1 30 LIVRE ÜHf MALAGOPTÉRyOIEiEΫ*'
longueur totale, L’aéipeüse; qmeOmmenee presque immédiatement
après, est trois fois aussi longue et trois fois; pW; basse. L’anale
commence sous le milieu de fadipeuse, et a a peine le
de la longueur totale, en longueur et en hauteur. La caudale est
à: peu près du ^mqüième; eïlé êSt'Jôiifc^ê'iùSqü’â ^ûiôitl^; son
lobe inférieur est un p‘eü plus ÎOng et J)lüs large.
B . 8 ; D". l / 6 ; A.* X T ; i T 1 7 et q u â q S ^ s p e fe t s ; P . 1 / 7 ; J y . 6 .
Le dessus'de ce poisson est d’un brun plus ou moins n^ratre,
varié de petits nuages plus jfences. Le dessous e'st blanchâtre; la
dorsale a sur sa base une bande noirâtre, et ses deux tiers supérieurs
ont les intervalles des râlons plus ou &ojn§ remplis par deVtaèhes
noirâtres, qui sont queïqueîois cô'ntirlus", etriie laissent alors qurune
bande blanche entre tès deux parties fonè&^Èes autrés iia|eoîres
sont brunes ou noirâtres, |>Ius pales -vers leurs basés1..
L’examen de ses, viscères nous a montré
nû foie assez épais, divisé en deux lobes plurilobés; une petite
vésicule du fiel, un estomac arrondi et grand, un intestiti si'ôüëux
ét'd’un diamètre assez grand. Les laitances sont composées de
houppes; îtf’ Véæiië aerienne est grande et ovale, et arrondie en,
arrière fiés reins ihédiocfes.'
Nous en avons des individus depuis $ix jusqu’à quinze
pouces. Cestà peu près, selon M. d’Orbigrly , le terme de
l'accroissement de l’espèce/ Sa couleur est d’autant plus
foncée qu’elle vit davantage dans deS eaux stagnantes%)û
boütbeüsès. Les ridèÿou graneldres de Sofa. casque é td e
son épaule sont d’autant plus fortes quelle Jést plus,âgée.
On la rencontre en àbondafacë dans la rivière de la PJata
et dans ses âfïluens,, dans les eaux courantes aussi bien que
dans les lacs et les marais, surtout dans les endroits couverts
d’herbes aquatiques. Les individus vivent isolés et paisibles
au fond des eaux ,Se nourrissant de petits vers, et ne venant
tenais d’etix-mêmes à la surface. Ils ne se prennent que la
nuit à la ligne, et remdeotq lorsqu’on les tire de léau,$ies
mêûies sons que les autres espèces éLu genre. Les Indiens
de l’intérieur ’sorif'pfesque ies seuls qui én mangent.
? 'uL e ' P i .aTè m J e :■
p a ti, nob.)
esï une grande .è‘s'f)eCë '’^ ^ P ^ I ) u |f è , facile à ^connaître
aux taches rpndes qui cxmvrcnt "oiaimLÎrep^ëtnt^^g flancs,
et aplpsieprs,cag^tèi^.àç ifpFWÇ.
M. d’Ôrbigny noue en a envoyé’un bel individu, long de
Cr,eüîe pouces5 mais il y omf avait déjà*!au Cabinet du Roi
un plus pe3pf, donné par le Cabineftedé Lisbonne, et nous
en aviJ@nsvu une'figfai’é dans^ëSmanùscrits du père'Feuillee|j
é^fnservé§-dans la fiiblf oifa'éfiùè de M.'Hrfeafd. Elle est^ïfati-
t u barbatiis jjtuviaiïliif
Sa tê&e. jet S® général ispu^h^his^à:appelle un peu les pla-
tystomes pu hagrëSfà,oiseau ^-^Epcfaet, -So#- .çasqijeJ naesjjr^-derrière
l’oeil, n’a auère.en largeur, plus du ûp^s d? gueur|,sa
f surface a ,des stries- J égères^a ;peu -près toutes^len^itudinales, et
non des rides partant *a'e plusiei^f ^ ilrès.' Sa produètiôÀ injter-
parîêtalé, du qU'art de la longueur du '« 'i p v t e i n q ou six fois
ihdins large qûé iorigüêi'IJiie largl sdlùtion deîêbnttnuité rèrhonte
jusqu’à la -naissance même de- pette p r o d u c t if qui laisse plus que
sa lougweiir émt«e élle ét un ^rès-ipetk’bouclier .presque caché sous
la peau, a
L’peilnun peu gn arrière du' miliejf de la'ftanguew;(de la -fête, n’a
, que le douzième ,de pette longueur en diamètre. Il y a quatre dia-
mètres-d’un oeft à l’autrg: le(d&vant du.museau est en arc' moindre
qu’un demi-cerel*"Ia boÜche entame latéralement d’un cinquième
la longueur de la tête; i f ÿ a! a !Chaque mâchoire,une large bande
de dents éù fort Vèlûür's^ïié “barbillon maxillaire', quand il est entier,
atteint jusqu’à l’anale; le suus-iùandi-bulaiTe externe, jusqu’à là