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 Là pointe Huméralef  'âeu±^fbk/^M^ÉiiS!gke>'q0e!:ÆM^WWèsiim^S£-,  
 est : finement^  granulée,*  otil^ltiï6L'^ViëiSMW]Ée^L,'epW®uleeSf^#ne-  
 ment,  mais  profondément,  54Ùié.:L^pilfë«'de‘>1#'pectordfeîïest  plus  
 , large,  plus  plâtej'granùlée  aü bord antérieur/'fhrtfemeât  dentée' au  
 postérieur. Celle de la  dorsale  Cs^fiôrtê,» mÄ^i§^deHt^©ntJ:fei|les.  
 L ’adipèuàfe‘est plus longue  que  banale,  et  coupée  comme  dans  lé  
 P l-L a ü lan tii. Le caractère  le plus marqué.de  l’éspèce  est dans  ses  
 derfts  supérieures,  qu^H^upent  d’ahô'rd *iâk'e  fort  large’bande  in-  
 termaxilfaire,  fuis  un  grand  espace  en  forrhe de  reinjsur lejjeyant  
 du  vomer,  et  enfin,  plus  en- arrièr^ deux  qspaees  obl.ongs  îqngi-  
 f  tudinaux.  Elles  sont  parjout  emvelotirs  fin,, assez  tas.  Iæs barbillons  
 maxillaires  atteignaient au  nùimp  la  fotnte des  ventrales,  lesquelles; 
  égalant presque  lésipeè'tôïialfes.j*  ' 
 :?B.’io  ou  il?   d.  i/6;  a.  i%  ç : i f 0 ^ .1 6 .^ 
 ' Notre  individu  est long  de quinze  policés. ;I| |a^téfig5riS  
 dans la rivière de Saint-Franf6is(, atx£Bî\ësil, par M. Auguste  
 de Saint-Hilaire;  ej paraît,  dans  l’état  sec, d’un brun  vér-  
 dâtre  en  dessus, "d’un  blanc  jautfâiré  en  dessous  et-aux  
 nageoires. 
 L e   P latystome  a,  mus£Ap *|Plat.j 
 ( Plaijstôm a  platjrh jnch os\  nob.) 
 Pa rmi  ces  poissons  à- museau  äpläfâf,  eplui-ci l’a  encore  
 plus  plat  que les  autres,■ et  il  diffère  encore  de  tous  les  
 précédons,  a 
 parce  que  c’est  sa. mâchoire* inférieure  qui  est  la .plus  avancé» - Ja   
 supérieure  est  comme tronquée  en  ligne  droûei §çs  d.ents  sont  en  
 VëîôürS  ras• 'les  mandibulaires  sur  une  bande  étroite;  les  intèr-  
 maxillaires sur que  bande  large  latéralement;  étrbite  dans  le  milieu; 
   les  vomériennes  sur un  espacé sêmi-cfrculaire  et  transversal-  
 les  palatines  sur  deux  bandés  longitudinalés  poiütûé's.  SonÂSi-âne  
 est  strié et  granulésa  proéminence interpariétâlei'assez  étroite  et  
 aiguë,  refieimtre  la pbinte'dfe  la  plaque  interépineuse, "qui  lui  lest 
 CflAP.  V.  PL AT«Y ST O M ES* 2 1 
 -1iI égale^lfcnfigrariMür  et  ten1 configuration ; - 1Ïopercule  est  légèrement  
 * :gtdéfdsa? p o in t e   epnrté<} l’épine ; 49r" 
 sale,grêle.et à,dentsfiteèsrfines;  l’épine>pectora 1^  plus  forte,  finement  
 dentelée en; s.ea# contraire à sjes-dents; ,l’adipeuse.aj^ssi .longue  
 que- l’anale.barbillon/maxillaire.-dépare  ïes ventrales,  qui  sont  
 un peu moip^-ryeWiq-fiéflés ®^^'draiés.  Lé  lone  superieur  de rIa  caudale? 
  est plus êtrôît et plus aigu que l'inférieur:* hi l?un ni  l’autre  ne  
 pa’raît ’avëir  eu  de  filet; 
 «B.  19  oïl MipD.  lÿfe A|^^K,;19>kP.  ; V.  6. 
 Ce poissoia^est veïiw aw Gabinet du Roi defccelui de  Lis-  
 bonhë  :  dans  la  liqueur1 
 il paraît‘fauge  efi.de^uà^Ùancb^tre' en de^sdus, dt il  a  de  chaque  
 '  JCÔtë Une  suite  longïtudinalê-dé^epiqf'tfà^sii'tælie^dites^  placées  
 à  égalés  distances^ et  dont  Ta  dernièrea'  la base dii  lobe’supé-  
 .jiâeu-Êt 'de  la  c^Uda],e-.y.és  deux  oü  trois  premières  sont  sur .la  ligne  
 latérale, -lies suivantes .aû-dessus. f  
 L ’individu  est  long  de  huit  à  ineuf poncés..: 
 1  DES  g a l e ic h t h e S ! 
 m / ialeichthys.  nob.)’u^ 
 :  On  peut  aussi  former  un  groupe : dé  siluroïdes^oisins  
 des  bagres ,  et  caractérisés  par  une  tété, -ronde,  couverte  
 dé 'p'ëâu,  sans  casque  distincte  La  menibrane  branchiale  
 n a  qüe  sîi  rayons. 
 On  peut  fel  dfyiseren  deux'sections;  l’une  reconnaissable, 
  aux six barbillons qui entourent la boàehè| les espèces  
 de  la  secqnde  n’en  qyant  que  quatre. 
 Çes  siluroïdes  sont  généralement  désignés, sous le nom  
 dé  catfish,  ou  poisson  chat* sans  doute à  cause  des  bar