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 CHAPITRE  XI. 
 . 'Mes ■ Dom&  $ îLacép'.^&ii 
 M Ées d&ras à ^  M^ée lM©èpèdé, UoiU  dérivé  sans  doute  
 de^^lunë^lanc'ê^'Vdht des piméiodês dont  la ligna latérale  
 est  cuirassée  de  plaques  -osseasesy carénées,  ieç 4ter-  
 minië^eh&emnei par umê'iépte.iË’arÀuï-e  de  leur  têfevet  
 de  leur  nuque  est  semblable  à  celle  dès  auchéniptères,  
 coMfK-djrej  que, k u r  première, plaqué  ir&erépinéhâé ;*èst  
 apparente et euchasse’é(entrp le casque et un grand, bouclier  
 en forme  de  cheVrbn. Xeur production huméràie ést  aussi  
 très-grande,  et leurs- épmesr dorsale  etpeetorale sont très-  
 ^ësses! >et  fortèment deatèesv ean. sorte  que fou peut les regarder  
 commedeux destbusdes siluroïdèsatexquèls la nature  
 a d onné les armes-défensives' et offensives les plus puissantes';  
 aussi v<©fy©ns“n©>usi que, dans les colonies espagnoles d’Amérique,. 
  ils  ont; reçu  le  nom  de  rrmta caïman  (tu e ü rd e   
 crocodile ), pUrce : qu’il  leur arrive souvent r. lors qu’ils sont  
 a^^^pabeiâfi'^Eaiiaâs - r^>iâèes| d ed ^H reo  leur pharynx et  
 leur .oesophage an  point  dfe'des daire  périr: Déjà  Strabon  
 a^âkvMÆribué un pouioîTr pareil  aux pioissdMinasnduïiWii qu’il  
 nommait  porcus,  et  que  l’on  .avait  cru  être*  les; séhaïs.  
 Mais- c’est' sans  doute  un ïsapport  fort  exagéré  que  celui  
 de  Gumâlla;  qui-nomme ;qes  poissons  bagres  afrmés,  et  
 dit qu’ils-but, depuis les ouïesjusquaubout de  la queue,  
 des  pointes  osseuses  fort ; aiguës,  faites; comme  les  serrés  
 d’un  aigle,  et  que,  nageant  atepié vite^e  d’un  traita ssrls  
 rencontrent un -poisson^ Un  eaïmânUu  un homme, ils les  
 mettent; dans un  tel  état  qu’ils  ne èauraient  plus  vivre.