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«210 INS ECT E S COLÉOPTÈRES.
7US, Oliv., col. II, 30 bis. I, I, a , b, c ; Tau p in, I, i, a, b, c), diffèr e singulièr
e m e n t du mâle; ses antennes ne sont guère plus longues que la lêle; leur
p r e m i e r article est beaucoup plus long que les autres ; le quat r ième et les
suivans composent , réunis, une petite massue oblongue et presque perfoliée
(fl). Les ailes avortent eu par l ie. Les p ieds sont plus courts, mais prop
o r t i o n n e l l e m e n t plus robustes que ceux des mùles. La larve vit probablement
en terre. Le C. bicolor de Fabricius (1) et quelques autres espèces
d'Amérique dont le corps, est allongé, inoins arqué en dessus ou presque
d r o i t , avec les antennes plus courtes, ont paru au docteur Leach, devoir
composer une nouvelle coupe générique (2).
Ici le p r o s t e r n um ne se prolonge point notablement en pointe, cl le més
o s t e r n um n'offre point intérieurement de cavité.
T a n t ô t tous les articles des tarses sont «-ntiers et sans palelle membraneuse
et avancée en dessous.
LES ANELASTES,
(ÂNELASTES. Kirby.)
(I»l. 3t , lip.
Dont les antennes sont écartées à leur naissance, courtes, presque grenues
, avec le dernier article (3) p r e s q u e en croissant (¿), et dont le même
des palpes et presque en forme de cône renversé. M. Kirby n'en mentionne
q u ' u n e seule espèce (A. Druryi, Lin. Trans. , XII, xxi , 2).
( i ) Palis. (leReauv., Insecl. d'Afr. et
d ' A m . , I, I, 2, a, 1).
(a) Les Cebrhns fuscus et ruficoUis de
F a b r i c i u s ont la forme de l'espèce (jn'it
nomme gigas. M. Lefèbvre a appor t é la seconde
de Sicile. Le Cehrio femora tu s de
M. Germar n'appartient point au genre
Anelastes de M . Ki rby, ainsi que je l'avais
d ' a b o r d soupçonné.
(«) l'I. 3t, llg. 3a.
(3) Le troisième est plus long qvic le précédent
et le suivant , tandis que, dans les
Cébrions , ret article et le second sont pins
courts que le quatrième et suivans. Ces organes
, de même que ceux des Elatérides,
semblent avoir douze articles , le onzième
étant b rusquement aminci vers le bout , et
Icrminc en line pointe, ayant l'apparcncc
d ' u n petit article coniqiie ou triangulaire.
(A) l'I. 3..
I'AMILLK DES SEIUUCOKNES.
L E S CALLIRHÎPÎS,
(CALLIRHIPIS. Lalr.)
(l'I. fig- i-)
n o m les antennes soni très rapproehées à leur naissance, insérées snr
„ n e éminenec, et à „ar l i r dn troisième artiele, forment dans es mMes un
: and éventai,. Le iernier des palpes est ovoïde. Le même des tarses est
"presque aussi long que les aut res pri s ensen.ble, et présent e enlre ses erocl.
ets im petit appendice linéaire et soyeux.
L'espèce servant de type ( r . D.jeanii^ se t rouve à Java, e t a été envoyée
a u Muséum d'histoire naturelle par M. l . iard et feu M. ÇuvauceL L j
a n t e n n e s n'ontque onze articles, et di f fèrent par là de celles des Rh.p.-
eères, qui ont bien la m ême f>gure, mai s dont les art.eles son beaucoup
plus nombreux, dans les individus du même sexe, ou les mMes.
Tantôt les tarses ont en dessous des palettes membraneuses , ou leur pénultième
article est p rofondément bilobe. de s
Dans les deux sous-genres suivans, les quatre premiers art,des d
, a r s e s on'rent chacun, en dessous, deux lobes membraneux i^« «
d e r n i e r est Ion» et terminé, entre les crochets, par un pe„t appendice
soyeux. Les antennes des uns sont composées de plus de
disposés en éventail ; celles des autres n'en ont que onze. en deut de see,
e t dont les quat r e derniers plus gros, formant une massue.
LES SANDALUS,
(SANDALUS. Knoch.)
l e s antennes, du moins celles des femelles, sont simplement un peu
, „ ongnes que la téle, composées de onze articles, dont e troisième et
" a n e d é l i e r excepté, en forme de dents de scie, et dont les quatre
I r n i e r ; , un peu plus di latés, composent une massue; le terminai estpresq
u e ovoïde, arrondi ou très obtus au bout (!)•
(,) Sa„d«UispM'ph«, Knodi,N. Bej 1 •. •V. uiger, ejusd., ibid.