mencer par’le dodécaèdre (jig. 14° P^ L X X V I ,
et i 58, pl. L X X V I I I )i On fera ensuite .passer
des plans coupans par les trois diagonales L S ,
S K , L K {Jig- 158 ) menées autour de chaque angle
solide T , lequel répond à l’un de ceux du
noyau cubique. Les sections donneront huit triangles
équilatéraux L K S , IL P , S R Y , etc., qui,
joints aux triangles isocèles L S R 3 L P R , etc.,
résidus des pentagones , composeront la surface de
l’icosaèdre.
10. Fer suilrf uré, cub, o-i. cosciedre. â C^G ^^G Â^M MPP
(Jig. 147 ). De Lisie , t. I I I , p. 223 ; var. 14.
Le signe relatif à l’octaèdre seroit ( j - B 1 B* ^
('E'.B’B’) p A'E1.
11. Fer sulfuré triacontaèdre.
f
( jig. 148 ) pl. LXXV I1. Six rhpmbes M, P , etc*,
parallèles aux faces du noyau, et 24 trapézoïdes
f i f i f ' > e*c* > disposés trois à trois autour de
chaque angle solide z , qui répond à l’un des angles
du noyau. De Lisle } t. I I I 3 p. 234 ; var. 23*
Incidence de f sur M , I43d i8r 3" ; def sur/, ou de
f 's u r f \ I4 i d47'f I2,r; de f s ur f r à l’endroit de
l’arête x , I48d ’à j 5o". Valeur du grand angle a de
chaque rhombe M, I26d Ô2r i l " , la même que
celle de l’incidence de deux pentagones sur leur
base
base commune, dans la variété dodécaèdre fig. 140.
Valeurs des angles plans de l’un quelconque f des
trapézoïdes, représenté séparément ( Jig. 163 )
pl. LX X V II I . a =M id 5or 44" ; r = 1 i6d6' i 5r< ;
r = 7Ôd 2r i 3" ; n = Ô7d or 5o".
Le signe relatif à l’octaèdre seroit ( ■" )
B* B‘^ A 'E\ Cette Variété a été regardée par
Romé de Lisle, comme ayant tous ses rhombes
égaux et semblables entre eux ; mais on peut démontrer,
par le calcul, qu’aucune loi de décroissement
ne se concilie avec cette symétrie ; d’ailleurs
, la variété dont il s’agit ne difiere du fer sulfuré
quadriépointé (fg. i 5o ), qui sera bientôt
décrit, que par l’absence des facettes d (1) , et en
ce que les facettes f ont pris une plus grande étendue
, et parviennent à se toucher de part èt d’autre
, auquel cas il est nécessaire qu’elles soient de$
trapézoïdes irréguliers, tandis que les faces M et P
sont des véritables rhombes.
Voici Un moyen facile poür construire artificiellement
cette variété. On exécutera d’abord un
cube af (Jig. 164 ) pl. L X X V I I I , dont on divisera
les faces en deux parties, par des lignes mn,
m’n*, m"n' , perpendiculaires entré elles suivant
trois directions différentes. Sur chacune de ces
lignes, telle que mn, on prendra de part et d’autte
(1) Voyez la fig. i 5 i. -
T o m $ IV. P,