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S T I C T I S , PfRs.
D iv is io : A I .O M K A , im m a rg iiia ta i;oriac i'a .
1. fincTis vvRtot os I.
S. orbicularis inaiuscuia oriseo l'Utèscens, piilverulenta. Pers.
In insuR Rawak.
Cette espcce est très-commune sur les écorces des arbres morts.
Pour la couleur et la consistance, elle est très-voisine du stic tis cinc-
'CHfzs. Pers. Mwol. Europ. p. 339. Mais indépendamment du lien
natal, elle est pius grande, plus ouverte, et d'une forme régulière. Le
discpe est entoure par l épiderme de l'arbre , qui , dans quelques indi-
x idus, torme un rebord saillant. P.
2. S t i c t i s d i s p . c r .
S. irregularis o b lon g o -d ila ta ta , passim suborbicularis albo-cinerascens pul-
Yerulenta in plures rimuias dehiscens. Pers.
In insulis Mariannis.
Le stictis ¿ispar croit entre les crevasses de Fécorce des arbres , ce qui
determine la forme irrégulière qu'il offre presque toujours, II est ordinairement
alongé ou disisé en deux branches. Son disque est ouvert, aplati
et crevassé. P.
3. St ict i s g r a p h i d e a .
S. angustata linearis flexuosa albicans subfarinosa , rimâ longitudinali
dehiscens. Pers.
In insid i Rawak.
On prendroit au premier abord cette production un peu douteuse
pour un opegrapha, dont eile affecte la forme; mais on n’observe pas de
véritables lirelles. C e sont peut-être des crevasses lirelio'i'des de l’épi-
derme de Fécorce renfermant un disque fungo’i'de appartenant au genre
T-ctr;. P.
S O P H R O N I A . P e r s .
Pilais cellulosus. Velum reticulatum [amplum), ex pilei margine pendulum,
stipitemque amliens. Pers.
! . SOPH.RONIA b e a s i l i e n s i s . p i . 1 , fig , 2,
In Bra-iiliâ ’ Rio-Janeiro j.
Le phallus wdusuüus, Vent., Mém. de l'hnt. nat. vol. . , page
et h phallus dupitcalus . P o se , Mém. des Eatural. de Berhn , vol. 2 , p. . o ,
lal, 6 fig. 2 , enlrcronl dans ce nouveau genre. Sophronia fait allusion
à v o ilé . ct par-là est en opposition avec phallus impudtcus. P.
C e cliampignon a le port de notre phallus tmpuduus, L. ; mais la
particularité de porter un large voile en forme de réseau, atumhe au
l.„ ,d du chapeau et qui descend presque jusqu’au volva le distmgue
suffisamment, et doit justifier le genre que le savant mycologue Persoo.o
forme de ce végétai.
J . p .™ . p . . I.rrairP nu’ il le r e c o u v r e en t i è r emen t , ainsi q u e le représ ent"e ia f igia“ e.f 5•" ; 6 r , 7 “ S
" ; r L m é par r p âm e supérieure et dilatée du v ./v a , fixe au c a a ^ a u . ^
irrégularités de sa surface crevassée, et par la liqueur on c tu eu se , n o irâ tre , q u . -:n -
pied {stipes ) et le volva sont b la n ch â tre s , lisses.
l y c o p e r d o n , L / n n .
yi . L y c o p e r d o n ; AR EN.sR iuM. P l. i , f i g - 2 -
L . ovale immersum albido-bruneum læve. Pers.
In insuiis Maclovianis.
Cette espèce de lycoperdon (ve l bovista !) mérite certainement de form«
un genre nouveau. Elle est a-peu-pres de la grosseur dune notx, de
forme ovaie , arrondie au sommet et terminée inténeuremeni par une
sorte de radicule obtuse, ordinairement simple, quelquefois rameu.-e.
Sonperidium , d’un brun fauve-clair, est lisse exTérieuremem. I s o u v T e
au sommet en trois, quatre ou cinq lobes inégaux, et est^ side aprc=
comme avant son ouverture. Sa substance est charnue, ten .r e , tvrrr.c .
cassante, très-iégèrement diaphane, un peu pius toncee a im t« ic a - .
Cette dernière partie , qui doit renfermer ies organes de ia truciiti-oeo. - .
n’a cependant rien offert de particulier dans plusieurs examer.s tui.x .v-
microscope. Elle est lisse comme la surface extérieure.
Il est très-commun en mars et avril au sommet des dunes de s3-.e
qui bordent le contour de la baie Française au camp de iLrar.u.
L Y C O G A L A . p e r s .
1. L y c o g .u ,,\ M.YRI.VNN.V.
L. oiiuii ætate uiiico lo r . pulvere aurantiaco. hlis p a u c s n u e r icxtc Ht .
lu insulis Mariannis.
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