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divitlualité, el 3° de ce (|ue sont réelleinenl les niasses
spongillaires (jui figurent dans les collections zoolo-
girjiies, comme des spécimens d’espèces de l’éponge
d’eau douce.
Ces trois (jnestions seront donc l’objet de trois mémoires
spéc iaux, auxijiiels nous joindrons , comme
documents, deux not ices, l’une sur les résultats de
nos premières études anatomicjues sui' la Spongille,
l ’autre sur l ’étude comparat ive cjue nous avons faite
des embryons spongillaires et de ceux de la Vaucheria
IJngeri (Thiiret) ( i ) et des remarcjues sur la coloration,
les maladies, les monstruosités et la mort de ce zoo-
pbyte.
RECHERCHES
LA SPONGILLE FLUVIATILE,
P O U R SE R V ÎU
A E’HIS rOTRE NATURELLE DES SPONGIAIRES.
( i) V. Annales des sciences naturelles, dciixiùnie série, Botanique,
mai i 8 /|3.
PREMIER MÉMOIRE.
MES €OIU>S R E r i lO n U C T E V n S D E \ . \ S Î > 0 \R IM ,E .
En 1838 et 183g , on ne connaissait en France qu’une
seule sorte de corps reproducteur des Spongilles. On
la désignait sous le nom d’oeuf (Raspail) ( i ) , de corps
( i) Mémoire sur la spongille sous ce titre : Expériences de chimie
microscopique, ayant pour but de démontrer l ’analogie qui existe
entre la disposition qu’al'fecte la silice dans les spongilles et dans
certaines éponges, et celle qu’affecte l’oxalate de chaux dansles
végétaux; accompagnées de recherches de l’anatomie microscopique
des spongilles. Tome I F des Mémoires d e là société d ’histoire
naturelle de Paris. Ce mémoire a été lu par M. Raspail h cette Société,
le 22 ju in , et à l’Institut, le 25 juin 1827.
B o n i t e . — Z o o p h y lo lo f i ie . S