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 ."=8  INSHCTtS  COLiOl'XEllES.  
 pièces  principales,  cornées  ou  conniventes,  qui  la  constituent  
 dans  la  tribu  précédente,  niais  par  le  rapprochement  
 des  colonnes  charnues  de  son intérieur. r>e ventricule  
 chylifique  est  proportionnellement  plus  long,  et  
 les  capsules  spermatiques  sont  moins  nombreuses.  Les  
 Blaps,  selon  le même  naturaliste,  sont  pourvus  d'un  appareil  
 de  sécrétions  excrémentitielles  double,  et  d'une  
 toute  autre  structure que  celui des pcntamères: il consiste  
 en  deux  vessies assez  grandes,  oblongues,  situées  tout-àfait  
 au-dessous  des viscères  de  la digestion  et de  la  génération, 
   très  rapprochées  l'iuie  de  l'autre,  à  parois  très  
 minces et  entourées  de  replis  vasculaires,  adhérens,  plus  
 ou  moins  boursouflés, et dont  il  est  difficile de  connaître  
 le  point  d'insertion,  dans  l'impossibilité  où  l'on  est  
 de  les dérouler.  Il  faut en  dire  autant  des  conduits  destinés  
 à évacuer  au  dehors  le  liquide  sécrété;  ilssontcachés  
 par  une  sorte de diaphragme  membraneux  appliqué  
 à  l'aide  d'uii  panicule  charnu  sur  le  dernier  segment  
 ventral. La  liqueur  sécrétée  sort  latéralement  et  noji  par  
 l'extrémité  du  dernier  anneau  :  elle  est  lancée  jusqu'il  
 sept  ou  huit  pouces de  distance,  brunâtre,  d'une  âcretc  
 fort irritante  et  d'une  odeur  propre  et  pénétrante.  
 Cette  tribu  sera  formée d'uii  seul genre,  celui  
 DE  BLzU'S.  
 illLAl'.S.)  
 Les  lilaj)si-lcs,  ilont  lo corps  est  génél-aliînicHl  oljlotif;,  avec  l'abctomcn  
 FAMI!,LE  DES  MÉLASDMES.  ,-rii)  
 embrassé  laléralemenl  par  les  élylres,  qui,  le  plus  souven. ,  se  
 vers  le  boul  el  se  lermiuenL  en  poiule  ou  en  u.aniSre  de  queue  i  don  es  
 larses  sont  presque  semblables  dans  les  deux  sexes  et  sans  ddatal.on  ,emarquable, 
   formeront  une  première  division.  
 Les uns  ont l e  menton  petit  ou  n'occupant  guère,  en  largeur,  que  le tiei  s  
 deeclle  du  dessous  de  la  lète,  presque  carrée  ou  orbieiilaire.  (»)  
 ,c,  toutes  les ,a,nbes  sont  grêles,  sans  arêtes,  ni  dents  fortes  au  cùte  e  - 
 terne,  l.e  corselet  n'est  jamais  dilaté  en  devant,  m  en  lorme  de  cceui  la>  - 
 geinent  tronqué.  
 LES  OX LIRES  
 (OXURA.  Kirb.)  
 (l'I. 47. Ce- s-)  
 o n t  le  corps  étroit  et  allongé,  le  corselet  plus  long  que  large,  ovoïde  ,  
 ironqiié  aux  deux  bouts,  et  les  articles  intermédiaires  des  antennes  longs  
 et  cylindracés.  (/')  (U  
 LES  ACANTIlOMÈliES  
 (ACAM'HOMEKA.  Latr.  —  l'imelm.  Fab.)  
 (l>l.47,lis-  P-)  
 Ont  le  corselet  presque  orbiculalre,  transversal  ;  l 'abdomeu  presque  glo  
 buleux  •  le  troisième  article  des  antennes  beaucoup  plus  Ion,»  que  es  su.  
 C y l i n d r i q u e ;  ceux-ci  presque  de  cette  forme,  et.es  trois  derniers  
 au  plus,  grenus.  (2)  
 LES  MISOLAMPES,  
 (MISOLAMPUS.  Lalr.  —  PiinHin.  Herbst.)  
 (l'I.  47.  Sg-  "> )  
 Doiitle  corselet  est  p resque  globuleux,  et  l'abdomen  presque  ovoïde;  et  
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 ,  KirI).,  l.imi  iraiis,  
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 ;  le corps esl  Irò;  
 uns lU'S jambi^s s