LIVRE X VII..286 MlLAeOPTÉRYGIENS^
1rs ventrales, et que les sous-mandibulaires^R^ternes défassent les
. pectorales. Si.ces trois caractères sqnt'rç.els, e’e,st une espèce, ,à part.
""On lui donne pour nombres ;
JA,;*^ ^"4f ^ s
mais Jn. premier au moins ne doit,pas, être exact. ■
Bloqh avait reçu ce poisson.de-Trafiquebafr, où les Tamoules
le nomment tteli.
Il n’est pas trèfr-Rèr que le silurus bâtrachus de Linné
soit le même que celui de Bloch; mais ce que le premier
en dit de particulier est si bref, que, l’espèce n’eu serait pas
facile à déterminer,; celk.se réduit .aux.pombres,
B. 5 5 D. k f l ^ / T p V . 6f .v
et-à l’origine , habitat in Asia^ mais il esTfoèt douteux (fue
les nombres aient été b ien coMptéSv
f Xtf J I àRMOUTH RACCOURCI. £
- X p la rîâ s ^aBW-ëWçf^s'f hofr ) '
MM. fîydoux et Sonleyet ont pris à Macao un harmoirth
de-soif^ëo^s Rentre
toutes cëf espécblde l’Inde ihcorps en génëraî angüillifomàe.
Le casque est convexe et finement granuleux; sa proéminepce
est obtuse et cou'fté. Sa bailleur, au milieu, ésî c inqftis nîécis sa.
longueur totale. Le barbillon maxillaire est gros, mais n’atteint pas
le bord de l’ouïe.; le nasal est pins grêle et plus: long.
, D. 62; A. 32., ^ ...
Le dessus de la ,|ête est gris. Let corps est brun.
Il est long de sëpt pouces.et demi
iOJiAm ^Ê$MÊÊÊ0 ÊÊÊê 28 7
M . J^ô <Harmoxtth de .5sTrEü:H0F. : .$
(CràŸias fiîieühojftix p|É|
Les .clarias do ni. nous a^on^parlé jpsqu ici ne different,
commé on voit, que par des cata obères -assez légers^,, et il
y en.a même, surtout5parmi les espèces-des Indes que plus
dorn?naturalistespourrait-ne^egarder que comme des variétés;
mais celle-ci e t la fttiv«iie5 sont parfaitement - distinctes
par leur forme alo^ig^g^et*pâr la réunion de leurs
trois nageoires verticales. Jet|jpej m’étonnerais même, pas
qu'e des naturalistes en fisse.JSLun*. gen^e particuligi;.,,.. ;
Le harmouth de. Nieu^of S§st la première..^psèç« du
ge’nre qui ait été Vonnue; car^cggt: évidemment 1 anguille
tachetée ou lamprèye > des Indes de,,^ieuhof
'Sa-tête., mesurée jusqu’t/Fouïeilait le huitième, et jusqu’au bout
l’occiput, un peu^ du sixjèm5?j sa longueur totale. Sa
largeur est des deux tiers de.,sa longueur/ Son' feston occipital .est
très-effacé ; g sa surface est' deg^rement chagrinée; les solutions, de
continuité n’y forment que deux petits trous ovaleS. L’épine dorsale,
faible^,à peine un peu, âpje .au.hprd, n’a -que lè vingtième de la
longueur du poisson. Les dents’ Vbmériennes sont sur de larges
croissants-et un peu obtus, rappelant celles de la seconde espèce
du‘Nil, mais moièâTôMik Les barbillons’ inaxïîbires atteignent le
bout dèdâ pectorale.;Les derniers rayons de la dorsale et de l’anale
s’unissent à fe'fcaudale, qui ne s’en distingue que par Un peu plus
dq longueur ides siens. É#8
90 ou 92;'*&. 14; JC. I l ; P. 1/9; V. 6 .
Il paraît d’un brun »roux, un peu blanchâtre eu dessous, et a
huit bu dix sénés verticales de tachés d’un blanc jaunâtre et plu-
1 - sieurs autres ‘taches semblables y répandues irrégulièrement le long
de la ligne latérale.