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 pointe  de  la -caudale ; ‘ÿ^ierae,  l ’<»ïf|^Qpej|iuW  *£  bëaaii  
 çojup  de,gS^ries d i s p o s é e s - e n , l a  mç.|jT  
 bfaneg dont  le  premier  .^ .  larafcjet, strié, longitudinalement. L ’hu-  
 xneral  n’a  qu’une  poufte  très-courte .près  dfe  sa  rencontre avec-le  
 •surscapulaire;  répine  .dorsale  est, grêj§,~ non  dentelée,. à  peu  près  
 de  Ia~ Hauteur  du  corps  la’ pectorale,  à  peu  près  aussi 
 longue,  est  ùnr peul-plus  .forte  et  très-finement  dentelée  au  bord  
 interne.  Les .vçrçtrales  spnt  un.peu plus courtes  que  l^  pectorales.  
 La longueur deTaqipeuse est. oe plus-dn quaft de celle du poisson,  
 mais  -eue, eft  fort, p^sSp.  L ’anale  n’a  pas  le  tiers  de  sa. longueur,  
 mais  elle jee*  plus  haute^que  longue; ïësdobes  assez'pointüs  de  la  
 caudale-’dm  le  cin qUïèmé^ue  la-longueùr- totale.  g 
 i   B.  l/*y A .a â f^m  et5{il-oàeuïipefcits';!® .  i f t 2djiy. 6. 
 ‘ Toutde, ce nps  11 état  sec,  paraît  en  dessus^d’-unigris»  rodssâtre 
 semé  de «taches frondes  etI nqirâtres  sans  ordre,  et-plus  pu^ moins  
 sçrrées .efr" nombreuses,  selon  les  individus:  Je  n’en  isjoisjpoint  sur  
 la.  tète;  le  dessus  est jaunâtre  pâle;  les  nageoires, paraissent.fauves. 
 D aprèsdes figures deFeuilléede fond serait d’un jaunâtre  
 très4pâl%  les‘!T&ch’ê^ ndirâfcrës,  les 'nêfgC0ffiès, ^ris'ê&"-^1  
 iVL  d’Orbîgâ'y  nbus*rflrt ''que  les  tâdFé^afféht  â Tîtfffhi,  
 et  disparaissent  quelquefois  entièj'êïïiënt.'! 
 Il  a  .rencontre'"  dans  le  Parana,  depuis* le 
 latitude  sud, .et plus-bas. dans  la riy^èi^-de  la  
 Plata. A Corrieiiçes  et^au-dessus  elle  est  s.eAentaiijejj jmais  à-  
 Buénos-Ayres ejle n’arrive que dans le mois déSeptembre,  
 et  eu  repart au  mois  de Maçs* EU'e.est  commune  partout,  
 et- vit en  troupes. Ellë së nourrit de petits vers Aquatiques.  
 On  la  péché‘à  la ’îieùe‘,  la  nuit  seulement.  Sa  chair  fest  
 très-bonnelg t   fort^tiiàëe*^ Buénpè-Ayïës.  -Pàtf'esffWon  
 pom^gujirapi,  quelles Espagnols  ont  adopté. 
 Qest un poisson  dg,;fçmd, qui  aime surtout  les bancs  de  
 sable  dans les  lieux où il y  a peu  de  courant, 
 L e  Pimélpd’# sapo 
 (Pimelodus  sapo, nob.; d’Orbf, Voyâge dans l’Amér. mérid.,  atlas  
 .içhîhyo].,  pl.  I l ,  a 
 venu.  de  BuénèsyA^pés!^t?ibnyo^éî;îîpâr  M.  d’Orbigny  en  
 mêihétempfeJ qu;eKlë {wl'éë^ëîat (ÎPzm.  Sebce), h t  â  'très-peu  
 pîës Ldës  mêmestFdfMrés>et  dl& meifife? Vouleùrs,  seh  distingué“ 
 4  * 
 pkrce  que  sa mâchoire rMeïaëure  est  un  peu  plus  avancée  que  la  
 ÿ  ‘ Supénèürè;' parçe fqué  son. craîneiiést plus plat, moins  ridé j  et  que  
 la  solutiôri  de  c.ohtinuité  yj  est  moins  apparente;  parce  que!ses  
 '  yeuV^sont'  plus  petits’,  du  huitième  seulement', de  la  longueur  de  
 la  tête,  et  à  tM^iamèbqp ,,et  aemi’vl’un  de  Tâutm  Sa  dorsale  a  
 une  épine  grêle et septVayops  ràoys ;, son  épine pectorale  es.t  plus  
 ronde,  m oins fo r te'mèn t  dentelée,  plus -lissé.  Les  autres  nageoires  
 sont Semblables,  ainsi  que  les  barbillons. 
 ijlfiEÀ-t limite,.-: 
 La!dorsale ‘A  lesTnêmes  dispositions  de  couleur;  l eaos  çt  les  
 dotés  sont dlun  giis noirâtre sans  taches,  le dessôus'd’un  gris  bian-  
 .  châtre,; etc. 
 '  ÎNbtre-individu  est  long  de  quinze pouces.4  * 
 ' • 'l•M.;-d,Orbilghÿ• iftfosA^Ltéb'd  que  éèst un poisson  assez  
 rare,  qui  vit.  isbTé^  et  que  l’on  pêche  dans  la  riyïëre  de  
 la- Plata s-ur les  fonds1 de'sablë^  la "nuit, au hameçon et  au  
 filet.  11  arrive  à Buénos-Âyres .au mois  de  Septembre,  et  
 en  repart au mois-dè ’Miârs.  On  lé  dit bon  à manger, mais  
 sa., chair ;est molle. 
 Les Espagnols Rappellent  bagre  sapo}  ce  qui  veut  dire  
 bagre  crapaud.