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 iî'2'i  îNSF-Ci  r s  c;oi.É()i''ii:iU':s.  
 plus  coiirlos  el  comiiosrcs  iroiiii'los  cn  ('«"ïno  ronversc  («),  son!  les  GAI-KluioL'Ks  
 propres  (GALERUCA  ,  GoofTr.).  Telle  esl  
 La  ii.  dc  ¿'orOTc(i;  {Chnjsomcln  cnltnariensis,  Lin.;  Oliv.,  col.  VI,  513,  
 I I I ,  37),  longue  clc  trois  lisfnes,  janniUre  ou  vcnlAlre  cn  dessus;  Irois  
 laches  noires  sur  le  corsclcl  ;  une  iiulre,  avec  nno  raie  cl(i la  même  coul 
 e u r ,  sur  cliaqiic  élui.  —  Sur  Tornie,  ainsi  que  sa  larve.  Celte  espèce,  
 dans  les  années  où  elle  esl  abondante,  en  dcMi uil  loul'  S les  Icuillcs,  cl  
 fail  autant  dc  lorl  que  certaines  chenilles.  
 L a  G.  (le  la  innaùieiChnjsomcla  hitiaceli,  Lin.;  Oliv.,  i/nd.,  i,  1 ) ,  ovale  
 o h l o n g u e,  très  noire,  peu  luisante;  étuis  iortemenl  ponctués,  sans  
 slries.  — S u r  la  tauaisie.  a)  
 Les  galérucites  sauteuses,  ou  celles  dont  les  cuisses  postérieures  sont  
 renflées,  dispersées  par  Fabrieius  dans  les  genres  Chn/somcla,  Galcrncu  
 e t  Crioccris.  sont  réunis  en  un  seul,  celui  d'AI-TisE  ou  Ifallira)  
 dans  les  mélhodes  de  GeoiTroy,  d'Olivier  et  d'Jllij,'er.  Ces  coléoptères  soul  
 ti'ès  petits,  mais  ornés  dc  couleurs  variées  ou  bri l lantes,  sautent  avec  nue  
 grande  promptitude  et  une  grande  hauteur,  et  dévastent  souvent  les  
 feuilles  des  végétaux  qui  sont  propres  à  leur  nourriture.  Leurs  larves  en  
 rongent  le  parenchyme  cl  s'y  métamorphosent.  Quelques  espèces,  celles  
 nolanuiientque  l'on  désigne  sous  les  noms  de  Puces  des  Jnnlhis,  foui  beaucoup  
 de  tort ,  dans  les  deux  étals,  aux  plantes  potagères.  L'Amérique  méridionale  
 est,  de  toutes  les  contrées,  celle  qui  en  fournit  le  plus  grand  
 nombre.  Illiger  a  publié,  dans  son  Magasin  enlomologique,  une  excellente  
 monographie  de  ces  insectes  ,  qu'il  distribue  dans  neuf  faniilfts  ,  cl  dont  
 quelques  unes  nous  ont  paru  devoir  former  des  sous-getires  ju'oprcs.  
 •  Celui  d'ocTOGOi>OTE  Î0CT0G0>0TES),  établi  par  M.  Drapiez  [Amuil.dcx  
 Srieyiccs  jihijsig.,  111,  p.  181  ) ,  s'éloigne  de  tous  les  autres  par  la  forme  des  
 palpes  maxillaires.  Ainsi  que  dans  les  adories,  ravant-derniiu-  article  est  
 gros,  en  lormede  toupie  ,  et  le/ lernier  très  coin  t  e t  lron(|ué  ;  les  labiaux  
 se  terminent  en  pointe  ou  eu  manière  d'alène,  de  même  que  dans  tous  les  
 .  sous-geni'es  suivans;  mais  ici  les  maxillaires  ont  la  même  confoi-uiation  ou  
 sont  pareillement  subulés  à  leur  exlrémité.  Le  ilernier  ai  licle  des  larses  
 postérieurs  des  octogonotes  est  brusquement  rcnllé  et  arrondi  cn  dessus,  
 comme  anipullaeé,  avec  les  deux  crochets  du  Imul  inférieurs  et  petits.  
 •(i)  roycz  Otiv.,  iòu/.  
 (n)  VI.  lig.  10«.  (/')  l'i.  HFAMILÎ,!: 
   DES  F-VCLiQUES.  
 LES  OEDIONYOUES  
 (OEDIOiNYCHlS.  Lalr.)  
 (l>t.  75.  Cg.  IÎ.)  
 S e  distinguent  par  ce  dernier  caractère  des  sous-genres  suivans.  Nous  
 y  i-apporlons  les  deux  premières  familles  de  la  monographie  d'Illiger.  
 L'Europe  n'en  oiFrcqurnie  seule  espèce  {A.  mfinjinella,  Oh\.,  col.  vi .  
 93  bis,  II,  34);  encore  ne  se  trouve-t-clle  qu'en  Espagne  et  en  Portugal. 
   (I)  
 Dans  les  autres  sous-genres,  le  môme  article  des  tarses  est  allongé,  
 s'épaissit  graduellement,  et  les  deux  crochets,  de  grandeur  ordinaire,  
 sont  situés,  comme  de  coutume,  à  son  extrémité  et  dans  une  direction  
 longitudinale.  
 LES  PSYLLIODES  
 (PSYI.LIODES.  l-alr.)  
 (PI,  ,3,  lig.  ,3.)  
 Oui  le  premior  arlicle  de  leurs  tarses  poslérieurs  ton  long,  inséré  audessus  
 de  l'exlrémité  poslérleui  e  de  la  jambe  ;  cel l e  cxlrcmi t é  se  prolonge  
 cn  manière  d'appendice  conique,  comprimé,  creux,  un  peu  denlelc  suises  
 bords,  cl  lerininé  par  une  pclile  dent  («).  (2)  
 LES  DIBOLIES,  
 ( n i BOMA.  Latr.  ^  Auparavant  AUitar>iis.  )  
 T)onl  la  lète  est  cn  majeure  partie  retiree  dans  le  corselcl ,  et  dont  les  
 jambes  poslericures  sont  terminées  par  une  épine  lourchue.  (3)  
 (1)  Ajoiiuz  les  A.  hkohr,  liiomcua,  
 àncta,  alhicoUu,  innata,  et  quelques  
 anives  espècc-s  d'Olivier.  
 (2)  La  neuvième  l'aiiiitlo,  ou  les  ^lltilarsvs  
 d'Illiger,  renfermant  les csi>èeo.s .suivantes  
 de OylleiiiKill  ; chv) soccpUala,  iiopK  
 hyoscinmi,  tiulcaniniw,  oj'fiuis.  
 Cellos  (ju'il  nomme  ar'iMla,  
 INSKCn-F-S.  
 el  (jnelfuios  aulres  donl  les  jambes  poslérienres  
 sont  dilatées vers  le  milieu  de  lenr  
 rolé  postÎM'ieur, cn  forme  de  denl,  avec  un  
 canal  cn  dessous,  longiUidinat  et  cilié  sur  
 sesl)ords.  pourraient  former  uii  sons-;;cnre  
 propre.  
 (3)  Lahuilièiiie  famille,  IV.  echii,  d'Olivier, 
   et \\ l.  oa^iUous  de Gyllenliall.