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é jÊ Ê diaque îhypqcondre. La vésicule -du fiel est petite;
son canal cholédoque est court; les reins sont épais et.plus longtemps
séparés que dans les autres. La vessie aérienne est oblongue,
arrondie en arrière^ elle n’a pas.de muscle? propres aussi épais.
IJNos échantillons sont petits (de six à huit pdùçés); mais
lesplbe deviént grande. Selon M. Buchanan, elle arrive
souvent à une taille de t^ois pieds. Elle est commune dans
les bouches diÆange ; et sans passer pour un pçisson de
première qualité, toutes les classes d’indigènes à qui il est
permis de manger du poisson, s’en nourrissent volontiers.
DES S1LÔND1ES (S ilün-d ij , nob.).
Les Silondies sont des siluroïdés| vûisfetes des Bagres,
à petite tête lisse, fort semblable à celle des sehilbés, à
très-«petite adipeuse, à longue anale, qui n’ont que les
deux barbillons maxillaires, et tellement petits, qu’il faut
de l’attention pour les découvrir. Leurs , râlons bràn-
chiostèges sont au nombre de douze. Leurs dents les
mâchoires, sur un ou deux‘ rangs 'seulement, sont plus
longues "'et moins semées que dans "les autres silùroides.
Nous n’en connaissons bien qu’une espèce,, le pimelodus
silundia de Buchanan; mais" il me paraît que le pimelodus
chandramara du ipêçaç auteur s’en rapproche au moins
beaucoup; 1
La SlLONOIE ©y ÇçANQE,
ÇSilüridia Gangètiàa } nbb. ;,r :Pimelodus silundia, Bûchant )
n’a picore été publie^ que par M. Hamilton Buchanan,
p. 160 et pl. y,II, fig. 5p. Nqjjs en devons quelques indi-'
vidus à MM. Duvaucel et Dussumier.
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