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 des  surtemporaux;  La première vertèbre;  a.de  même deux  grandes  
 apophyses transverses, contournées en cornets,istarle bord desquels  
 s’articule  le  surscapulaire,  etcette  vertèbre  elle-inème>s’unit  par  
 suture,, par  sa crête  ou  apophyse «épineuse,  à la -production  interpariétale., 
   et par  son .corps,  au  corps  du  basilaire., 
 Ç’est dans  l’espace  resté  de, chaque ,côté  entre  l’interpariétal,  le  
 mastoïdien  et le  surscapulaire,  d’une  part , et la vertèbre de  l’autre,  
 que  passe l’orifice  du  grand  sac jàtéral. 
 Il  y  a douze vertèbres  abdpïümÿlêà  libres  et  quàrânte^cinq  caudales; 
   sans  compter  le .triangle  qui  porte  la  nageoire  de la  queue,  
 et  qui  paraît  composé  de  deux:»QU'.trois. 
 Jt^GS  hyoïdien  impair, est  Uès-fbijrchu,  et  la  ceinture fiuméro-  
 cubitale  fort, large par. qn  bas-. 
 h e  Pim. sirigio ûe M. Buchanan: à des dimensions  semblables  
 au nôtre  et nous paraît"'de même  èspècq- quoique  
 çîè nalüra^^  dans  ;fr%is  bài^e^ûpgjdtudinale  
 jaunâtre qui nepaqptpas sur nos  indiyidp§,7qttqu’il  
 compte  un peu  autrement les  rayons, 
 ■  B.>? B, |SÉÉ| 61 ; C.  42;-  : 
 mais  il  convient  lui-même  quune  peau  épaisse  n’a  pas  
 pèrmis  d’eii faire  lé  calcul  exact.  Üu-individu  qui  nous  
 a  été  appâte  de  Ç^lputta même  pqp|j(|e  vrai  singio,  par  
 M.  Willie, ùç  diffère point de  ceux  que  nous  possédions  
 auparavant, .et qui ont servi de (sujets pour notre description. 
 Je ne puis guère douter non plus que ce ne soit le siluMis  
 fossilis  envoyé  de Tranquebar à Bloch par soii arhi John,  
 pt représentépl. 3 poy fig; 2 ,de la grande Ichthyologief: tbut  
 en est pareil,  excepté quil sépare un peu trop l’anale de la  
 caudale et qu’il compte huit rayons  aux branchies^ 
 &. U J?> f   j 4Ù m i ï ,  W »  -Y« 
 J’ai  cependant vérifié avec soin mes nombres. 
 Il  nous est venu dp  ces  poissons die la  cote  de Malabar  
 par M. Belanger;  deMysore  p a r  M.  Dussumîer;  de Pondichéry  
 par  MM.  Leschenault,  de  la  Tour,  Belanger  et  
 Reynaud, ètüsur-toût du Bengale  pat MM. Buvàucel,  Bélanger^ 
  Reynaud.et Dussuini|4 .L’^ è Ge  n’habite  dans  les  
 divers  cantons  que  lés  étangs  d’eau; 4ôuee*  nom  au  
 Bengale  est-  singgi  (Selon  M.: Buchanany  schinggi  selon  
 M. Reyhaud^à Po ndiehéry  on la nomme mollin^kejudon  
 l^ ê j^ d o n # ? é p *n e s ) i  ^  m0  §  -  '■ 
 -  On mange-èe  poisson  sans  difficulté,  et même  il passe  
 au  Bengale  pour  un  excellent  restaurant^  et  il y est  fort  
 recherché par les femmes  qui allaitent,, et par lés hommes  
 que des excès, ont  épuisés  ce  qui  fait que  près  des beux  
 habités  on  le  trouve  difficilement  à-  toute ; sa  grandeur.  
 On  dit  même'  que,;  d?aptès  qu’ilss  seAfcùtdè  ses 
 qualités, les  lndiens  s’en  détiennent lorsqu’ils  veulent  se  
 livrer‘avec dévotion à dés  cérémonies religieuses;1 
 1.  Buchanan,  ïoc.  cit.