Indéterminables.
8. Zinc sulfuré lamellaire.
9. Zinc sulfuré concrétionné.
a. Mameloné.
b. Globuliforme.
L ’intérieur des mamelons ou des globules est
ordinairement strié du centre à la circonférence.
Quelquefois il est seulement composé d’enveloppes
concentriques, sans aucunes stries apparentes. .
A c c i d e n s d e l u m i è r e .
Couleurs.
1. Zinc sulfuré jaune-citrin.
2. Zinc sulfuré rouge.
3 . Zinc sulfuré verdâtre.
4. Zinc sulfuré brun.
5. Zinc sulfuré noirâtre.
6. Zinc sulfuré métalloïde. D’un gris tirant sur
l’éclat métallique.
Transparence.
j f Zinc sulfuré transparent. Les morceaux d’un
jaune-citrin.
2. Zinc sulfuré translucide.
3. Zinc sulfuré opaque.
Alliages ou mélanges accidentels '.
1. Zinc sulfuré ferrifère. Cronstedt, Bergmann
et
et divers autres minéralogistes ont regardé le fer
comme un des principes composans de la blende,
qui effectivement en renferme, pour l’ordinaire,
une certaine quantité. Cette opinion verioit du re-
fus que faisoit le zinc, à l’état métallique, de s’unir
avec le soufre. On pensoit que, dans la blende,
le fer servoit d’intermède pour favoriser cette
union (1). Mais le zinc est ici à l’état d’oxyde, et
dans cet état il s’unit facilement au soufre , ainsi
que le prouvent les belles expériences qui ont conduit
Guyton à la synthèse de la blendè (2).
2. Zinc sulfuré aurifère. TValler. , tome I I }
p. 357. 4.
5. Zinc sulfuré argentifère. Ibid.
Bergmann parle aussi de diverses mines de zinc
sulfuré, mêlé accidentellement de cobalt, de plomb
ou de cuivre (3).
A n n o t a t i o n s .
1. Le zinc sulfuré abonde dans les mines de
Saxe, de Bohême et de Hongrie. On en trouve
aussi en Suède, en Norwège, en Angleterre, en
France , etc., et c’est, en général, une des sub(
1) Zincum non nisi mediante ferro cum sulphure
conjungi potest. Berg., Opusc., t. I I , p. 536.
(2) Fourcroy, elern. d’hist. nat. et de ohiraie, edit. 1789,
t. I l l , p. 64.
(3) Opusc., ibid.
T ome IV. M