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 fait-graver un {t. V,  pl.  IV,  fig.  1),  mais  en  le  rapportant  
 fitùsséinentf comm e. variêtC,  à sa;  loricaire  tachetée. 
 Nous  àyqffstïrouWnîS|i ‘parmi  les  dfefsïnS  de  Feüillee,  
 <^ïîsérvès  dans  la  bibliothèque  de  fcnjM. Huzard,  deux  
 figuresquijpour le contour, nous paraissent de,cette, espèce,  
 mais qui montrent sur le dos trois larges bandes noirâtres,  
 ©t ©n  avant  de  la  dorsale ,  ainsi  que  sur  les  pectorales*  
 dés- points de la même  couleur j ln^out sur un fond rous-  
 sâtre. Leur étiquette est simplement piscis  caudatus. 
 La  Lo RI GAI RE  A  VENTRE-NU. 
 { LoriCaria  nâcLivenlris,  nob.)^'  " 
 Cette  nouvelle  espèce présente  un Caractère qui lui est  
 cçlpunun  avèf^des  Rinelepis  :  -cpÆ® d’avoir te  dessous  du  
 thorax  nu. ; 
 La têté est un  peu-plus large,  et son museau un peu  plu^o^us  
 que-dans  la première  espèce,  sans  l’être autant que pans  la seconde. 
 . Sês  proportionsL S.ont  îencüre  plus  courtes  que  dans  celle-ci.  Sa  
 largeur aux  pectorales  tfest  que. cinq  fois  dans  sa  longueur;etpfe  
 de  sa  tête  y   est  quatre  fois  et  demie.  Ses  yeux  ohife''septième  
 de  la longueur  delà*tête,  et sont à  quatre  de  leurs üiamètrfcs  du  
 museau,  et  à deux  diamètres l’un de'l’antre.  L’orbite n’ést  presque  
 pas échaneré en arrière; elle  a les mêmes crêtés que les deux précédentes  
 sur  le  devant  du  dos  et  sur  les  côtés, mais  les  deux-sur  
 l’arrière  de la  tête  lui manquent ; c_es  crêtes  latérales sont  sur deux;  
 anglesj  jusqu’à  la  vingtième  rangée j  niais il n’y  a-ensuite  que^dix  
 Rangées  à  tranchant  simplet  Toutes  ses ^parties  sont  plus  âpres,  
 surtout les rayons de ses nageoires. Les pectorales sdnt plus  courtes  
 que  la  tête  de  près  d’un  tiers,  et  leur  premier  rayon  est  rond  et  
 très-hérissé. Le premier rayon des ventrales l’égale  et  est  tout  aussi  
 âpre. 
 Le principal caractère de cette espèce consiste dans la peau nue de  
 la gorge.  dette  peau molle  se  continu®  jnasques  entre les  ventrales,  
 sans aucunes pièces dures. Il n’y  a que quatre Boucliers à  la  rangée  
 inférieure  de daaqaé cêté  entre  la pectorale et la ventrale. 
 Ses  dents  ressemblent à  celles  de  la première  espèce,  èt le voile  
 de sa bouche paraît avoir; été cilié à peu  près de là  même manière;  
 cependant,  comme  l’iiïdividu  est  dèssédbéi je ne puis  répondre de  
 cette dfernière  circonstance.  Je  ne  puis  dire non  plus  si  le  rayon  
 supérieur’de sa caudale étai’tpjjolottgéÿattendaque cette nageoire est  
 mutilée  dans  notre  échantillon. 
 ^  -,;b; 4> D.  P.  7 J V. 7. 
 Sec  comme il  est,  il paraît  d’un  gris brun,  et l’on y  voit  sur  le  
 dos.,  ehSré  la  dorsale  et  la  caudale,  quatre  bandes  transversales  
 noirâtres.  Les nageoires  paraissent avoir  eu  des points bruns dans  
 les  intervalles de Leurs  rayons. - 
 Ce poisson, a été. pris dans, la rivière de Saint-François  au  
 Brésil,  et |f|n n é   au Muséum  par M.  Auguste  de  Saint-  
 Hilaire. 
 L a .  LoRieAiRi:  v ie il l e . 
 (Loricdricr ànus,  nob.,  çtpud  d’Orbig.,  Yo y.  dans  l’Amér.  mér.,  
 atl.  ichtli.,  pl.  6 ,  fig.  r:’)  ;! 
 Cette  espèce a* comme, la précédentedeux rangées de  
 crêtes sur lescotéR, 
 mais, elle n’en  a aùcunes  sur  la tête ni sur  le devant, du dos à celles  
 des, côtés  continuent  de  former  des, augLes séparés. jusqu’à la trentième  
 "rangée,; et- il  n’y  en  a  ensuite  que  quatre- ou  çinq  où  elles  
 soient  rapprochées.  Ses  formes,  les  proportions  de  ses  nageoires, 
 .  sont  d’ailleurs  à  peu près les mêmes; mais  son museau  est moins:  
 obtus; ses orbites' m'oîfl^|froï®ngés  en échancrure, et leur longueur  
 à peine du  septième  de  céllé  de  la  tête.  Leur  diamètrë  transverse  
 est  dé moitié moindre,  e t ifs. sont à  trois diamètres l’un  de l’autre.  
 Nous  ne .lui voyons  pas de dents; elles sontprobablement tombées,