mencement de la division de la vessie aérienne que la nature nous
montrera constamment dans les cyprins.
" Quant aüt autres visicëres d i^ t ifs dtéfbie est-minée ê| ebmme
membraneux souS l’ëstomàc; sés deux lôbès sont pljiS ëplis , tfië-
dres et pointus; la vésicule dû fiel-est peu iobi^é.’L ,fest©màd&est
petit, le duodénum est large, sinueux, Sa valvulé èst garniéTide
papilles disposées sur dès plis longitudinaux; lebeste de l’intestin
devient de pliâ :en' ptiis 'grêle j- 'api%s'.-ë?cfe?'"Êûl'*d^tobrêbréfârêffaT*
> coiivolùtîons. *
Les oeufs paraissent fort petits. Les reins ne m’Oîit pas pâéu autant
développés ni aussi gros, que dans la plupart des autres pimélodes.
L ’étude du squelette nous a aussi offert l.es particularités suivantes.
La tête osseuse du carafché a beaucoup de rapports avec celle des
pimélodes précédons. Ses frontaux àntérieürs^'fort grandsuiîis
âùx: frontaux pat une longue sûturer,rvi'eOTent en arrière jfojcmer
le fiord antériéuridé^’oibîté. 'l^''5(^‘î^"Yeufl^séMënt,>du museau
ën Âvâbt résulte de la forme étroite et alôngée 'de l’ethmoîdê/Mes
"nasaux et des'-prmnérr^Otts-ofbitairés, qm'‘sôn.t fôrt écartésdes
> seconds, placés au bord de 8’ôrfiite sôus les frontaux antérieurs, et
de la position en longuéiiruès palâlms', dont le vpFümè'ést assez
• considérable. L’interpaHëtâïvient en avant jusqu’à Ja fente qui est
entré leS frOntaux. Les rapports du-crâne avec la grande vertebre
et les premiers itttërépîtièux sottt Y^mênîës' qû| dans iè^imëîode
tacheté, si ce n*est quë lê premiër épineux se montre au dehors par
une plaque qui^ntre pour beaucoup dans la composmon du bouclier.
La dernière des vertèbres qui composent la grande,; a ses apophyses
transversés distinguées par une écnWcrure' profonde. Il y
a de plus douze vertèbres abdominales, dont les deux ’dermeres
seulement ont leuës apophyses transvetses"liées par dès traverses;
vingt et une Vertèbres Caudales et l’éventail terminal.
L e R arafçeê du Sénégal.
« (Pimelodus oecidetitalü, nob.)
est tellement semblable à celui du Pi il, pâr lës formes; IeS nombres
et tous les détails, que noUs avons d’âhdrd ' hésité â lë fégarcler
a çoiame une- espèce à partoGepejttdfmfc,v°ici[les carat# r#s qui nçus
Æ ont déterminés- : g
Sa têJ&«f$iUn peu pln^'alon^p, surtout de la partie du museau ;
son pfibfil est presque; rectiligu^&îljiflêf exalte deisesyéipj/est p^11?
son barbillon marillàire;!est;piusj,ëourt àîpr^pO/riion, et n’aiteini
pas jusqu’à J?.ceü.î les autres sont à proportion. Les dents de l!é|*ne
, pectoraie sont beaueoup moins fortes ;, enfin $t surtout, # suç$ca-
pulairè, am>lieu rqu’ü à daom
d’Égypte, en a une étroite et ,pointue vcrsle-haut-', -
Al, æte-iaiiû
Ses visçères, et surtout sa vessie «aérienne, ressemblent tout-à-fait
à celle de l ’espèce du Oîil.;- •
Ndtre'fodividü paraît ddns'la liqueur entrèrent éfrrt tlriWâ-
tre : il es-t long dû quinze pQjiqéf. Nousf avons iyecu‘en 18*2%
4V le gouverneur Jubelin.
‘CésdeUx eSptfcês" nous conduisent sé un autre siluroïde
américain', qui n’a pas’ ële'dëërit..et qurshiriblèràit devoir
être distingua i s , Dimmqdàs satfelles affinités exteneures
aynç 1$ kafafcbg.
L e PlM^LODE A ^MUSEAU boNIQUE.', ;
y , LgiTftefadfcs Us$sr nqh.
Cetteespèçé du Brésil s’ecartë^én^i^bèaucoiip plus
du groupe, quê les ’karàfcüçél, 1
par «pn igp^eau et par ses dents,réduit^ presque à
lien. ■ t
' Sa tête est en cône âlongé, terminéà la pointe par uiïfe petite
bouche, presque comme dans les, fourmilfers.;iDu bout du rnuseau
à; l ’ouïe elle prend le quaft dç ja longumrv tptàlie., |a largfur.d.un
opercule à l’autre et. sa.jaauf^uf ^ ^nuqu% fiffijt monté de.,fp?tte
longueur; mais’ près de la bouche elle nen a pas le sixième en
diamètre; La production interpariétàlëJy ajouté un ‘fiërs' en sus, et