
 
		i n s e c t e s  MYRIAIHIDES.  
 Les  plus  grandes  espèces  vivent  à  terre,  particulièrement  dans  les  
 nluTne^^  une  odeur  désagréable.  Les  
 I Z !  T T  ~  O"  de  feuillesde  plantes  
 la  m o t s e  eîc  
 I Amenclue  .nendmnale,  a  jusqu'à  sept  pouces  de  long.  
 VMedes  salle,  (/.  EIcm.,  entoui.,  L«. n  - 
 I-  fhsc^atu,,  De  G.,  Inseet.,  VU,  x.xxv,,  9,10;  Leach.,  Zoo!.,  misccll., 
   cxxxiii;  long  d'environ  seize  lignes,  d'un  brun  noirâtre,  avec  
 deux  hgnes  roussâtres  le  long  du  dos:  cinquante-quatre  segmens,  
 dont  lavant-dernier  terminé  par  une  pointe  forte,  velue  et  cornée  au  
 bout.—En  Europe.  
 Vlule  terrestre  (/.  tcrrcstris.  Lin.)  Geoff.,  Insect.,  II,  XXII,  5  •  d'un  
 quart  plus  petit,  cendré  bleuâtre,  entrecoupé  de  jaunâtre  clair  -  nuarante 
 deux  à  quarante-sept  segmens.  -  Avec  le  précédent,  (i)  
 LES  POLYDÈMES,  
 (i'OLYDESWUS.  Lat.)  
 (H.  I , .  fig.  3 )  
 Semblables  aux  iules  par  la  forme  linéaire  de  leur  corps  et  l'habitude  
 de  se  rouler  en  spirale,  mais  dont  les  segmens  sont  comprimés  sur  les  
 côtés  inférieurs,  avec  une  saillie  en  forme  de  rebord  ou  d'arétc  audessus. 
   
 (i)  P'oyez les dtux Mémoires précilés du  
 M. Savi, et le Zoolog.  misctl ;  M.  Lcadi,  
 tom.  III,  à  l'égard  de  ces  deux  espèces  
 ci  dequekjuesaulresd'Angklenc. Ajoiilf/;  
 lulas  Indus,  Lin.  ; De  O.,  VJI,  xi.ti  
 SCIJ.,  MUS.  H,  xxiv,  'i,  fy- 
 Selj., Mus.I,  i,xxxi,  5.  
 Sclira't.,  Abhandl.,  I, m,  7.  
 FAMILLE  DES  CHILOGNATHKS.  ii o  
 On  les  trouve  sur  les  pierres,  et  le  plus  souvent  dans  les  lieux  humides. 
   (I)  
 Les  espèces qui  ont  des  yeux  apparens  forment  le  penrc  Craspedosome{a)  
 de  M.  Leach.  (2)  
 Les  autres  ont  le  coi ps  membraneux,  très mou,  et  terminé  par  des  pinceaux  
 de  petites  écailles.  Leurs  antennes  sont  de  la  môme  grosseur.  
 Tels  sont :  
 r.ES  POLLYXÈNES,  
 (POLLYXENUS.  Latr.)  
 (Pl.  t[,fig.  5, 5«.  etf.)  
 Qui  ne  comprennent  encore  qu'une  seule  espèce,  rangée  avec  les  Scolopendres  
 (5c.  lagnra.  L.)  par  Linnoeus,  Geoffroy  etFabricius.  
 C'est le  Iule  à  gtieue en pinceati  de De  Geer,  Insect.,  YII,  xxxvi ,  1,  2,  3;  
 Zool.  miscell.,  cxxxv,  B.  Cet  insecte  est  très  petit,  oblong,  avec  des  aigrettes  
 de  petites  écailles  sur  les  côtés,  et  un  pinceau  blanc  à  l'extrémité  
 postérieure  du  corps.  Il  a  douze  paires  de  pieds,  placées  surautant  
 de  demi-anneaux.  
 Il  se  tient  dans  les  fentes des  murs  et  sous  les  vieilles  écorces.  
 (1) Les lule-scom/j/flWfl/Hi (Zool. miscel.^  
 cxxxv,  A)  deprcssiisy  stigma  ,  tridentalus  
 de  Fabricius ;  ses  Scolopendres ?  dorsalU,  
 clypcata.  
 (2) Les espèces, ¡nconniics avanl j\I.  Lcadi  
 paraissent  propres  à  la  Grande-Rrelagm-.  
 Voyez ia  planche  cxxxiv  de son  Zoological  
 Miscellany,  tom.  III.  
 r.  r  i  I,  
 W  M.  
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