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 Li’ârifice  supérieur  de  la  narine «st tm  petkvtrôù  rond ,  à moitié  
 de la distance «ntre l'oeil et le bout du museau; l’inférieur  est encore  
 plus petitet à moitié de  |a  distànee  qui'resté»:  ni  l’un  ni ;|tej$tre  
 •n’a  de barbillon  ou 'de  rebord  saillant. L’ouïe n’est OUverteqfiede-  
 puis  le bas du surscapulaire jusqu’à ïâ hauteur de  l’épine pectorale, 
 ‘  'oéi-la'ïnëiribiyfe•sefd&tM’h&méraLIl y a sept rayons branchiaux,  
 d&èft'lés prâaiiers  sont  jplàïS  et  assez •'fJÊWÉÿf 
 caôhés dans leS chàirs; le’septièmë est comme  un fil. La pomté’hu-  
 mérale,  dè moitié "plias ïongùë que haute, finit eîï  afiglé:dè plüsMe  
 quarante-cinq degrés,  et est  fortement  gmfinlémL’ëpfi®ê pedtômle,  
 deux fois plus  longue- et  du  cinquième  de  la longueur  totale,4pst  
 très-forte,  comprimée,  Striée  longitudinalement,  ët  a,  lë^Ohgfâe  
 son  bord  externe,  de  petites  dents  serrées,  dirigées  obliquement  
 vers la pointe : le, quart environ dé cè bord  vers l’extéémité-ést simplement  
 tranchant.  Au  bôrd  interne  sont -dés  dènts  moins  
 iééusës, mais bteanêbti|) ^ u s   fortes  ët Hiè'si|)ëifi%MlH diri^éfl Ters  
 la  base.  'L’épine  dbrsale>  tin  peu  plus  lbngùé  que d&j pectorale,  
 également-  forte -ët 'striée,  à'irasri^c^dë® • sbrtêS'de  dem^oeais  
 les postérieures  sont moins  fortes  et  seulement Smtiëfrs  supérieur ;  
 les  antérieures;  âu ébntraire,  ne'garnisséfitquë lës d e ®  tiers  inférieurs. 
   La  dorsale  prend  sur  le  dos  un  peu  plus  du neuvième  de  
 la Ibngüëur  totale-;  puis  vient un  espacé  presquè  auèsi  Ibfig  sans  
 nagëoires,i’,ët  alors  commence  •Ffi^{)teuèieiy(^!' ^ !-d ^ ?pé¥5  plus 
 lorigueet n’a'guèrëunhàüteUrplus'düquartdesaprb^ëfonlufeur. 
 Après tme petite 
 dftle,  qui  contourné' lè ’boüt 'de  la qfiéuèi‘^. ’pféndrë du milieu  de  
 leur »base , les  lobes de-la*'caüdale ont  le quaéf dé la longuëùr totale,  
 et/dsf sont éloignés l’un: dg.l’autre deplùS>dès  trois  quarts dëïdbtte  
 longueur.  L’anale répond an dernier tiers de fadipeuse,  et son bord  
 antérieur a le  dpubl£ de m/lnnguem^,©e^iè^e .©§& ^éji||.n|^<%es,  
 le  bout  de  queue  n’a  plus que  le  douzième  qu  le  treizième  de  la  
 longueur  totale  en hauteur,  et  .son  épaisseur n’est  qüp  a'u;.f|ëmde  
 eettè  hauteur.  Les  ventrales  répondent  à  la  fin  deJa  dorsale ,  ét  
 sont d’un  ’ 
 B.1) D; tyÿty m m   'f*. 
 i g ^ Ê Ê ë l^ i0â Ê Ê   ^ ^ 
 O’ap^ la  Iffiljfft pqyBflaffi  ^gypîe^ aë M? li^^nté le joqpe» 
 1% c o u je q r ,c te ( pqi.SA^ateAL nq,pfôipbq‘noi£atrç  uniforme. 
 L e ioim est «très-petit,&   en  dseux ^,kçs_.é/rrpitsfet, pointus, 
 situ/s^e  G^aque, c ^ |  de J ’jÇstorn^c ;  la.jV.ésiçule, dp  fiel  es^ ronde,  
 as^ez  grqssppoug  le^yqfume  du  foie. R 
 L’^oesQphàge,.es]Uéti}oit,fîqpoiqpe  tçès-çourt, ,et  nj^que  peu  de  
 plis  à  l'intérieur.* L’e^feqmac, est beaucoup  plus  large ^  arrondi  en  
 eulrdeTsap  en p;rrièr,s,£te-4qwi, fait que J e   oardiaest  ici  très.-marqué.  
 L’intestin,paît  $e  la  branche  montante  de  f  t^tpmae;. la .paroi  de  
 p^^-j^nrtjnn  pylorique  est  assez  épaisse. 
 ; ^^.^è^Tpince T jjjfofrfiph «m . .aps  
 niqqesjes  p|is  longitudinaux  ,et.  igs  tyilj^ i t éjl  d^^sa^niuqpeuse.  
 L’intestin,*qpi e^ftrès-lpng, fah„des.r1ephsttrès^ombreux^îet après  
 le  duqdépipn  qn  1^ yoi^se, r^égii;. beauçtojipspour;  prendrepîi  
 nouveau  plps. de  lasrgei^ji^qqesjauprès  de  l^valvuh qui  marque  
 le  rpftnm;  l'intestin  est alors  aussi  l?rge  qu’à  son, commencement,  
 le  rectum,.qui  ya.drpit  àfTanps  depuis  ,près  de,la  moitié; de  la  
 IjongK^ç dfi  àhfcminale, est plus»ifpf^t qjie  la t e r ^ i^ o n 
 d,e yfTTtaaffî^[-|CT^| n 
 Leg,reins; .spgit. yolumineuxiJs,'do.tinent,dans une vessie urinaire 
 ..sÉÉEsfelSSPnb 
 La  vessie  aérienne  est  grande,  bilobéç,  à  parpis  argentées. 
 Outre  les  caractères  communs à tous  les gobais,  on  peut remarquer  
 dans  le  squelette  du  senen  neuf  Vertèbres  abdominales!.et  
 vingt-six  caudales.  L’anale  est suspendue  par  ses  dix interépineux  
 &pps les apppfopj^êpiiiepsesinfé.rieUjres,:depui^la huitième vertèbre 
 caudale  jusqu’ftf la .ireirièmp, ; |  Ë 
 La  figure  rie »Redouté,  gravee^dans  l ouvrage  ri’Ëgyp.te  
 [lôc.  ma® O doute *%#ng  d’un pied- 
 Nt)S ‘échantiuaiîs  n’ont.pas  louf-à-fait  bette  taille. 
 C’est  à  cette^ëspfëcb1  seule  que  répond  la  description  
 que  Hasselquist  donne  des  dents  inférieures  dVsfm  çla^  
 rias :  ossicula  sçptern longiuscula syrsuin arçuqtqf çppi-  
 pressa,  in fasciculum  disposita,  apiee;  uncihata,  basi