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 '•iflll  INSECTES  COLÎOI'TÈllES.  
 laircs  et  bombées,  ou  proporliomicllcmenl  plus  convexes  que  les  préeédentes. 
   Aussi  quelques  auteurs  en  onl-ils  placé  certaines  espèces  dans  des  
 genres  d'une  forme  analogue,  mais  très  dlirérens,  tels  que  ceux  des  Sphéridies  
 et  des  Tritomes,  
 On  trouve  en  grande  abondance  sur  les  fleurs  la  N.  hnméc  (»)  ( f f .  
 amaa,  Fab.,  ejusd.,  iV.  viridesccns,  rii/ipes,  Var.  ;  Oliv.,  col.  II,  l i ,  12;  
 m ,  20,  a,  b  ;  T ,  33,  a,  b).  Elle  est  petite,  ovoïde-oblongue,  d'un  vert  
 bronzé  brillant,  très  ponctuée,  avec  les  antennes  noirâtres,  terminées  
 par  une  grande  massue  obtuse;  le  corselet  transversal,  légèrement  
 êchancré  en  devant,  rebordé  latéralement,  et  les  pieds  tantôt  d'un  brun  
 noirâtre,  tantôt  fauves,  (t)  
 Maintenant,  le  second  et  le  troisième  article  des  antennes  sont  presque  
 de  la  même  grandeur,  et  la  massue  est  allongée  en  forme  de  c6ne  renversé  
 on  de  poire.  
 LES  CERQUES.  
 (CERCUS.  Latr.  —  Calhereles.  Herbst.,  Illig.  —  Dermesles.  l.in.,  Fab.  —  
 Sphoeridium.  Fab.,  Gyllenb.  —  Nilidula.  Oliv.)  
 (Pl.  36, fig. 5.)  
 Le  corps  est  déprimé,  avec  les  é lytrR  tronqués.  Les  deux  premiers  articles  
 des  antennes  sont  beaucoup  plus  grands  dans  les  mi les  de  quelques  
 espèces  que  dans  leurs  femelles,  et  peut-être  ce  sous-genre  ne  devrait-il  
 comprendre  que  ces  espèces;  les  autres  seraient  reportées  dans  le  précédent. 
   (2)  
 Là,  les  jambes  sont  longues,  étroites,  presque  linéaires;  les  élytres  recouvrent  
 l'abdomen  et  ne  sont  point  tronqués.  
 Le  corps  est  ovale,  avec  le  corselet  trapézoïde  ;  la  massue  des  antennes  
 est  oblongue,  les  deux  premiers  articles  sont  presque  égaux,  et  le  troisième  
 n'est  guère  plus  long  que  le  suivant,  (c)  
 LES  BYTURES.  
 (BYTUHCS.  Lat.,  Schoenh.  -  Dermesles.  Geotf.,  Fab.,  Oliv.  —  Ips.  Oliv.)  (3)  
 (Pl.  36,  f,g.  6.)  
 ¡i)  ro,-ez  Fall.,  OIIv.  ,  Gyllenli.  
 (ü)  rojez  Gjllenh.,  Insccl.  
 W  Pl.  36,%.  4.  
 p.  «5.  
 (3)  rojrfsSclioeuIi.,  Synon.,  In.sect.,  I,  
 l>,  95.  
 (Í)  Pl.  36,  fig.  5.  M  M.  36,  Cg.  6o.  
 FAMILLE  DES  CLAVICORNES.  2UI  
 Une  sixième  tribu,  celle  des  eng idi t e s  [Engidites),  
 analogue  aux  dernières,  quant  à  lechancrure  de  l'extrémité  
 des mandibules,  s'en  distingue  en  ce  qu'elles  ne  
 débordent  point ou de  très peu, et simplement  sur  les  côtés, 
   le  labre.  Le  corps  est  ovakire  ou  elliptique,  avec  
 l'extrémité  antérieure  de  la tête un peu  avancée  en  pointe  
 obtuse  ou  tronquée.  Les  tarses  ont  cinq  (i)  articles  distincts, 
   entiers  ("),  et  tout  au  plus  un  peu  velus  eu  dessous, 
   le  pénultième  est  seulement  un  peu  plus  court  que  
 le  précédent.  Les  antennes  se  terminent  en  une  massue  
 perfoliée,  de  trois  articles  (');  les élytres  recouvrent  entièrement  
 l'abdomen  ; les  palpes  sont  un  peu  plus  gros  à  
 leur  extrémité.  Quelques  espèces,  très  petites,  vivent  
 dans  l'intérieur  des  maisons,  et  on  les  trouve  souvent  
 derrière  les  vitres  des  croisées.  
 Ces  clavicornes  seront  réunis  en  un  seul  genre,  celui  
 DE  DACINÈ.  
 (PACNE.)  
 LES  DACNÉS  propres.  
 (BACNE.  Lat.  —  Engis.  Fab.,  Dej.  —  Erolylus.  Oliv.)  
 (Pt.  36.  fig.  7  )  
 Leurs  antennes  se  terminent  brusquement  en  une  massue  assez  grande.  
 (i) Suivant  des ai  es Cry,,10- 
 ,  sont  hó- 
 W  PI,  :  (Í)  Pl.  36,lig.  
 !  II