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 et la figure qu’il a  donnée lui-même  (pl. 372,%.  1 )  est fort  
 peu  exactei  surtout  pour  la  queue. 
 Linné, dans le  Jdusee  d’Adolphe-Frédéric,  page .73,  a  
 l’air de supposer que les épines denjçlées de ses pectorales  
 sont  une  transformation  de  ses os pharyngiens. 
 Singularis admodum pücis  dentibus faucis exeuntïhiis  
 pone  caputy  radium que pinnoe pectoralis primum  èxtlde  
 denticulatum  constituentibus. 
 J’aimerais encore mieux, s’il fallait Choisir, l’idée de ceux  
 qui  en  font  des  coracoïdiëTîs  déplacés ;, mais  ni  l’une  ni  
 l’autre .nest  vraie f ce, sont,  comme  dans  les  sifor^Sr,. .des  
 premiers  rayons dont les ârticulations  sont soudées;.  . 
 L ’A s p r è d e   'a   v i iA m eWs? 5  ' 
 ( Asvrèàj&Æamentosiis, nob.) 
 M. Le Prieur  vierfPdé ¥àppô¥tet  dé  Cayenné' un  autre  
 asprède  à  huit filamensj  et qui se distingue  du prejc(Étant  
 par1 plusi eurs  caractères.  ! 1 
 Le museau est beaticûup-plus rétréci én-âvant, deSorte que rogive,  
 de la  tète  est plus pointue.  Le  dessus  de  la  tête,  entre  les' ratines',  
 sans’ épines.  Le  barbillon  maxillaire  -atteintbalïFW'de  
 .l’épaule, et.il  a près de sa base et en'dess©us:un très-petit barbillon,  
 que l’on rîaper çpÎLqu’en y regardant ^f^iptentioh.* Les barbillons  
 sous-maxillaires sont de simples.filets' ^çèsj:grêles;,.comxne des  cher  
 veux, et se.«cpnfondent avec  les nombreux  filamens, aiyissi  fins, qui  
 pendent  sous le ventre. 
 Le  premier , râyoft  de  la  dorsale  est  prolongé  en  un  filet,'qui  
 est  nidins  loAjjfque  là moi tié,  in^heaiicoup  le tièrs5|é 
 la lohpÉénf* totale. Les  épines durayén di lM^éîfthrafe, -su^ lé’ujèm  
 interne seulement, soht au nombre de quatre' ouicinq, et*tȑs%fofies.