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 D.'lOS;, C.  l l j   A.  97  fàjjsf.  211). 
 lie  tubercule  anal  estigros '^t^coniquje  s le;ramifié  me  paraît plus  
 branchu  qüqn&lui des autres pspèpes^i 
 Conservé.dans4’alçaoL,11 narak tout nqif, excepté içs lèvrJej3,,„qui  
 sont n l f f ^ ^ f t ’rais,' il  a  aoesi'des  teintes  verdâtres. 
 (  Les prérrîiers’ renlis de  l’intpljn sont r^marqqajajes par l’intensité  
 de  leur' coméuV’ iîôire ;  d’âillëurs, ’lesr vfsCer és " res'Setnblent> a  ceux  
 I  deyprêGédéîds/; ; 
 L’in&ividu  du  Cabinet Jsïloug  a ’un  pied. 
 M. Reÿnaud  ncfus  apprend' que lVspeee'esff assez rare  à  
 Batavia^' It  que ^ês poisson^atteignent rarement  à  quinze  
 pouces' 
 L e   P lotose  \   grosse .■çète.  . 
 Siàr^PdotosuS' macrocephalus,  nob.) 
 1 Cettef ésppfiey€^ due  à Pérôn.qui l’a prise  a Timor?  à  ce  
 que noùs' èjoyoris. On la dïsdngtte  aisément 
 \ s a ‘grosse têtç, du quart de la longueur,totale, d’*un quart seulement  
 “moins  large  que  longue,  et  de monië moins  épaisse.  S‘és  yeux,  du  
 ‘  'neuvième .tfe  la Tongulur  de la' tète;,  a  peu prèsiau milieu  de  cette  
 longueur,-à  deux  diamètres  et dertiï  Pun  deu’âütre, Vont1 presque  
 ■  diriges vers Fé Kaut. Ses^ lèvres sont''tri^iéjpâiîss'ës, garnies de beaucoup  
 de  grosses papilles  charnuès. Ses'Wlnllôn^masaui-ét mândîbiilâires  
 externes  n’ont  pas moitié de  la’ Ifjngueùrjde la ftète;  les maxillaires  
 ,  et les .mandibulaires internes sont ^rfcore’plus .courts ; tous sont épais  
 à  leur base. 
 D.  9 6 '^C Îfîf1; A .-9 5 tW .  2 0 2 T “ i. 
 Cependant  ces, chiffres  ne  sont  pas absolument certains, attendu  
 ;que le bout de  la queue  est un peu mutilé.,,  _ 
 -Notre  individu; est  long  de  dix-huit  pouces :  il  paraît  
 dansda liqueur  d’un gris brunâtre  en dessus, plus  pâle en  
 dessous.