maxilice inferioris affiguntur proxime ante linguam, et
longitudinale er supra maxiïlam usquead apicem exten-
duntur; seulement il comprend la lèvre dans la mâchoire.
M. Geoffroy ne l’a entendu appeler que schal sénenMe
ne vois dans.M. Riffaud aucune figure qui lui convienne
parfaitement. Mais en supposant que ce dessinateur ait
néglige les franges des barbillons maxillaires, ee serait;son
gourgar bouzari; du moins ce dessin offre-.t-il tous. Jes
autres caractères du senen; mais i l est «enluminée d’olive
foncé sur le dos, nuancé de rougeâtre vers vie ventre j les
nageoires rayonnées;ÿ sont teintes de i^iNa§eâtfe, et
des nuages gris et roses sur l’adipeuse.
Ces couleurs indiquent peut-être une différence des-
pèçe, que les voyageurs sont invités à constater..
L e Schal G uÎémel.
(Synodontis membranaceus, Isid. Gcôff. ,-p. 160, Eg., pl. 13 ,
fig. 1 et ■
Cètte deuxième espèce, représentée dans l’ouvrage Sur
l’Égypte, pl. XIII, % î et a , se nomme, suivapt M.
Geoffroy, dans la basse Égypte, schal guémel ou schal
gaumari, et dans la bautë, gourgar hengaoüiou gourgar
callabeÿ et on lui'donne atissï xm nom figuré, aboy-sari
(père du mât), à cause de son5épine dorsale, que l’on a
comparée à un mât 5 mais ce nom sp donne également aux
elplces voisines et par la même raison. M* Riffaud a très-
bien représenté celle-ci, sous le nota de gourgar-chami,
qui apparemment est usité danS quelque canton dé la
Thétététclè, probablement par oppositioh au nom de gôur-
gar-aràbi, qui est donné à fespèce suivante.
I i Bes, dents4 4de la
iLylep.a dfx7huit. ou^ii^g# La,|‘|w^^riferieui?e, ne$ormo pas- de
.pointe saillante. Les^b^bil^pns maxîllaix§s.rf ont pas de ,filets‘»latéraux
, mais, mit'élar^issempiit membràn eux lç 'lpng. de* leur .bord
postérieur. ffe-ISlèts lateraûx'qWux barbillons sous-man-
'dibulairës,' ertls en ont‘llôu^i'ës "quatre j'auoitpië la figuré'de M. Redouté
n’enMonnV-pâs aux externes, Les’bornes du’bcrdèlier'sont
‘plusîdourtes-et' plu^o'MtfsesÆe' crâlfê %Ê ihoins lâr'gep'le^'yeùx
plus'rapprochés?: il if y al jguèfiest entre jeux iqu’un, "diamètre'. I/ép'ine
«ÔôÈsaler nja jfointjTidej'^fntSfan-fb§|^ qui||^f sipplement
tranchant.sut<3tou,t% safehaujtejgr^ -jl-fif-y pn aï^que quelques*petites
au bord^pbsféroeur. L’adip,euse'U©rnmfiixeeâmmédi;afei^ent^p7ère
laj. dorsale, et .est plus longue et plus hautç. La caudale ‘ et l’anale
ont Souvent de>peUte§ractes brùheV entée leiirV râlons : Tel lobes
'eiAi|crîït ùâ^è^plus pointus^ef 1 ë-'SupéViéufï<ùn pëu plus long.
Ses.'nhnxhres ‘sont, les m'êpies que? rda*nst le* sénJf slnen,
MMf.' t / ^ \ 718fcT ; '
’ et irl’égUle aussi ou il l^sûr passe mémeTquelquefoi s par la taille.
.M*.’ Redouté le représente d un poûibé nin qteunib'iifa^soinbre
wauë le sçnen. J^Ia^ sayfiguj%.netd OM à ,pas. à^épipeipéjctoralè des
derqs as^ez forteskï^eau&oun pjçès„,et naanques^pnnn.e^ d lfedu
schal-senen, 'ifeicette partie ’angïî^ei^e
"maxillaire. Da?nsd^|fîgures 8è M. ffifiaud il paijai,t aussi d’un plombé
plus otrmpns gnsâtreyet l’on y vl^|mèmeritiin' peu"de rougeâtre
’Via 'baWllé sa' qorsaxe.
^uTe ^éXtrduveIP-sofi^’s^uelétle^qhe sept vertébrés ’abdominales,
porUMÏ'dra'çtttesyet-vingl^-quatre cabales.,n
■ On. ne mçqt <^oqÿp^^^la,pardcu\atri|étgniy^n.^e,, quelque
exttjnordinâipe qu ête.rp \V 8 iis e jj,\,q u i ^o^nt^étudip ,le$
pqiçspm»ï yivans, t Ce^poi^spn . . n a g e ; t..cqnsfemm ont
sttr le' d osj^&,dirige^ taptqt e^ayani;,, tapfjit
de côté ;mais lorsque quelque danger£è^nonti?e> tlTeprerid,
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