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et parcei qu’elié refuse des dentelures ;à d’épine pectorale.
II a¥dit alors ^#u 1’M^ée que «e pouvait !être Ie silurus
fe ü s ;
borèalis americana. >U fawj^^^Q^rqu.er ,que 1^1 .M pb
XXïX, t. Hij de.vSÈ^a, que M. ^jplïaj4^0îiiqi;iÇQ^I>%#te
ne p^pj; s^^gpqTter,pu^qye|la qipialp^eiJije’P l^ ^ té e
divisée* jeni m eq^j lobes poiplJyts., f
' Le PiMËLODE BEÀNCHAIRE; ~ I
(Pim eioaus atbiaus, Lesueur. )
Des différent pina<dq4 ^ n 4 § l'Amérique septentrionale
que JM. Lesueur, a déqötSr dMis ï^s .Mémoires du Muséum
d’histoire naturelle dé Paris (vól. V/pag. ï 48) % celui dont
les.camfetlèrfs paraissent le njienx. ®onyieiairsau PimiXcótus
e^^on pimelodus albidus.
IÏ, lpi/ ;fi§gdfié# fbJaScb§P>ev^t,.4feS iMg^#ires
j| hors 1’adipeuse, qwè%t feupeÿrgcg^tguçl qnil j^peadréienf
, r rpnJeroiPUr>e;d^ r^ ïe s%iiiepïPP^^tlpl?rf;fjlïrn'aF(|ijei >
B. 10j B. 1/fc A. 3àvÆ. ÏO^P. 1
, c rri^js |bjjê puis croire K §§jwfejjfi, ,eti hjpfirajt possible SU'Ü
y eût |» â qvtelqup erreur,^ap%.c£lmdé| ouïes. ■
, - La pajfyiept jesjt! dç; quinze
poPóesK'isa ejb.air est h la â ^ i {et 4 e ihón^Qléo|d.ï L#upnr
l’avait eu dans la Delaware- 9
vnZ fo P ^ è iw D È fK m ÿ iu É ] ^ ^
r r (.tfimelocjMf, nebulosus, jLesuenr.) ,.
i M. Lesueur pari# am même endroit ( Mém. du .-Mas.,
vol ^(pag, 149)ïdkm pimélode qui ressemble au, blanchâtre,
É|6ela près,"
qu’il demeure lëujours plus petit; qu’il est moins épais, et que
sa mâchoire supérie-iïr^est plus longue. Sa couleur est d’un jaune
cuivçé,sa^^&,;des nuaggs 'hrtms si$r-le(®p^ et les côtés; son abdomen
est blanchâtre. <
B. £ ') p. 1 fh ; A.'-il s Jc. 18*; P. 1/7; V. 8.
; L’auteuiyme nous donne pas la proportion des barbillon,
®; mais *ep les éxaminjant sur un iiMi^dusque M. 4 ?
Laru% Yillq#^ln69Psx4 de Francia ^avannab, a envoyé
aq .Cabinet du Roifn ops croyoq^ , j
que le maxillaire atteint à l’eifrémité: de'l’f &de l’épaule, que le nasal
est de moitié »plus éottrt; }e>, èbûs-ihandibulaire externe touche
quart plu^icoprt; la
■ pgu<Jde est fpurçhue, lande U\pin| ;)rrpndif^R,,
C'est, suivant Mf Lesueur, un poisson très^ahondant à
Philadelphie dans la DehSware depuis le mois de Mai
jusqu aux premiers froids de rkiyer.; Il S. la yié* tsès^dlfe :
m chair est blanche et^Eès»e^hi#^?ii
L’individu ^décrit par t M. , Lesueur pétait long de neuf
poih^F1^
Le 1 Pftit,ÉnQPE NOIRATRE.
(Pimelodus ^ ig r^ a p s, Lesueur.)
M. Lesueur démit dam ce mem§ yplume des J|émoires
du IVluséum d’histoire naturelle ( t j/, p. i 53), et y représente
(pi. XVI, fig. 3 ), un pimélqde qu’il nomme noirâtre,
et qui doit |treencore, extrêmement voisin du Pim. chat,
, mais cette, espèce a |e çorps plus alongé; la caudale coupée en arc
plus rentrant, et constamment vingt-cinq rayons à l’anale.
B. 8; D. l / 7 ; A. ^5; C. 16; P. */$; V. 8.
Il nous a envoyé un squelette long de vingt-deux pouces,
et la tête osseuse d’uni individu de vingt-cinq ou vingt-six.