L e PlMÉLQpE ^PjpiJVAMPU.
; ( (jPùnelodus pimnampus, Agass, )
M. Spix à dotihéÿpl. V I Ï Ï , :sètë§le’ nom iké piiïiêlodus
jnrinampus, une espèce qu’il est difficile;de classer, faute
d’une description plus complète.
Son' casque semble se joindre, par une prbejrhinehce infêrparié-
tale large, óbtusément’ carénée, à'un^BoucRer en foribl tle rèih,
»Ssëz grand. Sa tête est large, arrondie en avant, du qttàTt de la
longuem’ totâléjÿSOnfMlitoiÈ, à peu près au milieu de la longueur
de la tête, du; dixième au plus dg'çlttë longueur, et à cinq „diamètres
de son semblable. Son opercule est strié en rayons ; ses épines sont
un ,peu grêles, mais au^i longues qpe la têtç;( celle'de la pectorale
parait finement dentelée au boydexteme, et fortement striée. L’anale
est.petite, mais Tadipeuse, qui commence trèl-près de, la dorsale,
■ est plus dtf trois lois plus longue qùeTa'uâle et tres-bâsse. La câiiàale
est divisée en deux lobés du dnquiètae dë là •
D. i/6‘; A. 12; fc. ltf gP.A$l$; V. 6.'
Les barbillons sont très-longs " et élargis, par des mémÈrânès';
les maxillaires atteignent à l’ande, et les sous - mandibulaires
égalent à peu près; mais le dessin est feit de mànière^à laisser eh
doute s’il y a quatrg;d§ qes derniers ou seulement deux , el le texte
n’éclaircit ppint çe doute. .
L’enluminure le représente, blçuâtre , tirant .au blanchâtre spu,s
le ventre, et avec des nuances roussâtres aux nageoires.
Il y en a au IVfysée de Munich un individu de dix-huit
pouees, du Brésil.
L e PlMÉLODE KARAECHÉ
(Pimelodiis bisciitatvCs, Geoffr.)
se rattache à ce groupe, quoiqu’il s’en distingue par un
museau pointu résultant d’un ethmoïde beaucoup plus
étroit tjuedalis,les eSp%CQ§ précédentes, et par I union plus
intime de èôn sftrsé^puîaire au érane*. .
Gestun po^sÔâd^AfriqUë^bsÉrvéjbpur la première fois
dans Je-Ntl par M.|?e!ofîroy de Samt-Hîlaire/’ét représenté
par M. Redouté daps l’o t a g e sur 1-Égÿp> (Zool. Poissons,
pb X IV , % | S Iÿdqre ^ e o jïy q ^ p a donné dans
le même ouvrage une description foEtkexaGt©*-, tout récemment
il en a paru une figure , mais assez imparfaits « dans
l’buVfage de M. Riffaud, pl. 19 $ , M y est accompagnée3
d*iHi squelette, maïs dessiné,Un peu tiop vaguement.
Schül-karafché ou karàfùhi, parait 'être son nom
daps; la|iasseil%yp te. Elan,s la hautV.IJlqn M. Rififaü'd,
iî,s’appelle douemajek ou,zamar'% Ip'tjernier de qès noms
appartient aussi, comme nous l’avpns v,pT> à un autre ,si-
luroïde , le -pimélodus.aktatus de.TVL Geoffroy,, ou, notre
bagré abou^réal.
Le rétrécissement de. son museàù, et en • tou teases
proportions, lui donnent une ressemblance .extéyiçufe‘ avec les
M u fà ; aàais'il en,dyfèi»;éàébtaèllément parles dents, et par le peu
de Raison dé son casqüê et de Son bouclier. Sa hauteur a 1 épine
eet''qna^<«s.«fc^««m6- daps sa longueur totale Sa tê te au
bout du muséau au bout de I ’operetilef y ést quatre fpisâ jusqu’au
sommet de la proéminence interpariétale, elle n’yi est que, trois fols;
fTlàrgear y eiUre les Ouïes , est de -.deux, ti^rs, ||g W Premi£re
Ion gueur; Sa hauteur, auméme mdroit', égale sa .largeur. Son profil
, descend avec une légère convexité.
dé son museau est parabolique. Ses, lèvres.sqnt é,paiæga,et charnues;
la supérieure dépasse l ’autre. La fente de-la boifehe fait un
demi-cerclt sous le museau; II n’y a que deux «M-pept? groupes de
t dents en fin velours ras à la mâchoire supérieure à l’inférieure elles
sont sur une bande qui en occupe Margeur, mais qui estéçhancrée
à troià“enclrôits. Les barbillon^ maxillaires, fort épais à leur base à