LEZAHDS CAMÉLÉONIENS
Le bord postérieur de l'occiput forme un angle rentrant
l.eu d etre arrondi ou pointu , connue cela se voit
^ c e s , et au son.net de ce n.én.e angle viennent 1 r ^ u x
pe tes carénés long.tudinales qui surmontent le casque. Un co"
don granuleux regne tout autour du crâne i « „ ^
esp.>ee de Caméléon est proportionnel,™: pL: c ^ X
de ses congeneres; la base en est aussi plus forte. Le d o H Lo
percee. I n y a pas d apparence de dentelures sur la réeion
dorsale supeneure, ni sur la ligne médio-longitudinale du v e S r
f o r m e Î " ' ^ ^^ P«"^- écailles g r : : : ^
ddee- eScch e^, reeu nf'ofrtT m a"u va.s état, dont la eouleu.- est d-'m^ixv gidrius
M. c Z o t ' ' ' ' ^^ par
C'est à M. Gray qu'on est redevable de a pre-
" e r «^ - ^ ^ ^ ' o n a i t publiéefde
£\UIiIF.NS ASCALAtiOTES. . 3 ;
CHAPITRE VI.
FAMILLE DES GECKOTIENS OU ASCALABOTES.
§ I . CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES SUR CETTE FAMILLE ET SUR
SA DISTRIBUTION EN SECTIONS ET EN GENRES.
La famille dont nous entreprenons de faire connaître
ici l'histoire réunit des espèces nombreuses, propres
aux climats chauds, et dont les formes, la structure
et les moeurs diiièrent de celles de la plupart des autres
Sauriens. Les Geckotiens oiFrent, dans l'ensemble de
leur organisation et dans leurs rapports naturels, des
caractères aussi positifs que ceux qui nous ont servi
pour faire distinguer les deux groupes des Crocodiles
et des Caméléons. En effet, ce sont des Lézards qui
n'atteignent pas de grandes dimensions ; leur tète est
large et aplatie, leur cou rétréci ; ils ont le tronc déprimé,
trapu, plus gros au milieu et le dos sans crête; les
pattes courtes, fortes , peu élevées ; les doigts presque
égaux en longueur et le plus souvent aplatis en dessous,
où ils sont garnis de lames régulières entuilées.
Ils sont en outre remarquables et caractérisés par la
brièveté et la largeur de leur langue charnue , peu
protractile, libre cependant à son extrémité, qui est
arrondie ou peu échancrée ; par le volume ou la grandeur
apparente de leurs yeux , dont la pupille offre le
plus souvent une fente linéaire, comme chez presque
I Ni ' '
' Ì