i-"o iN'STiCTKS c o L r o n ùra-.s.
Les pieds soni robuslcs. avec les jrmibcs épinenses el les erocliels dos
t a r s e s simples. Les tarses inieiuu'diaires, dans les femelles mOmes, soni
c o u r t s , et, h la dilalalion près, eonlormcs à-peii-})i ès ainsi quo les ptécédeus.
Ces Carabiques se plaisent dans les lieux sal>Ioniieux el exposés au
s o l e i l .
Cette section se compose du gein'e i larpulr, lei ¡pic M. lionelli Ta rest
r e i n l d a n s l c labieau présentant la dislribulion généi-ale des r.iii-abiqnes.
De nouvelles coupes en oui encore depuis diminué rélendue. Elles soni,
s u b o r d o n n é e s aux trois dix isions suivantes.
L a première aura pour caractères : é chanc rur e du nienlon unidenlée (i),
l a b r e écbancté , l é t e . e l exliémilé aniérienro du corselet aussi larges ou
plus larges que l ahdome n (2). El l e comprend trois sous-^'cnres.
L E S ACIiNOl'ES,
ACINOPtS. Ziégl.. i)e|.)
( l ' I - v u l i c -
A anletmes filironnes, composées d'articles couris, mais cylindiacésf'-'',
e t à corsejot rétréci insensiblemenl de devani eu arrière, avec les angles
p o s t é r i e u r s très obtus on arrondis. Le labre esL forlemeuL éehanei é i les
mandibules n'oul poinl de dents; celle du nnlieu de l'écbancrure du
meulon est lurgeuienl tronquée. (3)
(x) Si les Cjclosonies {voj. la pag. i3(i)
oui les quatre tarses anléricurs dilalés, ils
l'or nie l'Ont une t|ualricme cli\ision, à raison
(l«s deux dents dcrécliancnire du meiilon.
(a) Tète fortes, paraglosscs assez larges,
romparalivemenl à la languette propre, el
arrondies au boni ; second article des antennes
un pfu plus couri que le suivaiil;
(a) l'i. 2t. ilg. 7«.
tarses inlcrmédiaires <les mâles lui peu
moins dilalés ([ue les iiiiférioiii'S.
(3) ìlnrpalus nìcgaccpìialus , Latr. ,
r.eucr. erust. et insect,, p. aoC; Curahus
megaccphaliis. Fai i. ; R oss., Faim,
cirusr., Append., Iah. TU, 1!; Jc¡/io¡ius
mcgaccplHiliis, nej.. Calai.
à
F.\M11,LE T)t:.S CAIlNASSIIillS,
L E S DAl'IES,
(DAl'TUS. risch. — Ac¿nopi,.s. Dej.)
(l't. VI , ti-, «.)
A anleiuies, à cominencei' au cinquième article, monililormes(n); 'i
c o r s e l e l rétréci briisqueuM;nl vers ses angles postérieurs, qui se lermiiierit
en pointe. L'une des mandibules est avancée el très poinlueC^). Les qualre
j a m b e s anlé.ieures, surloul celles des milles, soul très garnies de petiles
é p i n e s .M (I)
Prés des Daptes parait devoir venir le genre l*ifn;ji/s dc I\i. Megerle,
nu nl iouné par M. le coui l e Dejean dans le catalogue de sa colleclion de
c o l é o p l è r e s .
D après l'élude de l'une {Pcnnsylrunicifs) des deux espèces tpie celui-ci
y rappoi ie, j e n'ai pu découvi-ir les cai'actères (pii distinguent celte coupe
de la précédente.
La seconde division se compose d'Iiarpales, ayantaussi l é c l ianc rur e du
menton unidenlée, mais dont le corps, plus ou moins ovalaire ou ovoïde,
esl plus éhoi l en devani, el donl le labre esL ent i e r ou simpleinenl un peu
concitve {'/). Ce sonl :
L E S liAlil'ALES propres.
illAlil'AI.US. Ilej.l
(l'i. »1. lis- !))
t ' n e vs\HKO lies plus communes dans loule l'Eiii-ope esl \'II,ir¡ii,k
bronzé {Cumhus oeiicirs, Tab.; l'auz., Fauli. iusec. Gei-m., i,XX\ , »,
4 ) H ; son corps est lon^- il'enviioii qu.ntre lignes, d'un noir luisant,
avec les ant ennes et les pattes fauves; le dessus du coi s e l e t eUl e s élylres
le ))lns souvent verL ou cuivreux et brillant, ipielquerois d'uii noir
(i) Jfl'iopiis uuuuupefuùs, I1ej. ; /iíf/ílus¡
licíiis, t-'isrli., iMitoiii. itela lUissic. tt.
D. •¡•iííalus. ojiisit., it'iit.,
Ditomn 'vitliger. Germ. ;
D. L-lthroiicus, ejiijit., iliiil.
'„) fl,
(.i, t'I.
).i, Cg. S„.
il, tifi çi".
(,) fl.
W l'I-
1, ili;. .S 6.
„ . I l s . i j ,