Obfervatîons
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le récit de David, que la terre qu’il dit avoir vue , ffeft
autre que les îles Saint-Ambroife & Saint-Félix, qui font à
deux cents lieues de la côte du Chili.
Depuis le 23 Février jufqu’au3 Mars, nous eûmes avec
des calmes & de la pluie des vents d’Oueft conftamment
variables du Sud-Oueft au Nord-Queft; chaque jour un
peu avant ou après midi nous avions à effuyer des grains
accompagnés de tonnere. D ’où nousvenoit cette étrange
nuaifon fous le Tropique & dans çet Océan renommé, plus
que toutes les autres mers, par l’uniformité & la fraîcheur
des vents alifés de l’Eff au Sud-Eft que l’on dit y régner
toute l’année ? Nous ferons plus d’une fois dans le cas de
faire la même queftion.
Dans le courant du mois de Février, M.Verronme communiqua
quatre réfultats d’obfervations pour déterminer
notre longitude. Les premières rapportées au midi du 6 %
ne différoient avec mon eftkne que de 31' dont j’étois à
l’Oueft defon obfervéjles fécondés réduites au midi du 11,
différoient de ma longitude eftimée de 3 7' 45" dont j’étois
plus Eff que lui ; par les troifiemes obfervations réduites
au 22 à midi j’étois plus Oueft que lui de 42' 30"; j’avois
i d 25' de différence occidentale avec la longitude déterminée
par les obfervations du 27. C ’eft alors que nous
éprouvions une fuite de calmes & de vents contraires. Le
thermomètre, jufqu’à ce que nous fuffions fous le parallèle
45d> varia de 3 à 8d au-deffus de la congellation $ il
monta enfuite fucceffivement ; & lorfque nous courûmes
furies parallèles de 27 à 24,ilvarioit de
Il y eut fur la fregate, dès quenousfûmes fortis dudétroit,
des maux dégorgé prefque épidémiques. Comme on les at-
tribuoit aux eaux neigeufes du détroit, je fis mettre tous les