CH AP. XI. ©O R A S. 1 9 9
CHAPITRE XI.
. 'Mes ■ Dom& $ îLacép'.^&ii
M Ées d&ras à ^ M^ée lM©èpèdé, UoiU dérivé sans doute
de^^lunë^lanc'ê^'Vdht des piméiodês dont la ligna latérale
est cuirassée de plaques -osseasesy carénées, ieç 4ter-
minië^eh&emnei par umê'iépte.iË’arÀuï-e de leur têfevet
de leur nuque est semblable à celle dès auchéniptères,
coMfK-djrej que, k u r première, plaqué ir&erépinéhâé ;*èst
apparente et euchasse’é(entrp le casque et un grand, bouclier
en forme de cheVrbn. Xeur production huméràie ést aussi
très-grande, et leurs- épmesr dorsale etpeetorale sont très-
^ësses! >et fortèment deatèesv ean. sorte que fou peut les regarder
commedeux destbusdes siluroïdèsatexquèls la nature
a d onné les armes-défensives' et offensives les plus puissantes';
aussi v<©fy©ns“n©>usi que, dans les colonies espagnoles d’Amérique,.
ils ont; reçu le nom de rrmta caïman (tu e ü rd e
crocodile ), pUrce : qu’il leur arrive souvent r. lors qu’ils sont
a^^^pabeiâfi'^Eaiiaâs - r^>iâèes| d ed ^H reo leur pharynx et
leur .oesophage an point dfe'des daire périr: Déjà Strabon
a^âkvMÆribué un pouioîTr pareil aux pioissdMinasnduïiWii qu’il
nommait porcus, et que l’on .avait cru être* les; séhaïs.
Mais- c’est' sans doute un ïsapport fort exagéré que celui
de Gumâlla; qui-nomme ;qes poissons bagres afrmés, et
dit qu’ils-but, depuis les ouïesjusquaubout de la queue,
des pointes osseuses fort ; aiguës, faites; comme les serrés
d’un aigle, et que, nageant atepié vite^e d’un traita ssrls
rencontrent un -poisson^ Un eaïmânUu un homme, ils les
mettent; dans un tel état qu’ils ne èauraient plus vivre.