
 
        
         
		avec la tête lisse et large- de la deuxième,. a les épines pectorales plus  
 sensiblement dentées * et les dents de l’arc vomérien approchent plus  
 de  la  forriÊTde petits  pavés  qne- dç^pellq  de dents  ep velours  igaat  
 D.  6$; A.  5.0, ,étç.  • 
 Elle paraît (dans la liqueur)  en dessus et aux côtés d’un gris brun,  
 et en  dessous d’un  gris blanchâtre. L’anale  est  cependant  du même  
 gris-brun  que ‘les  aütf es"'fiagébirèsî  F  rais,  le  poisson  est  d’un hoir  
 verdâtre  sur  le  dos,  et 'gris sous  lê' vehtré! 
 Nos individus n’ont  que sept  ou  huit  pouces. 
 M.  Dussumier  nous  apprend  quil ..est  dans  les  eaux  
 douces  de Mali é  lé  compagnon des opMcépliales,  qu’il  a  
 comme  eux  la  faculté  de  long-temps hors  de heau,  
 et  de  ramper  à de grandes  distances. 
 Lie  Hakmouth  bru??. 
 ( Clarias fu scu s,  noh.;  Mdcropteronotus ^/hyc^^Laeépè^e.);..  
 M. Desjardins  nous  a donné un clarias  qui luâàvait ité   
 enyoyé de  Sumatra:,  et qui  est  encore manifestement  différent  
 des  précédens. 
 Sa  tête,  légèrement  chagrinée  comme  celle’  de  noire  première  
 espèce  des  Indes,  est  bien plus  courte  à  proportion duf eorpsf Jet  
 plus  large  à  proportion  de  sa.propre  longueur.  Mesurée  jusqu’au,  
 bout  de  la proéminence mitoyenne, .elle  est  quatre  et  deux  tiers,  
 et non  pas quatre  fois  dans la longueur totale.  Sa,  largeur  entre  les,  
 ouïes  est  de plus  des  cinq  septièmes  de  sa  longueur.  Le  feston  du  
 milieu de son bord occipital est beaucoup moins saillant.  La bouche  
 est  aussi  un  peu  plus  large  à  proportion..  Ses  dekts  vomériennes  
 sont-en  velours  ras.  Le bord  de s’op épine,  pectorale n’est pas  plus  
 fortement  dentelé que  dans  la  seconde  espèce. 
 D. 67;■ A. 48, etc..  :‘: 
 Ce poisson  est long de  neuf pouces , et paraît  avoir  été  
 entièrement noir. 
 ■  sC’est 
 cépède  ( t .'¥, pl. H, %   2) a fait  grâver  d’après  une  peinture  
 chinoise,  sous le  nom  dê  màcroptérùhôtè  brun. 
 Quant  à  son  macràptèronofe  bèxûfcihhnne,  ib.  fig.  3 ,  
 établi  aussi  d’après  une  peinture  chinoise,iy il  parait  que  
 c’est une espèceià têteiéncère plus  large, mais.a corps plus  
 court; et il y a tout lieu de croire  que si ou ne lui voit que  
 six barbillons-, c’est que le^ÿçintre chinois  en a oublié une  
 paire,  | | 
 Le  HARMbiüT-H  poi|ëi;trÉ;3 
 (Ç lariaspun ctfitas,  npb/) 
 MM. Kuhl-et Van Hàsselt ont envoyéMe J.ava  un pois-  
 sourde  ce  genre  très - semblable, à noire première .espèce  
 des  Indes, 
 et .portant la  mêmèrtétfi-égâlëmentichagrmée et-avec  des  solutions  
 dé  continuité pareilles ; mais les  crénelures  de  ses  épines pectorales  
 sont  beaucoup  moins  sensibles,  et  il  y  a -neuf  ou  dix  rangées  
 verticales, chacune  de  cinqon*sïxip©ihts-blancsy.comme nous  en  
 avSsns.vu  dans.la  &éǰpée  espèce >d.’l|gypte.  Le  fppd de  sa couleur  
 paraît gris-brua,  e(t il  a^e. yentrp^et la  gprge  blanchâtres. 
 D. 70 j A.  52. ou 53, etc-. 
 Notre  individu  est long de(dix pouces. ,  , 
 • Le  HaRÀIOUTB «GREKOUILL^Bw  * ? 
 (C larias  b a tracK àï^o b.-,  Silurus  batrachus,  Bl.) 
 L e  silurus batrachus de B lo ch  p i | | |  o3 g. i ,.ressemblerait  
 assez  à  cette  espèce  de  JaV à ; 
 mais la figure lui donne des points blancs beaucoup pins multipliés,  
 et prolonge  sejs barbillons de manière  que les maxillaires atteignent