LIVRE X W 72 MALA^C&P'PÉftï'GIENS.
’ une sorte de‘ »vüloské sur les flanevsous l’épaule, et elle »paraît
s’étendrê. jiifsqu%Iknalè. Le-'resté de la peau ^essis lisse»
L’individu, d écoloré, a quelques restes de teintes verdâtres.
Êeïfeièiest mince et divisé eû^ grands tebes a p ^
est épais, terminé en cpt-de^saC;-et donne sü£ le;côté gauche,
après une Ouverture k pyferique très - étroite ; un î#ès*l*geiduo-
dénum, qui remonte 'âusdèssws - d e l ’estosmàG et se'ieontinue en
v , conservant un grand diamètre, et un intestin replié surilûi-inême
nombre de fois et- comme »fraisera
Les ovaires sont très^gros, et» les oeufs .sont tien-développés.
On voit » que l'ouverture extérieure des ovaires est bien, distincte
de celle du rectum.
? Les' reins sûnr <gro'r; * »distrndfe ,uetKsktië!s .de chaque côté de la
pointe'dèla vessie matapoiEe^Cellefrci^a »ses parois-paisses; elle »est
pointue enarrière; Ses itfùstdfes^sonlï'fdt’ts :^SarfeouleuR est» argentée.
■ J ’ai trouvé’dans son estonka®*; des petites valve^emàènes d%aio.
Cette’* ddsSnptic^a^eSt faiï#M’ap$ls "lé seul exemplaire
que nous aypns trouvé dans la collection de feu Jacque-
mont. tl esOon§Çe prèsV^l’un pied.; .
g 'A m i® a. p ïQ ¥ # ü-.:
( Arius hasyitw, no£^ Atl. du voy. deJacq., pl. XYIÏI,
"Les collection^ dë^cfe mênae voyageur avaient aussi une
autre^éàplfcè très-^PÎÉiiC'^dd’ cëlle-ci par plusieurs cfé. ses
caractères, et qui'y, étaqreprésentée par un seul individu^
long de quatre 'ponces seulement.
Elle a, comme la précédente, »sise barbillons insérés de la.blême
manière, deux maxillaires, deux sOus-mandibulaires et deux nasaux;
ceux-ci sont à peine visibles; tant ils sontvcourts. Les dents ides
mâchoires sont ; très,-petites ; njeape puis en -Voir de grenues à la
mâchoire inférieure; celles du? palais sont sur deux plaques bien
mieux divisées que celles dès précédées. Gette sorte de dentition les
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rattache aux arius; on ne pourrait en faire une coupe sous-générique
que sur la considération dçs barbillons. Le corps est plus haut de
l’arjàère, et plus-trapu que le précédent et cependant la hauteur
du tronc sous les pectorales n’est que. du cinquième de la longueur
totale.
La têtè ÿis$2st Comprise quatrefois. Le mUsëau est plus avancé et
. plus arrondi.; les yeux, un peu moins ovales, sont beaucoup plus
grands, qar leur diamètre dépasse le quart de la longueur de là tête.
La produCtioninlerpaiiétale et le chevron des premiers inter épineux
ressemblent pour la coupla celle-de >Y$dr. rita ; mais leur surface
est lisse.»,Les mastoïdiens sont peu visibles; les surscapulaires
forment une 'grande plaque osseuse' triangulaire. L’huméraT est
pointu en arrière, et finement grenu ; l’épine dorsàfe, d’un quart plus
thaiufe que le trôna mesuré sous elle, é$ï plus longue que celle du
précédent, mais moins que celle de XAr. rita. L’adipeuse, est plus
longq^^a plu^ .feorçhue,, l ’épine pectorale p§u forte. Les
nombres sont les, mêmes.»,,
B. 8; D. l/Bjk A. 12, etc. $
; Gette espèce a aussi quelques traces de» villosités sut les flancs
près delà région pectorale. Le corps, a. été vert, et les nageoires
paraissent avoir été jaunâtres.
Je ne connais rien de particulier sur cette espèce, que
j’ai fait représenter dans l’atlas du. Voyage de M. Jacquemont
(pl, XVIII, fig. 2) , pour faire partie des documens ich-
thyologiques^ lalssés paf cet ânfôrtuné savant. J’ai tout lieu
de croire que le petit arius "figuré pl. XVIII, fig. 1, du
même ouvrage, et que je considérais alors comme une
espèce distincte, n’est qu’un jeune individu de cette espèce.
Liés voyageurs qui verront ces poissons vivans décideront
cette question.
Mais, les Indes possèdent d’autres de ces siluroïdes à
dents en pavés,.à six barbillons, disposés comme à l’ordi-
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