
 
        
         
		est du onzième de celle du corpsj sofl bord antérieur est à peu près  
 de  même  hauteur,  et  elle  commence  à  trois  fois  de  distance du  
 bout  du museau;  elle  a. un  rayon  simple,  mais  flexiblej  qui  en  
 dépasse le bord quelquefois d’un  tiers,  et  quatre fourchus. Tout  le  
 reste  du dos  et du  dessus de  la  queue  est  caréné,  et  d’autant plus  
 tranchant queTon va plus en arrière; en même temps la compression  
 augmente, et  la hauteur  diminue, en  sorte que  le  bout!deila qtteue  
 n’a  pas en: hauteur plus du soixante-dixième de la longueur totale,  
 et  est  trois  fois  moins  épais  il  s^y  joint une  caudale  duvingtièfrie  
 environ  de  la  longueur  totale,  terminée  en  arc concave  et  de  dix  
 rayons seulement. 
 B. 5 ; S  V4jlA. Î6 ; 'C. '10; P.  1/6 ; Y.'ly§! '  ; 
 L’anus est un peu plus en arrière de la base des ventrales, et fanale  
 commence  un peu  plus  loin,  à  l’aplomb du  dernier  rayon  de  la  
 dorsale.  À  peu  près  de  la  hauteur  du  corps,  àld’endroit  oit  elle  
 commence, elle diminue peu k mesure qu’eôes’étendsdu^ & ^ e u e ,  
 et vers  la fin elle est encore plus .que double de la hauteur du bout  
 de  la queue. Sa membrane atteint  la  base  du  rayon  inférieur, de la  
 caudale;  Cette anale  a-cinquante-six  rayons ,  tous  kE|i*plés|ônfâis  
 sans branches. 
 K“ Le  poisson  entier  est  revêtu  d’une  peau  douce  et molle,  d’un  
 gris  brunâtre  en  dessus,  semé  de quelques  points  blanchâtres  sur  
 la  tète  et sur quelques parties  du  dos-; elle  est  en  dessous  uniformément  
 blanchâtre, et l’on ne voit nulle part aucune âpreté.Salqfoe  
 latérale  est  une  suite  de  très-petits  points  saillans,  tous contigus.  
 On  voit  au-dessus une  série parallèle  de  petites  élévations  ou  papilles  
 très-peu  saillantes, distantes les unes des autres, et au-dessôüs,  
 vers  le  devant ,  une  série  semblable  de ; très-petits  filamens,  qui  
 disparaissent  bientôt vers, l’arrière. 
 Le foie- de: l’a&prède; lisse  ést trës-divisé,  et: donne- a ,dr@iteaaàne  
 languette terminée par un tubercule  trièdre, qui touche, k la poipte  
 des  ovaires.  | 
 L’estomac est  assez  ample,  et arrondi  en  cbmue^tantrétroihen  
 avant, renflé en arrière. Bm côté gauche, et vers -le milieu de -sa long. 
 np,ir) if  p.(.ijUe.branche montanteou un commencement d’intestin, 
   qui §e pq.rte dans l’hypçcopdre d^oit, y fait plusieurs  replis,  
 remonte eifsuiie, en  se  plissant  plusieurs  fois, Dour arriver près  de  
 djjmTjmqstin rdqscend .droit  vers  l’anus. 
 La  rate,  située' sur  la  fin de  rëètfdmkc,'Wt  petite,'pififôrçie^  et  
 située  èpjtre  les  deux^ovaires  et l’ès'tb'ma^  Ee's^ ’ovaires sont petits  et  
 .  contiennent detrèsrgros  oeufs';1 Ce'^qui pourrait ’ faire penser  que  le  
 poisson ..est-vivipare. 
 La yessie aérienne; esjt composée de deux lobes ovoïdes, situés de  
 chaque, çotéj de la vertèbre. Les parois en son^fifoet^e^ et argentées. 
 Les reins; sont* gyç>$ntrièdres, eomipencent dprpière la .y^ssig natatoire, 
   et forment âinsiunévi^Me  Len travers -^e l’abdo- 
 '  men  et  donnant' directement  dans  unev^prefon^  , 
 caéhée  dans  le  fôrid  de  la  rainure qui sépare Jes deux  ovair§s. 
 JNouS.e,navons des individus d’un pie<M;elong^t^^aptage.  
 Ils  yiennerit  tç>£ts  desy rivièr^s d§>.la (^ruianê  ils  y^Sènt  
 fort.communs,  à  en  juger  par jU ^ pmbfe  des jndiyidus  
 que nous dèvoias a l '  Le ’Prieur ^Jaiairés naturalistes que  
 nous  avons  déjà  cités  pour les  animaux dfè f gageure, >dé-  
 posés.^B eux dans fo;(]abfo>ét. Levailfont ;a; eu  oé poison  
 a-ussi c^minam. je ne sais sur quoi.se fonde Laeégéde ( t.; Yj  
 p.  781, Jforsq^il  i^ tq u ’ij^ e n   a  p^.ut-âtre  dans Jgs  Indes  
 oriep|§ue$. 
 .  »  b ien   l ’espèce rep ré sen té e ,  et. d é c r ite   par  B a lk   e n   
 iq 46  .dans  le  Muséum  p rin c ip ù   (Amen..qoad.?  I ,   p.  3 i o ,   
 e ®  pi.  ‘en^d^cailMieS“ huit* b a rb illon s ; 
 pॠ le  tàiürüs'  a sp reû d ' de  Lin né. 
 *A rté ffi,à!ï)ien dSHMtdfn sSèbà^ tom. I I I ,   
 l^ & rp p d vm s  d a n & j s o n . G m é l i n   a  
 eu  ^ o r t.id ^ ^ tfflWQn ^ re vpvpq{ fa  figure  dçf K le in   (Il&M-  V , 
 Vj  8 ) ,  et av5ec ,1e,  ,de(JÇrrQnqyius,  qui 
 appartiennent  à  l-espè^e  d on t noirs, alloAs parier,,  jy