ÏSNouïes semblables, à nés blennies, les-denis disposées? sur
un seul- rang, à; chaque mâchoire - lepalais lisse ; mais leur
corps î eomprimé etcouvei* d’épaiHesÿ les rend trèsdaeiles
à reconnaître êe, sont les Myxodes., Ils ont comme les
clinus de nombreux’rayons épineux à la dorsale; et très-peu
de moujs.
clinus ont une forme a^sez difFérentd jî»Lcaùse de leur
museau pointu, îde leur tête plus-;comprimée et fCQUVerè'e
d écaillés bien; apparentes. .Leurs dents les rendent très-
faciles a; caractérisé!?. : pelles ; sont de forme et de grandeur
in égaler g étant crochues^ écartées sur le devant delaîmâ-
choire, et en a aussi sur le
palgisj Ce gçnre: peut facilejnentxse subdiviser enfplusiêuîs
petits groupes«.Mi Cuyier a pu çn séparer assez.nettement
lesrcirrhibarbes qui inont que des dentscen-, velours ;>et
auxquels leii^s nombreux tentacules (donnent ’ un aspect
tout ^particulier*
j On peut distingùepde® clinus,. sous le nom de triptérè-
-giens, dés p^itiS.'poÛiOàSaêedâ Méditerranée , xjuKout là
.dorsale diftigé&fCç trois. nageoires;, et lès cristiceps; qui
ont un lobe (Je la do rsaleHséparé et gavan cé jusque sur
Ïo^îâpukrïi faut placer, .a coté, des cMims;nW ninivîrvkïdes
• de Lacépède [blennius gunellus Lin.), dont-les ventrales
jugulaires spnt réduites aî-tin filet d’une brièveté extrême.
Leur, luugîie ;<jOï§ale f ègnè?S|irddut fe dosfret prééenié un
caractère Unique| efelui d’ftybir; tous les rayons sans aucune
ardculànpnHfc^ilP^f^'ô.nt au dontrairedes rayons mous
©t iar^cuié^ j i leurs' dèpts-sont assez analogues à ; celles des
murénoïdes, et les Centrales sont presque autant rudimentaires*
«Utfa’fe ;
a Le s genres d o n t ; .nous venons, d e xpo sé r les caractères,
ont tous les ventrales jugulaires comme les blennies. Nous
avons un poisson-ides mers de l’Inde qui'les a sous les pectorales
j.cest“ le genre établi déduis Iôn.g-temps par M. Cuvier
sous le nohï W^^togrmthe. 11 dMfere'efi^M d^%Iehhies,
dont il a ies formes générales, parce que ,1e maxillaire êst
prolongé en une longue lamé ëtrpite'et miriçe, au-deïàjcle
l’angle de la commissure. Les dfents ‘sofit fines* et\serrées
en velours!* Ce poisson k’-trOis rayons aux ventrales,
Un autre,fort ahondant dans les meffc du Nord, l’anâr-
rhique, est un"vrai blennie sous ^foüs les* rapports; mais il
estYdu't-àrfait apode! D’ailleurs les dénis palatines en pavé
le ’distinguent de tous les autres blennoïcf es, '
"G&Vest pas le premier exemplè que' jrïâiis offrons 'dans
cet ouvrage du peùt de valeur du caractère tiré de l’orgahila-
tion ét'deda position des nageoirésyentrales^c^st p'ôurbélâ
que nous n’hésitons pas à rappxbche'r'ides blénfiiesles Icârrax
dé Pallas, malgré leur cinq rayons a laventrâlaTous leurs
autres caractères eq font'des animaux de cette^tribu. '
Nous venons dans oerdxpotë de*présenterd’unémâ^lèré
rapide et comparative les .caractères del: diffeCen^r gênrès
qui 'composent le premier* groupé de la grande ^famille’
des gobioides. Quand nous- aurons développé ces caractères
dans Imposition" dès nombreuses* espèqéS que nous
avons a faire connaître maintenant,* Je lecfëUr appréciera
mjeux les raisons qui nous'fint empêchés Tde'séparer la
tribu des gobies comme une famille distmcteJN’btis' nous
réservons ^présenter alors, dans un des chapitres suivans,
un tableau semblable* dés'genres qui sé grouperont auprès
de celui des gobies.' H
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