20 L IV R E 'X VII. A È JÇ O-M'-ÉR.YÔ I E n S; .
Là pointe Huméralef 'âeu±^fbk/^M^ÉiiS!gke>'q0e!:ÆM^WWèsiim^S£-,
est : finement^ granulée,* otil^ltiï6L'^ViëiSMW]Ée^L,'epW®uleeSf^#ne-
ment, mais profondément, 54Ùié.:L^pilfë«'de‘>1#'pectordfeîïest plus
, large, plus plâtej'granùlée aü bord antérieur/'fhrtfemeât dentée' au
postérieur. Celle de la dorsale Cs^fiôrtê,» mÄ^i§^deHt^©ntJ:fei|les.
L ’adipèuàfe‘est plus longue que banale, et coupée comme dans lé
P l-L a ü lan tii. Le caractère le plus marqué.de l’éspèce est dans ses
derfts supérieures, qu^H^upent d’ahô'rd *iâk'e fort large’bande in-
termaxilfaire, fuis un grand espace en forrhe de reinjsur lejjeyant
du vomer, et enfin, plus en- arrièr^ deux qspaees obl.ongs îqngi-
f tudinaux. Elles sont parjout emvelotirs fin,, assez tas. Iæs barbillons
maxillaires atteignaient au nùimp la fotnte des ventrales, lesquelles;
égalant presque lésipeè'tôïialfes.j* '
:?B.’io ou il? d. i/6; a. i% ç : i f 0 ^ .1 6 .^
' Notre individu est long de quinze policés. ;I| |a^téfig5riS
dans la rivière de Saint-Franf6is(, atx£Bî\ësil, par M. Auguste
de Saint-Hilaire; ej paraît, dans l’état sec, d’un brun vér-
dâtre en dessus, "d’un blanc jautfâiré en dessous et-aux
nageoires.
L e P latystome a, mus£Ap *|Plat.j
( Plaijstôm a platjrh jnch os\ nob.)
Pa rmi ces poissons à- museau äpläfâf, eplui-ci l’a encore
plus plat que les autres,■ et il diffère encore de tous les
précédons, a
parce que c’est sa. mâchoire* inférieure qui est la .plus avancé» - Ja
supérieure est comme tronquée en ligne droûei §çs d.ents sont en
VëîôürS ras• 'les mandibulaires sur une bande étroite; les intèr-
maxillaires sur que bande large latéralement; étrbite dans le milieu;
les vomériennes sur un espacé sêmi-cfrculaire et transversal-
les palatines sur deux bandés longitudinalés poiütûé's. SonÂSi-âne
est strié et granulésa proéminence interpariétâlei'assez étroite et
aiguë, refieimtre la pbinte'dfe la plaque interépineuse, "qui lui lest
CflAP. V. PL AT«Y ST O M ES* 2 1
-1iI égale^lfcnfigrariMür et ten1 configuration ; - 1Ïopercule est légèrement
* :gtdéfdsa? p o in t e epnrté<} l’épine ; 49r"
sale,grêle.et à,dentsfiteèsrfines; l’épine>pectora 1^ plus forte, finement
dentelée en; s.ea# contraire à sjes-dents; ,l’adipeuse.aj^ssi .longue
que- l’anale.barbillon/maxillaire.-dépare ïes ventrales, qui sont
un peu moip^-ryeWiq-fiéflés ®^^'draiés. Lé lone superieur de rIa caudale?
est plus êtrôît et plus aigu que l'inférieur:* hi l?un ni l’autre ne
pa’raît ’avëir eu de filet;
«B. 19 oïl MipD. lÿfe A|^^K,;19>kP. ; V. 6.
Ce poissoia^est veïiw aw Gabinet du Roi defccelui de Lis-
bonhë : dans la liqueur1
il paraît‘fauge efi.de^uà^Ùancb^tre' en de^sdus, dt il a de chaque
' JCÔtë Une suite longïtudinalê-dé^epiqf'tfà^sii'tælie^dites^ placées
à égalés distances^ et dont Ta dernièrea' la base dii lobe’supé-
.jiâeu-Êt 'de la c^Uda],e-.y.és deux oü trois premières sont sur .la ligne
latérale, -lies suivantes .aû-dessus. f
L ’individu est long de huit à ineuf poncés..:
1 DES g a l e ic h t h e S !
m / ialeichthys. nob.)’u^
: On peut aussi former un groupe : dé siluroïdes^oisins
des bagres , et caractérisés par une tété, -ronde, couverte
dé 'p'ëâu, sans casque distincte La menibrane branchiale
n a qüe sîi rayons.
On peut fel dfyiseren deux'sections; l’une reconnaissable,
aux six barbillons qui entourent la boàehè| les espèces
de la secqnde n’en qyant que quatre.
Çes siluroïdes sont généralement désignés, sous le nom
dé catfish, ou poisson chat* sans doute à cause des bar