SUR
LA SPONGILLE
ÉPONGE D’EAU DOUCE
l ’O I IR S E R V I « A 1, 'm S T O I R F . N A T U R E L L E D E S S l 'O N G IA I R E S .
Nous devrions, en suivant les mêmes errements que
pour l’Hydre, traiter ici de l’ovologie, de l’embryologie
et de la vie indépendante de la Spongille ou éponge
d’eau d o u c e , que nous proposons de prendre pour
type dans l’é tude des spongiaires. Mais, attendu que
jusqu’à ce jour les prétendus animaux polypiaires,
supposés devoir exister dans le groupe (!e tous les p o lypes
empâtés de Lamarck, n’existent réellement pas,
on conçoit facilement que l’ordre que nous devons
adopter dans nos reclierclies sur l’éponge d’eau douce
ne peut être rigoureusement le même que nous avons
suivi à l’égard de l’Hydre. Les besoins de la science
nous ont paru réclamer une détermination aussi exacte
que possible i° des diverses sortes de corps reproducteurs
de ce corps organisé, 2° de son genre d ’in