
 
		óüü  INSECTES  COLl-OFriillES.  
 !  •  
 maxillaires  est  simplcûient  iin  peu  plus  grand,  on  cùnc  renversé  ou  
 Iriangulaiie.  ^  
 Ici  le  corselet  est  épais,  plus  étroit  que  l 'abdomen,  presque  orbiculairc  
 on  }iresque  en  forme  de  coeur .  Les  antenne s  sont  plus  grosses  vers  leur  ex»- 
 Iréinité  (rt).  Les  cuisses  sont  en  massue.  
 LES  LISTRONVOUES.  
 (LISTliONYCHUS.  Latr.)  (0  
 (i'i.52.  Iig.4 )  
 Là,  le  corselet  est  déprimé,  Irapézoïde,  de  la  lai-gcur  de  l 'abdomen  an  
 bord  postérieur,  ou  guère  plus  éiroit.  Les  antennes  sont  liliformes  ou  légèrement  
 plus  grosses  vers  le  bout.  
 LES  CISTELES  propres  
 (CiSTELA.  Fab.)  
 Ont  k  tète  avancée  en  manière  de  museau  ,  le  labr e  giiérepliis  large  que  
 l o n g ,  la  plupart  des  articles  des  antennes ,  soit  en  forme  de  cône  renversé,  
 s o l i d e  triangle,  dilatés  même  en  dents  de  scie;  le  dernier  est  toujours  
 oblong.  Le  corps  est  ovoïde  ou  ovalaire- 
 I , a  C.  Cériimljoïde  {Chrysomcla  cera7nlioiâes,  Lin.  ;  O l i v . ,  coll.  l i t ,  54  ,  
 i  , 4 ) ,  qui  pourrait,  à  raison  de  ses  antennes,  dont  les  Irois  premiers  
 a r t i c l e s  sont  plus  court s  que  les  suivans,  et  de  la  forme  en  dents  de  scie  
 d e  ceux-ci,  constituer  un  sous-gcnre  propre,  est  longue  de  cinq  lignes,  
 noire,  avec  les  étuis  d'un  jaune  roussûlre  et  striés. Le  corselet  est  presque  
 demi-Circulaire.  .Sa  larve  vit  dans  le  tan  des  vieux  cbénes  et  y  subit  ses  
 t r a n s f o r m a t i o n s .  
 L a  C.  jaunc-citron  (  Chrysomcla  suljihtirca  ,  Lin.  ;  Ww.  ,ilnd.,  1 , 6 )  (t)  
 a  une  forme  plus  allongée  que  la  précédente  Elle  est  longue  de  quatre  
 lignes,  d'un  jaunc-citron,  avec  les  yeux  noirs.  Les  étui s  sont  striés.  Les  
 ( i j Uelops  equeslris  ,  Fiib.,  et  qiielriiics  
 iiiiires  <lii ISirsil^  
 (a)  (>1.5^  iig.  (A)  li...  5 c  
 Ifdops  coliiml'iniis.  Genu,  i  
 \olax(is  Iich-olit.<,  Daim.  
 {(•)  Pl.  5-.1.  li«.  
 II)!»'  
 f : •••••- 
 l'AMILLE  DES  STENKLYTUES.  .->91  
 ariloiitics  sont  simples.  Très  commun.^  en  France,  sur  dillBi enlcs  llcurs,  
 cl  parlicnlici-enienl  sin-  celles  de  la  niille-fcuille.  (1)  
 LES  MYCETOCIIARES..  
 (MYCETOCllAKES.  l.at.  -  Hucctophila.  Gyll.,  I)ej.  -  CMiU.  l-ab.)  
 (l'I.Ss.  lig-BO  
 Ilonl  la  Iòle  ne  s'avance  point  en  manièr  e  d e  museau  , d o n t  le  labre  est  
 très  court ,  transversal  et  linéaire  ;  et  on  la  plupart  des  articles  des  antennes  
 sont  coin-ts,  presque  en  forme  de  toupi e  ;  le  dernier  est  ovOïde.  Le  
 corps,  snr lont  d»us  les milles,  est  étroi t  et  allongé,  l.es  mâchon-es  et  la  levre  
 sont  molles.  (2)  
 - l.es  aut ies  ont  le  pénul t ième  article  des  tarses  bilobéi  et  le  dernier  des  
 palpes  maxillaiies  très  dilaté,  en  forme  de  hache.  I.e  corps  est  généralement  
 plus  oblon,^.  
 l.ES  ALLECÜLES.  
 (A[.LECU(,A.Vab.)f:î)  
 (iM.Si.  fîg.  :•)  
 L;t  troisième  tribu,  celle  de  s e r i iopa lpide s  {Serropalpides) 
   (4)  est  remar([aable,  ainsi  quelannoiice  letymologie  
 de  cenoni,  par  les  palpes  maxillaires,  (pii  sont  
 souvent  dentés  eu  scie,fort  grandset  inclinés  ("). Les  antennes  
 sont  insérées  dans  une  échanerure  des  yeux,  ù  
 (i)  ro> c;Lalr.,  Geinn-. rnist. t-l insect.,  
 n ,  11.  20i5  ;  Oliv.,  i-ol. Wùil.i  Sdioenli.,  
 Synon.  insod.,  I,  n,  V - l ' t  siiiv.  
 (a)  rorez  GsW.  ,  InsiTl.  suce. •. I  ,  u  ,  
 1..5'.Vi;Lî.lr.,  iùi.l.,]^.  iSç),//f/«/«  
 lus.  La  denomination  ilo mycelophila  avant  
 .  été employée par  IM. Moi^eti  ,  j'ai  cni  de- 
 \oir  lui  siihstuiier  ccllc  de  myccloclitiivs.  
 {„)  Pl.  5c.,  lig. M  l'I  :'•{,  I.«.  I  i'.  
 (3)  Les  Alléciiles  coiUracla,  i^vnkiilata,  
 diìM.  Gcrmar  ( Inscct.  spoc.  nov.,  pajies  
 iCT,  i()4),  ont  feii lar.scsaniérieurs  Irès dila  
 tés.  
 (4)  Sccunpalpcs  ,  l"am.  nat.  dii  règne  
 anirn.  L'espress,ioiì  «le  sfn'opulpidi-s  est  
 pi'éleratile  ,  pam;  (¡n'i-llc  rappcllo  le  geiirr  
 Srrrojjaliuis,  qui  lail  parliti  de cetle  liilm.  
 S