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 I '"iì  INSr.CTKS  C()LlU)PTÈIlKS.  
 b l e u â t r e .  Le  cor sclcl  esl  transversal ,  rétréci  poslérieuremetU,  linemeiil  
 r e b o r d é  sur  les  côtés  el  a u  bor d  poslérieuj-,  avec  un  cnCoiicciiiiiiil  poinl 
 i l l é  de  c h a q u e  còlè,  près  des  angles  pos lér ieur s .  Lcsél.ylrcs  sonL  striées,  
 o n t  une  incision  près  de  leur  bout ,  el  d e  pelils  point s  enfoncés  dans  les  
 i n l e r v a l l e s d e s  slrics  cxlériôurs.  Ou  lui  a  aussi  douné  le  noui  de  ¡'¡«lee,  
 ù  raison  des  changemens  nombr eu x  de  ses  coideur s .  (i;  
 l / a b s e n c e  d e  tout e  dent  sensible  dans  récliauci  n r e  d u  nientou  dislijijíue  
 l e s  Carabicjues  de  la  Iroisiènio  el  de  là  dernièr e  division  de  cel t e  section  ,  
 e t  (jui,  par  la  forme  du  corps  et  le  lal)ro,  ressemblent  d'uilleui  s  h  c eu x  de  
 la  division  piécédtnle.  
 Í . E S  OPUGNES,  
 ' , ü l M l Ü > r S .  Ziégl.,  Dej.l  
 (m.  21,  >ig.  i.>).  
 Dont  les  milles  ont  les  quat r e  tarses  ant é r i eur s  fortement  dilatés  (n)  ou  
 s e n s i b l e m e n t  plus  lárices  et  généralement  {garnis  e u  dessous  de  poils  nomb 
 r e u x  et  serrés,  l'ormanl  une  brosse  cont inue  ;  le  pénultièuuî  article  n'est  
 p o i n t  bilobe.  Le  d e r n i e r  des  palpes  extérieurs  est  t ronqu é  ou  très  obtus.  
 Le  d e s sus  d u  corps  est  très  l ineme n  t  point i l l é .  Le  corselet  est  le  p lus  souv 
 e n t  en  forme  de  coeur ,  t ronqué  postérieurement.  (2}  
 L E S  STENiii.OI^HES,  
 (STENOLOl'llÜS.  ZiéfiL,  !)ej.)  
 {Pl.  
 Qui  ne  d i f lèienldes  Ophones  que  par l a  l'orme  de  l'avant-derniei'  ai'ticle  
 (r)  Voyez,  jiour  les espèces ,1e  catalogue  
 tie  la  collection  de  JI.  le  comte  Dejean,  
 ^vme  Hurpalus,  pag.  14,  et,  »[luiiit  à  leur  
 sviionvmie,  Scha-iiherr,  SYnonymia  Insec- 
 /orum,  et  la  P'auue  d'Aiilriclic  tic M.  Diiltscluiiitl. 
   Fa!)ricins  n'en  a  décrit  qu'un  pelit  
 nnmlirc,  et  parmi  It^fiueilcs  nous  <'ileroii>  
 [ri)  PI.  51,  li-.  u,u.  
 celles  {|u'il  iioiiuiie  :  calig'mosus,  riificorms, 
   liiiiotatus,  lurtlus,  hews,  analis,  ßavilaòris, 
   ele.  has  Cnralms  sij-ntUus,  hirtipi-.s  
 ile  Panzer  foul  aiis.si  |>arlie  de  ce  .soiisgenre. 
   
 (2)  rojcz  le  cai a logue  de  M,  le  eoiute  
 Dijean.  p.-.i^,  ,J.  
 Ï'AMILI.E  DKS  C:.Vtl\ASSIEKS.  '  o-i  
 d e s  qua t r e  tarses  antérieurs,  du  moins  dans  les  uiàles,  el  même  des  post 
 é r i e u r s ,  dans  quelques-uns;  il  est  divisé  jusqu' à  sa  base  eu  deux  lobes  
 («)•  ( 0  
 J . E S  ACIJPAÎ.FES,  
 (.\CÜl'ALl'US.  Lal.  —  Sloiolop/ius,  IJej.)  
 (l'i.  51,  (ig.  i-i.)  
 Dont  les  quatre  tarses  antérieurs  des  mAles  dinërenl  peu  des  postér 
 i e u r s ,  avec  les  art icles  intermédiai res  arrondis,  presque  g renus  cLveius.  
 el  dont  les  palpes  extér ieur s  se  t e rmi n e n t  p a r  u n  article  point u  au  boul.  (/"  
 Ces  (Jarabiques  sont  très  pet i t s  et  s embl en t  se  lier  avec  les  ï r é e h u s .  (2)  
 4"  J.a  qual r ième  section,  celle  des  siMPLiciiMAKES  (Simplirùnani),  se  rap- 
 | ) r o c b e  de  la  précédente,  quant  à  la  manière  dont  se  t e rmi n e n t  les  élytres;  
 m a i s  les  d eux  tarses  antérieurs  sont  seuls  dilatés  dans  les  mâle:,  sans  
 f o r m e r  néanmoins  de  palette  carrée  ou  orbiculaire;  tantôt  les  troi s  prem 
 i e r s  art icles  soul  n o t a b l eme n t  plus  larges ,  el  le  suivanl  a lor s  est  toujours  
 b e a u c o u p  plus  petit  que  le  p r é c é d e n t  (c),  tantôt  celui-ci  el  les  deux  précéd 
 e u s  sont  p lus  larges,  presque  égaux,  en  forme  d e  coeu r  renversé,  ou  triang 
 u l a i r e s  [(i) :  les  p r emi e r s  articles  des  q u a t r e  tarses  suivans  sont  p lus  gi  éles  
 e l  plus  allongés,  presque  cylindriques  ou  en  forme  de  cône  allongé  et  
 r e n v e r s é .  
 Les  u n s  ont  les  c rochet s  des  tar ses  simples  ou  sans  dentelures.  
 Ici  le  t roi s ième  article  des  ant enne s  est,  an  plus,  une  fois  plus  long  que  
 l e  |)récédent.  Les  pieds  sont  généialement  robustes,  avec  les  cuisses  
 é p a i s s e s ,  plus  ou  moins  ovalaires(«;);  le  corselet ,  mesuré  dans  sou  plus  
 g r a n d  diamèt r e  t ransversal ,  est  aussi  large  q u e  les  élytres.  
 T a n t ô l l e s  mandibules  sont  évidemment  plus  cour tes  que  la  töte,  et  ne  
 d é p a s s e n t  le  l a b r e  que  de  la  moi t i é  au  plus  de  leur  longueur.  
 [1)  Sl<-iii>lopliii.H  ruporariontm,  Dej..  
 Hiid.;  Camlms,  vapomriumm,  Liu.;  
 Tiinu.  insect.  Germ,,  XVI,  7;  Harpalitssnpoiiariiis, 
   Bufour. Du  Senegal.  
 [•x]  Les  Slenoloplias  dii  catalogue  de  
 I\I.  Dejean,  ¿1  l'exception  du  précédent,  
 .Nous  citerons,  entre  autres,  le  Carabas  
 mcrldianus  de  Linuaîus  et  de  Fabricius,  et  
 le C.  vcspcrlinus  de Panier,  XXXVI I ,  2  i .  
 («)  PI  •i..lig,  r r  
 ;//)  l'I.  ilg,  1 A.  
 (A)  PI,  21.%.  0  Pl.  c..,  iig.  5 /  
 Pl.  22,  lig.  2  « ,3«