semblable à celui des variétés Celtiques,
qu’à celui des individus de toute autre
espèce; il est assez agréablement arrondi
, sans être jamais épaté, les ailes
n’en sont nas disgracieusement ou-
vertes; la bouche est moyenne et garnie
de dents verticales; les lèvres, loin
d’être grosses, sont très minces, généralement
colorées, et la supérieure a
surtout beaucoup d’agrément; le menton
est rond, et presque toujours marqué
d’une fossette; les yeux, dont
l’expression est fort adoucie par de
très longs cils couronnés de sourcils O
minces et arqués, sont généralement
ronds, assez grands, toujqurs un peu
humides, avec l’iris tirant sur le jaunâtre
, et la prunelle d’un brun foncé y 1
ou noire; les oreilles sont de moyenne
grandeur et bien faites, quandon ne
le*r déforme pas par le poids d’orne-
mens baroques; la paume des mains
est a-peu-pres blanche, un peu ridée:
la base des ongles supporte en général
une petite tache en croissant, et plus
violâtre; les cheveux sont longs, plats,
toujours très noirs et luisans, ordinairement
assez fins ( i);la barbe est
peu fournie, si ce n est à la moustache.
Les Hindous, chez lesquels se sont
le mieux conservés les traits spécifiques,
sont doux, bons, simples, dociles
, industrieux, ni paresseux ni actifs,
se contentant de peu, guère plus
enclins que ceux de l’espèce Arabique
a faire abus des liqueurs fermentées,
dont ils n’ignorent cependant pas l’usage,
et que leur procure le riz qui
forme le fond de leur nourriture ha