^ ^ LÉZARDS CROCODILIENS
préférer à toute autre. CeDenrlmi . . l
arriver sous l'eau vers l e f o t ' " "
qu'ils ont l'adresse de s ^ " r r
ils ont épié sur les riv 1 C a " ""
«y désaltérer, auss.tôr^u /fies ^ ^^ T ^
entraînent sous les flnf« JT i ^P"^® ' ^^s
ensuite dans" epa^e Z t ' f ^^^
tend n.én.e g u i l s T n t ' l I r ' f
des eadavres'de leur! v Z e T "Îls s
passer dans l'Ltervalle ' ""
elles les deux mâchoires CeTL l ^
en une sorte de jabot, avant d'arriver d ^ l t f '
mac. C'est une poche énorme, globuleuse i "
dilatée dans son fond. Le premier d e s t r
ble s'en détacher latera J e n ^ ^ ^ t ^
cornue. Dans cet estomac membraneux o„ a t.
ie-plus ordinairement un certain n omb r e ! e ^W^
de grosseurs diverses, dont la surf.r. cailloux
ou SAURIENS ASriDIOTES. qi
les organes de la circulation mis en jeu, expliijue
comment le sang veineux trouve une voie derivative ,
cjuand il ne peut pénétrer dans les poumons, dont
l'action est suspendue pendant que l'animal est submergé.
De sorte que les Crocodiliens peuvent volontairement
annuler leurs actes respiratoires sans c[u'il
en résulte un grand inconvénient pour leur économie.
C'est bien véritablement le cas de reconnaître ici des
poumons arbitraires ; mais certainement alors l'action
de la vie est moins énergique; toutes les fonctions se
trouvent ainsi momentanément ralenties, mais elles
ne sont que retardées, et l'animal reprend toute la
vigueur et la plénitude de ses facultés dès l'instant
où il rallume, pour ainsi dire, le feu de la vie , en
l'excitant par la fréquence et la réitération des mouvemens
alternatifs d'inspiration et d'expiration de
l'air atmosphérique.
Cependant, cette énergie de la respiration n'est pas
telle qu'elle puisse déterminer un développement sensible
de chaleur animale par cause interne. Il est même
démontré que les Reptiles résistent , jusqu'à un
certain point, à l'action du froid qui les engourdit,
et à celle d'une trop forte chaleur, qui paraît aussi
produire le même eiiet. Peut-être l'accélération des
mouvemens respiratoires combat-elle l'elfet du froid;
cependant on a reconnu que la température du corpi
de ces animaux reste à peu près la même que celle
des fluides dans lesquels ils sont plongés. C'est dans
ce même but que la plupart des espèces, pour n'être
pas soumises à ces abaissemens et à ces élévations
trop brusques ou trop répétés dans leur température,
semblent rechercher de préférence, quand elles le
peuvent, le séjour dans les eaux thermales, dont la