipitauxÈxtçri^i^l^îFf$«*fa«e .granulée.  Lénprm© hoitqlier  
 cache ^presque  lesdames  que  le% occipitaux  envient  à  la  grande  
 vedèb^.  En-Want  réènanerüre  des  frontaux  principaux,  est  en  
 ^ grande  partit remplie  pan*: une proilongalioHçépaissie de  ces . mêmes  
 os, qui  rappelle celle  duba^re-coni'mun, sans être poreuse comme  
 elle -  iei'elle  estr au  Gpntraire  très-'Solide. La  première des vertèbres  
 .qui- surent  la:  grand© :^'réunit.,|'et  est  encore-un peu -dilatées et  
 percée  de ht* continuation du canal qui  vient depuis leïbaéilaîreaH y  
 a dixdiùit vertèbres  abdominales, trènte et une caudales et-l’éventail. 
 Lelplus  curieux  de  ces< siluroidesjtdenls  palatines  en  
 patvé^j^st' une, ësg^e^çs.Indeg, qui  n’a que  deux 'bRrbih  
 lonsposseux  dans.leur  totalité;  , 
 -#i>’AMtjét*A  BEUX TRAITS. 
 (Arius  militarisé  nob. ;■ Silurus  m ilitaris,  Linn. ?). 
 ■‘  Cette  eSpecê  remarquable,  dont  on  n’a  point  encore  
 publie  de  figure, iës$ cependant  répandue  dans* toutes des  
 partiès.ues  Indes ’orientales!, 
 -  Ml Dussumier fioüsd’a rapportée de Bomba# et de Mahé,  
 sur ia  cote  de Malabar;, dé  Pondichéry et du Bengale,  où  
 M.d^elanger l’a aussi  recueillie. ÙlrawouaddLeu a procuré  
 à M. Reynaud auprès de Rangoonÿ, enfin nous, en trouvons  
 une bonne  figure  dans fes dessins« exécutés  à Malacca pour  
 M. Farquhar.* i 
 Il noiïsfest venu l’idée  que cëpoùrrait bièïù être le vrai  
 silurïiS3'militafis  de  Linné'"espèce* asiatique,  à  deux barbillon# 
  roidis^l’ef  dont  to,üt  lé  resté d’une  description  à  
 la vérité assez courte Convient parfaitement au poisson que  
 nops  ayons" sous  les  yeux.  Bloch  a'.confondu  ensuite, ce  
 silurus. militaris  ave c  une - espèce : a§u éricaine  toute. différente  
 $odont nous  parlerons  ailleurs. Malgré cette  sorte de