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 Q u e l q i i e s  nnes,  donllo  corps  est  loujours  ovoïde  on  ov;iliiii-e,  ailé,  el  
 d o n t  les  palpes  finissent  en  poinle,  se  rapprochcnl  des  enniolpes,el  se  
 d i s t i n g u e n t  dès  autres  chrysoniélines  suivanlcs,  parleurs  anlonnes  lilif 
 o r m e s  ,  p lus  longues  que  la  moilié  du  corps  ,  c omp o s é e s  d'arlicles  allong 
 é s ,  presque  cylindriques  («),  cl  dont  le  onzième  ou  dernier  article  est  
 t e r m i n é  par  un  appendice  ou  faux  a r t icle,  doul  la  longueur  égale  presque  
 la  moilié  de  celle  de  la  portion  précédente  de  cet  arlicle.  Tels  sont  
 L E S  COLASPES,  
 {COLAVSIS.  Fah.)  
 (IM. 72,  tig.,S.)  
 Qui  n'ont  point  de  saillie  a u  mésoslernnm  i^i).  El  
 L E S  PODONTIES,  
 [PODOINTIA.Dalm.,  
 ( f l .  72.0;..  9.)  
 Où  le  m é s o s l e r n n m  s'avance  en  nne  pointe  court e  et  conique,  reçue  au  
 b o u t  dans  nue  échancrnr e  postérieure  dn  presternum.  (2)  
 Le  p remier  et  l'avanl-di-rnicr  article  des  tarses  sonl  très  g rands  et  trè.s  
 d i l a t e s  j  le  second  cstpelit(¿).  Le  clerfiier  des  maxillaires  est  conique.  Le  
 c o r p s  est  oblong,  déprimé  on  peu  élevé,  tandis  que  dans  les  coîaspes  il  
 e s t  généralement  court  cl  très  convexe.  
 Dans  les  chrysomélines  suivanlcs  et  de  la  même  Iribu,  les  antennes  
 s o n t  plus  courtes,  composées  d'articles  en  forme  de  cône  renversé,  ou  plus  
 o u  moins  p resque  grenues  , c l  vont  en  grossissant  ;  le  faux  article  ou  l'app 
 c u d i c e  terminant  le  dernier  esl  très  cour t  ou  ]jeu  distinct.  
 Les  une s  ont  les  p a lpe s  maxi l laires  plus  g ros  et  t r o n q u é s  íí l e u r  extrémité.  
 P a r m i  elles,  il  eu  est  deux  où  les  deux  derniers  articles  de  ces  palpes  
 s o n l  réuni s  el  forment  ensembl e  inie  massu(î  tronqiu'^e  ;  l e d e r n i e r  esl  plus  
 c o u r t  que  le  p r é c é d e n t ,  soil  t ransveisal ,  soit  en  forme;  de  cône  très  court  
 e t  tronqué.  
 (i)  Fabriciiis,  Olivier,  Scliirnlii-ri  
 ol  Ccrmar.  
 (?.)  Dnliii.,  l  |>lit'nu'iiJ  riilom,,  T,  a!},  
 ifl)  IM.  fiR.  8/'.  
 ])(! rc  nomlirii  ost  la  Chrysomela  i 4-/)»«<•- 
 tala  JuFiil).;  Oliv  .  col.  V,  JM,  iv,  
 m  
 l'AMILLK  UliS  CYCLIQUES.  
 L E S  PIIYLLOCIIAHIS,  
 'l'JIYLLOCHAlUS.  U;ihn.)  
 M>1.t3,  lis-  '  )  
 Sans  saillie  luésoslernale.  (l)  
 i . E S  d o u y p h o u e s ,  
 (UORYl'HORA,  mis.)  
 (l'I.  îS.lig.  s.)  '  
 Où  le  méso.sleraum,  au  coiilraire,  esl  avancé  en  poinle  ou  en  manière  
 d e  tonie  (o).  Les  espèces  de  ce  sous-genre  Î2)  sonl  propi  es  à  l'.Vméi  ique  
 m é r i d i o n a l e  ;  cel les  tlu  p récédent  habi lenl  la  Nouvel le-Hol lande  el  Pile  de  
 •lava.  Celles-ci,  el  donl  le  nombr e  esl  pcl i l ,  diffèrenl  e n  outre  des  préeéd 
 e n l e s  par  leur  corps  plus  al longe  el  b e aucoup  Lnoins  élevé,  el  par  leurs  
 a n l e u n e s ,  donl  les  p remier s  articles  sonl  p ropor l ionne l l emenlplus  coni  ls,  
 p l u s  épaissis  e lplus  a r rondi s  a u  boni ;  le  second  est  p resque  globuleux  cl  
 n  est  guèr e  plus  court  que  le  suivanl.  
 On  trouve  en  Espagne  deux  espèces  qui  paiaissenl  devoir  former  un  
 a u t r e  sous-geni e  Da im. )  Tx  mé sos l c rnum  n'a  point  de  saillie,  
 a i n s i  que  dans  les  phyllocharis-,  mais  les  ai  t ieles  des  anleiuies  sonl  prop 
 o r l i o n n e l l e m e n l p l u s  longs  ,  p l u s  obconiqi ies  ;  le  corps  est  plus  bombé,  
 a v e c  le  corselet  plus  élevé  transversalement  el  arrondi  dans  le  milieu  ou  
 p n l v i n i f o r m e ,  tandi s  que  sa  sur f a c e  est  plane  ou  au  Ulùnie  niveau  dans  les  
 p r é c é d e n t e s .  (3)  
 (i)  tïiilm.,  l'iilu-m.  inUuiii.,  I ,  l».  20.  
 l.cs  i lii-ysomólos  í:pwlf'cs,  cyaiikoniia,  
 umhihila,  ilu  l'ali.  U''«..  
 1)1,  IV,  5u,  .',Ct,  el  v.i,  i)»j,  loo.  
 ,  (.Jt) Oliwor,  eol. V,siiile  lUi 11" 91,  Soi j - 
 f/horc.  for i : ^  aussi  GiTiluu-  (tiiscet.  Spcc.  
 (3)  Chrysoiiu  ldivliniilata,  Dfjciui,  rt  
 («)  IM  lit;.  
 um-  iiulro  c.sjicce »vos iuiulogiie,  mais  rayée.  
 !\t.  le ilocleur  Loucti  m'a  cominimiiiué  une  
 dirysomélim;  voisine  itcs  doryphores,  dans  
 le  màle  itc  laquelle  tes  aiilomuis  n'oUVaieiit  
 (|ue  huit  arlietes,  iloul  les  doux  derniers  
 runnaul  une  massue,  (l'esl  son  },'enrc  Apavuvn. 
   La  CUrysomcla  hadiu  de M.  Germar  
 jiaraU  eu  former  iiii  aulre.