Analyse parle même, de la variété jaunâtre,
o ! ........... ••••••• 45A ,
27,°.
P l o m b . . . . . . . . . . . . . . . ..........
19,5.
A r g e n t . . . . . . . . . ; . . . , . , ; . . . ,^
8 ,5 .
poutre, un atome.
100,0.
V A R I É T É S .
, , e^ure natif> etc., hexagonal. En prismes
nexaedres réguliers très-courts,
> Tellure naùf, etc. , laminaire. En masses
composées de lames qui se séparent assez facilement
dans le sens de leurs grandes faces, lesquelles
sont éclatantes et un peu raboteuses.
3. Tellure natif, etc,, lamelliforme. En lames
engagées en partie dans la gangue.
A n n o t a t i o n s .
1. Le tellure natif ferrifère et aurifère, connu
sous le nom de mine d’or blanche, se trouve à
Fatzbay, en Transilvanie, Ses gangues, selon de
Born, sont la lithomarge et le quartz. La seconde
variété, qui contient de l’or et de l’argent, se
trouve a Offenbanya, dans le même pays. La
troisième , est connue sous le nom d’or de Nagyac
endroit de la Transilvanie, d’où on la retire, et
ou elle a pour gangue , le manganèse silicifère
a un rouge de rose pâle, et quelquefois d’une
couleur blanche. Elle est assez souvent accompagnée
, ou même entremêlée de diverses substances
métalliques que l’on distingue à l’oeil, telles que
le zinc sulfuré, le plomb sulfuré, l’arsenic natif, etc.
2. Muller, ayant fait l’analyse de l’or blanc,
regarda cette substance comme composée d’o r ,
d’une petite quantité d’arsenic et de nickel, et
d’un résidu qui formoit la partie la plus considérable
de la masse, et qui lui parut être un
métal jusqu’alors inconnu. Bergmann adopta cette
opinion, et M. Kirwan plaça, depuis, ce métal
dans sa méthode minéralogique , comme une
espèce particulière, sous le nom de sylvanites
dérivé de Transilvanie. Déjà même les expériences
qui avoient été faites pour développer les propriétés
du nouveau métal, avoient donné plusieurs
résultats remarquables, que l’on retrouve
parmi ceux qu’a obtenus plus récemment le célèbre
Klaproth, dans le cours de ses recherches
sur la même substance. - f
On n’étoit pas, à beaucoup près, aussi avancé
sur la connoissance de la véritable composition
de 1’ or de Nagyag. Selon de Born, cette mine est
de l’or combiné avec le soufre, l’antimoine, l’arsenic
, le plomb, le fer et l’argent. Les quantités
relatives de ces principes varient suivant les morceaux,
et le quintal rend quelquefois un peu plus
de i 3 marcs d’o r , ce qui fait à peu près
de la totalité. Le même savant dit plus bas, que