CH 4P; XVI. PLOTOSES. 54 7
D.'lOS;, C. l l j A. 97 fàjjsf. 211).
lie tubercule anal estigros '^t^coniquje s le;ramifié me paraît plus
branchu qüqn&lui des autres pspèpes^i
Conservé.dans4’alçaoL,11 narak tout nqif, excepté içs lèvrJej3,,„qui
sont n l f f ^ ^ f t ’rais,' il a aoesi'des teintes verdâtres.
( Les prérrîiers’ renlis de l’intpljn sont r^marqqajajes par l’intensité
de leur' coméuV’ iîôire ; d’âillëurs, ’lesr vfsCer és " res'Setnblent> a ceux
I deyprêGédéîds/; ;
L’in&ividu du Cabinet Jsïloug a ’un pied.
M. Reÿnaud ncfus apprend' que lVspeee'esff assez rare à
Batavia^' It que ^ês poisson^atteignent rarement à quinze
pouces'
L e P lotose \ grosse .■çète. .
Siàr^PdotosuS' macrocephalus, nob.)
1 Cettef ésppfiey€^ due à Pérôn.qui l’a prise a Timor? à ce
que noùs' èjoyoris. On la dïsdngtte aisément
\ s a ‘grosse têtç, du quart de la longueur,totale, d’*un quart seulement
“moins large que longue, et de monië moins épaisse. S‘és yeux, du
‘ 'neuvième .tfe la Tongulur de la' tète;, a peu prèsiau milieu de cette
longueur,-à deux diamètres et dertiï Pun deu’âütre, Vont1 presque
■ diriges vers Fé Kaut. Ses^ lèvres sont''tri^iéjpâiîss'ës, garnies de beaucoup
de grosses papilles charnuès. Ses'Wlnllôn^masaui-ét mândîbiilâires
externes n’ont pas moitié de la’ Ifjngueùrjde la ftète; les maxillaires
, et les .mandibulaires internes sont ^rfcore’plus .courts ; tous sont épais
à leur base.
D. 9 6 '^C Îfîf1; A .-9 5 tW . 2 0 2 T “ i.
Cependant ces, chiffres ne sont pas absolument certains, attendu
;que le bout de la queue est un peu mutilé.,, _
-Notre individu; est long de dix-huit pouces : il paraît
dansda liqueur d’un gris brunâtre en dessus, plus pâle en
dessous.