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septième de sa longueur : elle est granidimv Si^ ^aAjilQ^^rïiont
aussi ;épteess aw,3s i 1 sm s^fu s^ tiàimsÊjm.
qui fajt sa principale diSçreD-ç^S’e&tJàipetUessq de sesf ^rouç|ipx|
latéraux, ils sont en forme de reins et o n t o milieu une fortejbâ*-
rene cîocnù^ et terminée" en pointIPaigue' mèmieîs, sb'iîs la
Ëraimïie^Mera|e du n6üc1iër",^mi ji>pÉttitf^e ' tafi!quremê'"cl^ la
•■ fiàuieiif "du* coMps à cet—endroit • vfers dWri-èrë", île grandissent un
peu, et leurs1 'lobes ent a leur surface, près du 'bord supérieur et
■ dë - rinférieun^v quelques, petites :bptne?(:l.eéuejaées et". d§tigéfiSï.en
arriéra Leur .nombre .varie de vjngt-deu^ ouving$^r-©istà vingtif
cinq^ou vingt-six., .qt.plus en-avant. 3, y a ^ ^ a ï q o d e u x
petits ^grains sans’; <^rène. . .L’ad®eus§^st ,{med|4ene;, oblique. La
caudal^est cmusée en deux“ lobes pomtus, de mlW'du ciniÿiièmè
de la longueur no taie-, s&es petits Tayons au-dessus.'et au-dessous
de sa* bas©1 sont larges et courts, au ïpoîùt:àe réssemhler'à^es
écailles, mais bien p'I«s;petits que dans le D. cà&tatus. Il y%|pük
, rayons aux ouïes. - ;
D. ’if$\ Ai 18 j C. 17 et atr^Àfôinâ'*28'’petitsf P. 1/9] 'Vt 7.
Dans quelques •individus la peau du -ddS etdes »flancÿ, o&e en
cerfains endroits de très-petits grains nciifâtrefe; mais ïlïyren’alaulsi
dont htpëauïesl lisse, et ciest pourquoiije n’ài pasieràfdieKéà^feT
. iserver l’épithète que j’avais dopnée’ à l’espèce : j’en tirp üne(plus
caractéristique de ce^que se^ qageoires soin semees dej'jpojnts et
de petites taches noirâtres, sur un fond brun-verdâtre. Un individu
paraît même avoir eu des-taches noirâtres é^confluentes f&ur lajfecë
et le troncs
L’individu querj’vüdécrit a quatorze pouces de longueur :
à son. étht.æc il parait d’un fauveUniforme. Ceux de M.’d^Dr-
bigny, q u i ont mieux conservéieur couleur, n’ont que ofke
ou douzje poupes; maisn;<pvoyageur nous apprend qu’il y
en a de près de deux pieds. C’est d’après l’un de ses individus
queq’qn ai fait donner une figure coloriée, dans
l’Atlas ichthyologique de son Voyage dans l’Amérique
méridionale, pl. V, fig. 3 ,
C%sli4videmment É | le sdip hàgr ê/ou bagre de roche,
de Margrave',' p. i ^4^Gtïurutti dè Pison, p. 6 5 , que Bloch
a cru mal à propos Synonyme dû côstdtus. Nous y rapportons
aussi une figure dans le livre de Meptz.el, intitulée
guiri..
PqsJ* une de espèçes dont les pêcheurs redoutent le plus
les épines.? Leurs piqûres, selon Pison,.ou plutôt les déchirures
quellesoecasionnent, tuent souvent apres des dou-
leursêtdesangôissesterriblesrOûéna quelquefois prévenu
lè danger en appliquant uti elfepflâsbfe' fait avec ïe foie du
poisson brôÿë dhtis de l’hurlè.1' '
A b nénoi-^lyrpf^t clans toute la république Argentine on
eqnp^|t, .çe poisson sous le nom d'q/rmado. C’est un manger
fpet.estimé^pn le, rencont^ toute l’année, à. Gorrientes et
au-dessus dans Le Parana. Il Commence à descendre au mois
d’O ctobre j ; et demeure à Büénqs^Ayfes pendant toute la
saisôn des chalèurs.
L e D oras a écussons dorsaux.
* (Doras dorsaüs, nob.)
C’est ici l’espèce que j’ai décrite dans les Observations
zqqlofiques de M. de Humbalât, tom. I I , p. 1S4, sous
le nom de doras carinatus; mais ce n’est pas le silurus
carinatus de Linné, comme nous le verrons tout â l’heure.
J’ai dû. changer l’épithète que je lui avais donnée dans
le travail de ma jeunesse, quand'je commençai mes,premiers
essais, en zoologie; car il date de 1817; celle que
j’adopte aujourd’hui est plus convenable.
L’échantillon qui a servi de sujet à ma description, est
conservé dans ïâleooi, et a été envoyé anciennement de
Cayenne au Cabinet du Roi.