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•'lO« iXSECriiS COLKOl'TiillES.
Daii.s les nul les , les ailes soul loujoui s rccouvorles par des é lyt ics prolongées
jusque prùs de l'exlrémilù de rabdonien > c l allaiil en pointe. Le
b o r d poslérieur du corselel n'est poinl ou. peu lobé. lAibdomcu des Icu
i e l l e s est lenniné eu manièi e d e queue, poinlue au boul. Les yeux sont
(luelquel'ois écliancrés. Les palpes maxi l lai res sont leriuinés par un grand
; i r l i e i c , en forme d e hache ou de Iriangle renversé. L'exl réni i l é des mandib
u l e s est échancrée ou bilide. Les antennes, même dans les niAles , sont
n u plus dentées eu scie."
LES MOlîDEl.LES pro|>res
MOKDELU. Lin.,Fal).;
(l'i. yi Ms. (iy. s.)
Ont les a n t e n n e s de la ménte grosseur par tout (<>), u n peu en scie, dans
les mâles -, tous les art icles des tarses entiers, et tes crochet s des derniers
oiTrcnt en dessous une ou plusieurs dentelures. Les yeux ne sont poinl
é c h a n c r é s .
M. Léon Duiour a observé dans l a Mordi l l e « bandes deux vaisseaux sal
i v a i r e s flottans , plus longs que le corps. Les vaisseaux Uépali([ues n'ont
p o i n l d' inser t ion coecale, caractère exceptionnel dans eut le section.
La M. à tarière ( ,1/. uculeula, Lin. ; Ol iv. , coi- 111 , 64 , 1 , 2 ) , longue
d e deux lignes, noire, luisante, sans taches , avec un duvet soyeux;
t a r i è r e d e la longueur du corselet , e t au moyen de laquel l e l'insecte eiiÎ
o u ç e ses oeuf s dans l'inlérieur des cavités d u vieux bois, (l)
LES ANASI'IÎS
(ANASIMS. Gcoir. —tlordcUa. Liii., Fall.) '
(Pl. 5J/«i,li(;. (,.)
St! «lislin},'uent des p r éwd e n s pai' k' s a i i tcimes, qui sont simples olvonl
( 11 ^Jorilfi, les I'sjicfcs siiivaiitos d'Olil
i w : j'an'iala, tiuiìili^cim-pìi/iciatn, ot/iil>
Hnclit!ii, ahilom'inaiis, Vore^ aussi TiscliiT,
Emoni, ill' la iìiissiu, li, xxxviii,
liy. J, 1. Sun ijL'iire Ch-iiopiis liliiil., (al).
nail,.fi};. |iai'ait l'airr le |iassagii ilrs l'ii-
M Pl. à î iù. l i j . Sa. •
liicoluiiius aii.\ Miji'ildles. Lts anluiiiics soul
iiiiii|)los ; It- lalire usi Ijiliilu; lu.s iiianililiiilo.
s ioiil forlfi. I'i ai'iiiiucs; li-s [lalpii.s
ma.<.illaircs soul li i's loii^s ot |iii'S[[iie lililormcs;
Ions los arlii'lfs ilts laisi's siiiil ciUii'is,
I'l Ills rl lltllllls llll lifl llil'r Mini IlI'milll'.S.
FAMIL1,E DES TR ACiniUllF.S.
r i i .lossissaiil («), I 'ccl ianc u™ clc leurs yeux , cl par leurs f|ualrc larses
a u l é r i e u r s , .loul le péni i l l iéme a r l icl e esl liiloljé. Les croci,els du dernier
s o n i entiers el sans dentelures sensibles. (1)
I,a quatrième tribu, celle des a s t h i c i d e s {Anthiçides),
nous présente des antennes simples on légèrement en
scie, filiformes ou un peu plus grosses yers lebont,(lont
la plupart des articles sont presque en cône renversé et
presque semblables, à l'exception du dernier (et quelquefois
aussi des deux préeédens), qui est un peu plus
grand et plus ovalaire ('); des palpes maxillaires terminées
en massue en forme de haclie; des tarses à pénultième
article bilobe; un corps plus étroit en devant, avec
les yeux entiers on faiblement échancrés; le corselet tantôt
eu ovoïde renversé, rétréci et tronqué postérieurement,
et quelquefois divisé en deux noeuds, tantôt demi
circulaire. Quelques-uns de ces insectes se trouvent sur
diverses plantes; mais le plusgraud nombre vita terre. Ils
courent avec beaucoup de vitesse. Leurs larves sont
peut-être piirasites.
ils composeront le genre
INOTOMl on CliCULLE de Geoffroy.
( ^ 0 T 0 x u s . )
j f ) risflii-r, d'Ut., fronraHs,
lai., i-ail.. lis- "i i
- iMiei-alh, (> ;
(a) Ml. â3/.iii. llli. i,a.
Thorackn, lig. 7 i
/•ï«i-«, ns- S.
{i') Pl. 5.',, lig.
n -
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