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Fig. T“'. Un tube de verre rempli d’eau, le long des parois duquel
se sont lixés trois embryons spongillaires qui ont passé à l’état
de larve et qui se sont déjà déformés.
Fig. a b c . Trois embryons qui cherchent à se (ixer sur une
lame de verre. Ces embryons, placés chacun dans une goutte
d’eau , sont observés an microscope composé au moment où ils
perdent leur forme ellipsoïde et où ils étalent leurs expansions
protéiformes pour se fixer. C’est à partir de ce moment qu’ils
perdent leurs cils pour toujours.
Fig. a. L’un de ces trois embryons dont la petite extrémité est
plus allongée, et vu sous le microscope avant qu’il étale scs ex-
|)ansions membraneuses.
Fig. d. Est un embryon cilié retenu malgré lui dans le réseau spiculaire
du corps de sa mc-re, et étalant des prolongements pour
se fixer sur le réseau spiculaire.
Les deux premières figures à gauche du grand carré noir, placées
au-dessous des ligures a , b ,c , d , représentent un individu
spongillaire provenant de l’iin de ces gemmes d’embryons ciliés
et libres. La petite ligure est la grandeur naturelle de cet individu ;
l'aiilre est le même individu grossi et vu de ¡irolil.
Les figures G", G"“, G'"’, G"% ï “" et e ,f , g, h sont relatives à
la deuxième sorte de corps reproducteurs que nous avons considérés
comme des gemmes d’embryons non ciliés et fixes, ou des
caïeux.
Les figures i, î , 3, 4, 5 du petit fond noir sous G" sont les grandeurs
naturelles de ces gemmes depuis leur première apparition à
la vus simple n° i, jusqu’à la taille des embryons non ciliés n® 5.
Ces gemmes sont toujours sphéroïdes et non ellipsoïdes comme les
précédents.
Les figures indiquées par les chiffres romains I, II, III, IV, V,
représentent les memes gemmes peu grossis et vus à la loupe.
Fig. G®“ est ua embryon gemmaire non cilié et fixe, observé sous
le microscope composé au grossissement de 3oo diamètres, pour
NOUVELLES RECHERCHES SUR LA SPONGILLE. 229
e.ssayer de découvrir des cils vibrátiles : il en est complètement
dépourvu.
Fig. G"*. Le même embryon écrasé sous le conqiresseur, et
montrant déjà un certain nombre de spicules siliceuses qui
n’étaient pas visibles avant son écrasement.
Fig. G"L Une feuille de cératophyllum recouverte par le cadavre
spiculaire d’une Spongille qui, avant de inonrir complètement,
pousse cinq gemmes d’einbryons non ciliés et fixes.
Fig. T°".ïube de verre plein d’eau contenant trois embryons non
ciliés qui se sont fixés sur ses parois, et se montrent sous le même
aspect que ceux contenus dans la figure T“'.
Fig. e , f , g, h. Quatre embryons gemmaires non ciliés placés sur
une lame de verre et observés sous le microscope composé
Ceux-ci étalent leur tissu, et se déforment plus lentement que les
embryons ciliés Hbres.
Les deux figures du grand fond carré noir, placées au-dessous
de e, / , g , h, représentent, l’une, la grandeur naturelle , l’autre ,
le grossissement d’un individu spongillaire provenant de cette
deuxième sorte de corps reproducteur, c’est-à-dire de gemmes
d’embryons non ciliés et fixes.
Les figures OE', OE'", OE", OE", T“'et i, k, l , m ont trait à une
troisième sorte de corps reproducteurs que nous avons nommés
corps oviformes ou oeufs de première saison.
Les chiffres i, 2, 3, 4, 5 de OE' désignent les ligures qui expriment
la série des grandeurs naturelles de cette première sorle
d’oeufs, depuis leur première apparition à la vue simple n° i, jusqu’à
leur état parfait d’oeuf n® 5.
Fig. I, I I , III, IV, V. Les mêmes vus à un faible grossissement.
Fig. OE'“ représente un corps oviforme de première saison à son
état parfait d’oeuf et vu sous le microscope sous le grossissement
de,3oo diamètres, pour constater les points nombreux desacoque,
et reconnaître comment la substance embryonnaire qu il co.n-
tient en sort par un orifice inférieur (ce qui est 1 état normal ),