
 
        
         
		awtamüM&5 0 iv^t  érygieiîs. 
 billon maxilléifce  Atteint  la  pointe dé  l'épaulette,  qui  n’est  pas plus  
 longue  que  haute;*,1e-  sotiâ-màndibulaire  externe ,a;  un  tiers .de  
 moine;  le eaaque  e^IijMrtefflent^ a ^ ul^repient  gé|pülé, ses  grains  
 étant »disposes en rayons qui partent, sfensiblemenudç certains cotres  
 ètnltlifefont  une  èiselur.e,,rî^yr.,qnaMe.  Ce  grenetis  Se,.porte  Surjffes  
 branches1* externes  iüsque'svte'nire  les  ÿéux-; •ÿéë'haüGrurev entre «tees  
 branches- ést  çn. angle qfort ouvert,  et  n’a  à* son;,.Sommet« qu’une  
 solution  dg^pOnt-inuité 'étroite  et-assez courte.  La production interparié  
 tdlen’a  guère  qu’ppr sixième  <Je_~la  longueur*de  la*tête,  elle  
 comprise;  sa  basé éeale^a^OSgÛAitrj.’son  stgUmet est échahcré  par  
 une-po'injfee  ’de  la  plaque interépineuisè"^u  bouclier* :qùi.* est*. trian-  
 gulgiré^|^^^|j.4,esfc veinea- entEBS^èstaa  la^regioh; temporale  et.  sur  
 l’operculeLjmaisaa  joué,èst-lisse.*L’épaul'eBte m on tra   peine  quelques  
 «grains ; .l^s^fépinès^îso^ft «b5ijtes;jAgranufé^|J,iFu*fbqr.d, £OTé^mur ;  
 le§  dentélurës'jpostéçieuÿres  sont  fail|]jgs  celleriu  ql;0.s 'sât.^ës? faéfes  
 ridées; en travers jJu celles des petàpralés  elles sont lisses". L’adtpguse  
 ..est-,  presque,  aussi  longue^ que da  .doÿsaj^;i^les*  yentrale^x^galent 
 _presque  les^ peçtp râles.;  les ,lo^es_riefla,caudale  s.onf,arrondis  et,du 
 septième  de:la  longueur!totale;. 
 -  B5*Â;  6.*.-  ' 
 ,Ce poisson-aje dessué  et t<^hq|é§  bleu  .d’aciérlhrun  clai i ;  
 le  venfm ..argenté;  l^ t nâgéo'ireS ;.griseÂ;> son, :adipeu§,e.Æt^iioife,  
 bordéé lde  fauve  à  l’apg^e, er.au bor^]^^prièun,^Lpçs^)u’il,j|s^<fp|is,  
 M.  Dussumi.er  dit  que  le, dos» ést bleu  avec  de’fe  teintes  pourprées.  
 '"Le.  ^birMfaaiées 
 "de  bleu,  if* 
 ,  SêS  Vtefeèrés  ressemblent  à  celles  des  espèces «voisirteSflawéâM’e  
 ■  aérienne^ une, tunique épaisse,  fibreuse.pt ar,genté^.ti^s^dhërente  
 à-la grande vertèbre. A rintériéüV'la.ifietnbfàA'e^rûpre est trèsujûnce. 
 Après la grande vertèbre on tr.pu^jtrei2;e,vertèbres abdominales. 
 'Wotre  ;i h d i ^ &  ,dorig  de'ôn^è p o u ce s 1;  A etë  appÔïteiSe  
 Batavia*  eh  1 8 2 ^ par MM. Quop  et  Gaimard.  €)n  trouve  
 aussi  l!e sp è^ e JtjE !|m ^ ÿ ,î!0 !Ù JM [.^ ^ pm ie r,l,t^ y u g .4 ^ t .^ n   
 poisson  méprisé  que- les,->pauvres  seuls  m a n g e n ^ ^ 
 CH A P .   vi.  a r i u s . 51 
 Zt’A rIÜjS  a  barbil%#j^  4<ïaux. 
 ■ {jiHus oequibarbis\->ridb,) 
 J.e nomme  ainsi^ette  espèqp,,, pjtrce  que  
 ses barbillons; sdus^p^ndibùlaires« externes sont aussi  longs  que  les  
 maxillaires;  les,Uns  et*les -autres  atteignent  la  pointe  de  l’épine  
 pectorale.  Elle  est’ d’ailleurs  assez  semblable  à  la  précédente;  la  
 forme  de  sa tête,’ses délits*Ve*sf nkimes,  le.grenetis.qlé son  casque,  
 les veinés\d,é  sâ^tempe, et  de  .son operçule,  le  noir bordé  de  fauve  
 de son  adipeuse*  sont,à,peu près  semblables.  Il  y  a  seulement plus  
 de grenetis à <8fèà  épinespét .sa caudale a deux  lobés  pointus  de  près  
 du  quart  de  la longucur  totale. 
 ;  iB. 
 iSa^ouleur  paraîtun  a^eméijttjânt. de - grisv vers, le  dos.  Il  a  du  
 noirâtre à  «es  nageoires  paires, et à  son  anale. 
 ^  GeU'ê^spèce  a un foie  brun  à "lobés  très-aplatis,  et une  vésicule  
 dû’fieléovale, mais'remarquablement  grosse?’  ■:> 
 L’estomac  est  étroit  et-cylindrique., Le  duodénum  naît  âu  bas  
 du  Coté;gauche,  etsîsê  porte  ensuite  dans  le  doté  droit  pour  faire  
 de  petites  et  nombreuses  cireoüvhlutions  en  arrière. 
 La  vessie  natatoire  est  semblable  à  celle  des  autres  arius ;  ses  
 muscles  sont épais.  - 
 Nous  en  avons un individu de neuf pouces, apporté rie  
 Bangoon  par  M.  Baynaùd,  et  un  de  onze,  du Bengale,  
 par M%; Belanger. 
 £/ÂRIS0s ’a.  Ghos  graixs. 
 ^ ^ ^ (n u s igrcmosiiSj iaob.) 
 M.  Belanger a envoyé*de  Pondichéry  une  espèce  semblable? 
  à cet Âr. oeqnibarbis) 
 et qùi  a  les  barbillons  presque  aussi longs et presque aussi égaux;  
 dont  l’adipeuse porte  une  tache  noiré'entourée de  fauve, mais qui