C. \ Espèces dont l ’ouverture-est divisée en .trois ■ par la fenneture du
tube com4 antérieur , et celle du sinus postérieur .
i Afc, TRiPHOR&ortrrRiSTowtm, DesKnï^O1 &
Ex. La. C. Tristome, C. TristQma. PI. XX, fig. 3.
D. Espèces -qui ont encore un petit canal S droit, dont les, tours de .
spire sont gjats efr rubannés, avec un ombilia profond; deux plis dé-
currens à la columelle, ët un.au-bord droit. li|pj|ÉNbrihe. -Defr.)
Ex. La C. Nérinée., C. Nerinea. PL XXI foj ,.fig.; 3.
E . 'Espèces qui n’ont pas de canal, mais une simplé échancrure, et
dont le bord droit se dilate fortement avec l’âge.
(G Potamide. Brong. Pyraze. D. M.)
Ex. La C. Cuiller, C. palustre. PI. XX, fig. 4-
F. Espèces dont l’ouverture sans canal est peu échancrée^en avant
comme en arrière, l’échancrure étant remplaèée par un sinus;, le bord
columellaire courbé dans son milieu; le bord droit nese dilatant pas.
(G. Pyrèke. Lamck. )i
Ex. La C. de Madagascar. C. Madagascariense. PL, XXI,
fig. a , et E. m., pi. 458, fig. 2, a b.
Obserd. Ce genre contient cihquante-siX espèces vivantes, caractérisées
par M. de Lamarck. Làplupart Jsént marines , plusieurs
autres sont de: l’embouchure clés fleùves, et" quelques $nes
sont tout-’a-fait lacustres. On n-êiÿèompte qu’une dans nos mers ,
tandis qu’on én trouve plus de cent fossiles ên France et en
Italie. Le genre Nériné de M. Defrance pourroit-.bifen être mieux
placé auprès des pyramidelles ; il contient cinq espècès fossiles ,
dans des terrains postérieurs à la craie. J’ai observé l’animal^des
eérites noduleuse, raboteuse et ratissoire.
Mélanopside. Melanôpsis.
Animal bien connu, moins spiral que dans les eérites|le canal
du manteau plus court, mais du reste peu différent.
Coquille ovale ou à peine subturriculéej l’ouverture ovale., sans
trace de tube, mais échancrée antérieuremént, sans sinus postérieur
le bord columellairecalleux, et assez profondément excavé.
Opercule corné, assez complet, subspiréJ
A. lEspèçes subtiitriculéeS. • S
Èx. La Mélanopside a cdtes, Mclav-optis cosiala. De Fér.,
pÎMonogr.; pj. i , fig. i4 et i5, e^lajM. lisse. M. 'ifaoif.)PL^XI,
*
É. ÊspèpëS'ëvalësî.
Ex. La M. buccinoïde. M. buceinoidéüi. Ibid. , pl. i , fig. i-n >
et Pl. XVI, fig.$4-'<
. ''fc^iEspèccs renMéesi'v,.
Ex. La M. de Bou'é, M. Bouei. Jbid-., pL 2, fig. g-iq..
' Xfbséro. Les espèces vivantes .dèlbd genre^ que M. dé Lamarck
place près des méhÜnies, paroissefit être plutôt fluviatilès quemarines,
au. contraire des.c évités- On en' distingue auàsi plus dé fos-
siféâ qliVde vivantes. M. Defrancè poète le nombre des prémiel-es
a dix, dokt trois espèces ’identiques et une analogue, d’après
M. de F.érùssac.
P£anâ XË. Plariàxid.
Animal entièrement inconnu.
Coquille solide, ovale-conique, sillonnée' transversalement ;
ouverture ovale , oblongue, un peu échancrée en avant ; columelle
aplatie et tronquée antérieurement; boèd‘ droit sillonne ou rayé
en dedans èt épaissi par une callosité décurrèri'të h son origine.
5- OpérÇùie ovale, mfocq, borné? sufispiraL
La Planaxe sillonnée. Pfap^is^siilcata. Lànq;k.,Pl. XVI*
fig- 4 - ,
Obsero. Çe genre, dont je ne connois pas l'animal, ne contient
dâns 'M. de Lamarèk que deux espèces vivantes, l’une de l’Inde,
l’autre de l’Amérique méridionale.
‘ A iilisBi '-Suiuta.
Animal spiral trèsrélevé; le pied très-court, rond; la tête avec
des tentacules extrêmement petits, triahguïâirés, portant les yeux
au sommet; une longue trompe labiale sans crochets, au fond de
laquelle est la bouche, également inerme.