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L K Z A R D S GECKOTJENS
tousles animaux nocturnes, et dont les paupières
- n t courtes et réun.es en nne seule c o n ^ J Z lll
C.me eons, n ^ . en laissant entre elles une lar,
ouvert, laquelle on .oit se mouvozr une mel !
i)rane clignotante.
-amener, chacun en particulier, en faisant brièvexnent
remarquer en quoi ils différent de ceux qui
observent dans les Reptiles des autres familles, et'en
mdiquant avec soin les légers rapports qui les lient
a quelques espèces d'ailleurs fort éloigné^.
et de T " ' ' P-Portionnée , ou le peu de volume
et de longueur des Geckotiens en général, puisaue
leur queue, égalant à peine en étendue celle dTr l t l
du corps suffirait presque pour faire distingue
familles en particulier de celles des Crocodiles, des
c e t Î i t f r ' T T ' ' donnent à
dT e ! CCrroCcondÎi lle s etT d es Caïmans, et surtout av-ec- celle
ciens. I e joint en eiiet à cette conformation d'une
face aplatie, ou fortement déprimé., une boucL
largement fendue qui permet un grand écartmet
Î enntt reéee rd e leur arrière-gorge, et par eonsédge ufeenrtm deer
H e t ï n " 'V^ aL l i q u a n t T L Î
de leur langue dans une concavité pratiquée sur
la parue postérieure du palais , pour eloTe c-or
ou SAURIENS ASCALABOTES. 239
plétement cette région, quand les mâclioires restent
écartées et la bouche béante. A ces particularités il
faut joindre l'absence des dents dans cette même région
du palais, et en outre la forme et la disposition singulière
de la langue , à l'examen de laquelle nous reviendrons
bientôt. Nous devons cependant faire remarquer
ici que chez les Geckos les orifices extérieurs des narines
sont écartés, ce en quoi ils diffèrent beaucoup des
Crocodiles.
Le rétrécissement apparent du cou dépend autant
de la largeur du crâne en arrière et de l'étendue du
tronc à la hauteur des épaules, que d'un véritable
étranglement ; cependant il donne en général à cette
région une forme toute particulière qu'on ne trouve
guère que chez quelques Agames et dans plusieurs
Stellions ou Cordyles.
Par la dépression et la largeur de la partie moyenne
du corps, les Geckotiens, à l'exception de quelques
Platydactyles , se rapprochent encore des Crocodiles,
des Agames et de quelques autres genres voisins de
ces derniers ; mais ; par cela même, ils diffèrent essentiellement
des Varans ou Tupinambis, des Chalcides
et des Scinques , dont le tronc est presque cylindrique
, et surtout des Caméléons, chez lesquels cette
partie du corps est essentiellement comprimée. L'absence
de la crête les rapproche, il est vrai, des Varans,
dés Chalcides et des Scinques, dont ils se distinguent
d'ailleurs par la forme et la disposition des écailles qui
protègent leurs tégumens.
Les pattes courtes, à doigts distincts , à peu près
égaux en longueur, deviennent un caractère des plus
notables, par lequel les Geckos diffèrent d'abord des
Caméléons, qui ont les pattes élevées, grêles et les
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