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 Li:s  CÉP11A1.0TES  
 ; C U I ' J 1 A L ( ) l i : s .  Boil.  -  Urosmis.  Paiiz.)  
 (l'I.  lis.  7  )  
 Dili  lies  a n l e n n e s  doni  la  longueur  égale  au  plus  la  mollii;  cle  cel l e  du  
 c o r p s ,  compos é e s  d'art icles  coiirls,  el  doni  le  p r emi er  plus  cour l  que  les  
 d e u x  suivaus  pris  ens embl e  (..);  la  m a n d i b u l e  droile  forleinent  unidenlée  
 a u  còlè  inlenie(/.),  el  le  labr e  cnl ier .  (l)  
 l.ES  STOMIS,  
 (STOMIS.  Clai n  .;  
 (l'I.  lis.s)  
 O ù  les  anlennes  soul  plus  longues  que  la  moi l i c  du  corps,  composées  
 d ' a r t i c l e s  al longés,  et  doni  l e  p r emi e r  plus  long  q u e  les  d e u x  si i i ïans  réun 
 i s  (c)  ;  d o n t  la  m a n d i b u l e  d roi t e  olfre  près  d u  milieu  de  son  côlé  inlerne  
 l i n e  for t e  enlai l l e  (</),  c l  d o n t  le  labr e  esl  ccl iancré.  2)  
 L e  s o u s - g e n r e  suivant,  celui  
 DE  CATASCOPE,  
 (CATASCOPUS.  Kirb.)  
 (m.  aaiiv,  fig.  ,.)  
 S e  ci isUngucdes  deux  précédens,  dont  il  se  r a p p r o c h e  d'ailleurs  par,  lu  
 l o n - u e u r  relalive  du  troisième  art icl e  des  a n t e n n e s  (e),  e n  ce  que  le  corps  
 e s t  aplati,  p r o p o r t i omi e l l eme nt  plus  large,  avec  le  cor s e l e t  plus  c o u r t ,  les  
 ( i )  Cambus  ccphalotes,  Fai).;  Panz.,  
 r a i i n .  insect.  Gem.,  lxxxui.  ij  loti,  
 «•iilom,,  p.  62.  
 (2)  Siomis  pumicatus.  Cl air v.,  Lu [oui.  
 Iielv.,  II,  V!.  
 {a)  Pl.  s  
 (.0  l'I.  Q  
 fig.  7«.  
 i . / ig  8«.  
 (¿)  l'I.  22,  lig,  7.  (c)  l'I.  î  
 W  Pl.  : 2 ¿is, iig.  C  <  
 FAMILLE  DES  CAUNASSIKKS.  *  ''il  
 é l y t r e s  i 'or tenicnt  échancrées  latéralement  à  l eur  e x t r émi t é  postérieure,  cl  
 ( [ u e  le  Jahr e  est  a l longé.  Les  y e u x  sont  g rands  et  sai l lans .  Ces  insectes  ont  
 d e s  couleur s  brillautes,  e t  r e s s embl ent ,  au  p r emi e r  aspect ,  à  des  Cicindéles  
 o u  ù  des  Élaphres .  (i)  
 Là,  la  l o n g u e u r  du  Iroisiôaie  a r t icl e  des  ant eune s  est  t r iple,  o u  peu  s'en  
 J'aut,  d e  celle  d u  précédent .  Ces  o rgane s  ainsi  q u e  les  pieds  sont  généralem 
 e n t  grêles.  
 D a n s  ceux-ci,  les  quatre  premiers  articles  des  tarses  antérieurs  des  
 m û l e s  sont  lai-gcs,  et  le  p é n u l t i ème  est  bilobé.  
 LES  COLPODES.  
 i.r.OLl'ODES.  Mac.—L.)  
 Ce  sous -genre,  établi  par  M.  Mac  Leay  fils  (Annul,  javan. ,  I,  p.  17,  t.  i,  
 i i g .  3),  paraî t  avoi r  de  g r ands  rappor t s  avec  le  précédent  et  les  suivans.  
 [ i ]  Cesûiis-s;eni'e  aétéclabli  pur  J I .  Kirhy  
 .sur  une espèce  du  Carabique(t'fl<nii'o/«<i'  
 JJard'.vkliii,  Tcaus.  lin.  soc.,  XFV,  iit.  i;  
 llist.  nat.  lies  coU'opt.  d'Eiir..  II,  vu,  S)  
 des  Iiules-Orientales,  ayant  la  lète  et  le  
 covselel  verts,  tesélyhes  d'un  bleu  verdà- 
 Ire,  avec  des  stries  poncluées,  el  le  dessous  
 du  corps  presque  noirâtre.  M.  Mac  Leay  
 tils  {Annul,  javan.,  I.  p.  14)  place  les  
 flalascopes  dans  sa  l'amille  des  Ilarpdides.  
 immédialcnicnt  après  les  Chlienie.s,  et  y  
 rapporte  le  Carabe  élégant  de  Fabricius.  
 rangé  avec  les  Élaphres  par  AVcber.  Il  
 les  distingue  d'un  aiiU'c  sous-genre  lrè.'>  
 voisin,  qu'il  établit  sous  la dénomination  de  
 Pcrtcnlus,  par  ses  antennes,  dont  le  second  
 et  le  troisicnie  articles  sont  presque  
 de  longueur  égale,  tandis  qu'ici  le  troisième  
 esl  plus  long}  par  les  mandibules,  qui  sont  
 courtes,  épaisses  cl  courbées,  au  lieu  d'etre  
 avancées  et  presque  parallèles;  à  raison  
 encore  des  palpes,  t|ui  sonl  courts,  épais.  
 avec  .le  dernier  article  ovoide,  presque  
 tronqué,  Jandis  que  ceu.x  des  Péricales  sont  
 grêles  et  cylindriques  ;  enûn  parce  qu'ici  la  
 tète  esl  plus  large  que  le  corselet,  ce  qui  
 n'a  pas  lieu  dans  les  Catascopes.  Les  yeu.\,  
 en  outre,  sont  très  saillaus  et  globuleuv  
 dans  les  Péricales,  ce  (jui leur  donue  quel- 
 <jue  ressemblance  avec  les  Élaphres  et  les  
 Cicindéles.  11  n'en  décrit  (ju'unc  espèce  
 [Pericalus  cicindeloides,  i,  a)  ;  mais  nous  
 ignorons  encore  quelles  sont  les  dilïérences  
 se.\uelles,  surtout  relativement  aux  tarses.  
 La  forme  de  la  languette  des  Catascopes  et  
 celle  de  leurs  jambes  les  éloignent  des  Élaphres  
 et  des  Tachys.  Ces  insectes  se  rapprochent  
 beaucoup  plus  des  Chloenies,  des  
 Anchomcnes,  des  Sphodres.  etc.  Plusieurs  
 Carabiques  simplicimanes  ont  l'extrénuté  
 de  leurs  élytres  fortement  sinuée  au  bout,  
 et  se  distinguant  ii  peine,  sous  ce  rapport,  
 des  Troncttùpcunes.  
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