346
fait-graver un {t. V, pl. IV, fig. 1), mais en le rapportant
fitùsséinentf comm e. variêtC, à sa; loricaire tachetée.
Nous àyqffstïrouWnîS|i ‘parmi les dfefsïnS de Feüillee,
<^ïîsérvès dans la bibliothèque de fcnjM. Huzard, deux
figuresquijpour le contour, nous paraissent de,cette, espèce,
mais qui montrent sur le dos trois larges bandes noirâtres,
©t ©n avant de la dorsale , ainsi que sur les pectorales*
dés- points de la même couleur j ln^out sur un fond rous-
sâtre. Leur étiquette est simplement piscis caudatus.
La Lo RI GAI RE A VENTRE-NU.
{ LoriCaria nâcLivenlris, nob.)^' "
Cette nouvelle espèce présente un Caractère qui lui est
cçlpunun avèf^des Rinelepis : -cpÆ® d’avoir te dessous du
thorax nu. ;
La têté est un peu-plus large, et son museau un peu plu^o^us
que-dans la première espèce, sans l’être autant que pans la seconde.
. Sês proportionsL S.ont îencüre plus courtes que dans celle-ci. Sa
largeur aux pectorales tfest que. cinq fois dans sa longueur;etpfe
de sa tête y est quatre fois et demie. Ses yeux ohife''septième
de la longueur delà*tête, et sont à quatre de leurs üiamètrfcs du
museau, et à deux diamètres l’un de'l’antre. L’orbite n’ést presque
pas échaneré en arrière; elle a les mêmes crêtés que les deux précédentes
sur le devant du dos et sur les côtés, mais les deux-sur
l’arrière de la tête lui manquent ; c_es crêtes latérales sont sur deux;
anglesj jusqu’à la vingtième rangée j niais il n’y a-ensuite que^dix
Rangées à tranchant simplet Toutes ses ^parties sont plus âpres,
surtout les rayons de ses nageoires. Les pectorales sdnt plus courtes
que la tête de près d’un tiers, et leur premier rayon est rond et
très-hérissé. Le premier rayon des ventrales l’égale et est tout aussi
âpre.
Le principal caractère de cette espèce consiste dans la peau nue de
la gorge. dette peau molle se continu® jnasques entre les ventrales,
sans aucunes pièces dures. Il n’y a que quatre Boucliers à la rangée
inférieure de daaqaé cêté entre la pectorale et la ventrale.
Ses dents ressemblent à celles de la première espèce, èt le voile
de sa bouche paraît avoir; été cilié à peu près de là même manière;
cependant, comme l’iiïdividu est dèssédbéi je ne puis répondre de
cette dfernière circonstance. Je ne puis dire non plus si le rayon
supérieur’de sa caudale étai’tpjjolottgéÿattendaque cette nageoire est
mutilée dans notre échantillon.
^ -,;b; 4> D. P. 7 J V. 7.
Sec comme il est, il paraît d’un gris brun, et l’on y voit sur le
dos., ehSré la dorsale et la caudale, quatre bandes transversales
noirâtres. Les nageoires paraissent avoir eu des points bruns dans
les intervalles de Leurs rayons. -
Ce poisson, a été. pris dans, la rivière de Saint-François au
Brésil, et |f|n n é au Muséum par M. Auguste de Saint-
Hilaire.
L a . LoRieAiRi: v ie il l e .
(Loricdricr ànus, nob., çtpud d’Orbig., Yo y. dans l’Amér. mér.,
atl. ichtli., pl. 6 , fig. r:’) ;!
Cette espèce a* comme, la précédentedeux rangées de
crêtes sur lescotéR,
mais, elle n’en a aùcunes sur la tête ni sur le devant, du dos à celles
des, côtés continuent de former des, augLes séparés. jusqu’à la trentième
"rangée,; et- il n’y en a ensuite que quatre- ou çinq où elles
soient rapprochées. Ses formes, les proportions de ses nageoires,
. sont d’ailleurs à peu près les mêmes; mais son museau est moins:
obtus; ses orbites' m'oîfl^|froï®ngés en échancrure, et leur longueur
à peine du septième de céllé de la tête. Leur diamètrë transverse
est dé moitié moindre, e t ifs. sont à trois diamètres l’un de l’autre.
Nous ne .lui voyons pas de dents; elles sontprobablement tombées,