4. J/cudiOTre/ sim erzÆure/eéraz/fr,e<fparties de/Ja/éêfe/ d'un/ GdtC/ZdLOZ1 dftzçroc/S^fah
£ . df/ucAoTne/ ûriërieune/ d u n / CL£GS<4Zj O JTdûu/rocef?Æcde/.
Son organisation intérieure, un peu différente de celle
de la baleine, lui impose d’ailleurs le besoin d’une
nourriture plus substantielle, que des légions danimaux
assez grands peuvent seules lui fournir. Aussi
ne règne-t-il pas sur les ondes en vainqueur pacifique,
comme la baleine; il 7 exerce un empire redouté: il
ne se contente pas de repousser l’ennemi qui l’attaque,
de briser l’obstacle qui l’arrête, d’immoler l’audacieux
qui le blesse; il cherche sa proie, il poursuit ses victimes
j il provoque au combat; et s il nest pas aussi
avide de sang et de carnage que plusieurs animaux
féroces, s’il n’est pas le tigre de la mer, du moins nest-
il pas l’éléphant de l’océan.
Sa tête est une des plus volumineuses, si elle; nest
pas la plus grande de toutes celles que l’on connoît.
Sa longueur surpasse presque toujours le tiers de la
longueur totale du cétacée. Elle paroît comme une
grosse masse tronquée par-devant, presque cubique,
et terminée par conséquent a 1 extrémité du museau
par une surface très-étendue, presque carrée, et presque
verticale. C’est dans la surface inférieure de ce
cube immense, mais imparfait, que l’on voit 1 ouverture
de la bouche, étroite, longue, un peu plus reculée
que le bout du museau, et fermée à la volonté du
cachalot par la mâchoire d’en-bas, comme par un
vaste couvercle renversé.
Cette mâchoire d’en-bas est donc évidemment plus
courte que celle d’en-haut. Nous avons dans le Muséum