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■ ,et deux très-pétits et très^öus en avant ceux qui d’ordinaire portent
i des renflemens ?fun^fêraales^ âft
Dans la liqueur ce* poissoh . paraît d’un brun umforme.
; Il est long de quatre p ôuces^ e.t ’
Il fut pris en i8â î^'a la côte nord-ouest de la Nouvelle-
Hollande , pendant le /fceleve qu’en fit le capitaine King.
g1 Le S a la r ia s oryx:. -4
(Salarias oryæ, Ehrenb.) '
M. Ehrenbeif|# lappôftë de la iner Rouge ùn aupe
salarias S? crêtey remarquable par
la longueur de ses tentacules sourciliers, droits et pointus ic^oenté
les cornes de Ÿantilope.La hauteur gst six fois dans la longueur; la
îêtey est çoffiprisele même nombre de fois; le front est -arrondi ; le
profil un peu oblique et côtiiï-jf les té^eulë^.0ôureiliers «iaqjjfes;
’afeüSMfccomprimés.fl^ de plus de? - deus; tiers dte» J.a J hauteur d è la
têtëj ceux. de la nuque erde la narine extrêmement petits; la crête
à peme^m cinquième de cette hauteur: il n’a pâ^de canines. La
^ dorsâljs, peu élevée, 'à peioe^èchancrée- après les rayons épineux,
I s’unit un peu a la base de la_ caudale. •
, D . -U / ^ A. 2 3 etc. '
Ce poisson paraît olivâtre, avec sept taches ou demi-bandes d’un
olivâtre plusfancé ,nuagéuses le long du dois. La dorsale a des lignes
• obliques brunes', nombreuses, plus fines et plus prononcées sur la
<s partie molle que sur la partie antérieure;
, Nos individus sopt longs de trois pouces et demi : il y
en a de quatre.
CftAP. I IL SALARIAS..
Le Salarias da^m,.
(S fifla fiïis deynq j ïtoh. )
M. Ehrefibêig représente f pl.Jlyfig. 3 ) un salarias- quit
par l ’e^emble, tient dé ïrês-pçès aux.Tr^s! prêcéden^ mais dont le
tentacule sourcilier est d’une forme qui lu i est projwe. Samauteur
est s ix fois èt' queàque^cKosè dans sa longueur jjsa cçèté i près de
moitié de la hauteur de sa'tète , et est deux fois plus ilongue que
haute. Son tentacule est divise eù trois branchés élargies' et dentelées
a leur extrémité^ qui fui donnent de la ressemHance arveo,dé bois
A n daim; la narine en a un pètiÉJ»élargi aussiWdentelé. La aorsàle
'est fendue jusqu’à Moitié" aussi* après les'rayofis ’et^ p uxl
D. 13/11-, A. 18 ; C. 1 3 ; P ._ 1 1 ;'y S . ^
Il est. verdâtre avec des bandes-verticales d’un vert plîrs foncé,
‘-^rapprochées!en sept paires, et uiné5ftigne étroiïe vertical# aussi; entre
chaquecptôre psurr la dorsale sont1 des lign^fongitudihalesy'd^jpt
finférieure formei dés/ar^ ou des anneaux.’ Le bord de Impartie
; . Molle 'et le bord supérieur de1 la caudaleis.onf?pourpre..-,/ j
L’individu,est long de quatre pouces.‘
, Ses dents, tel W quelles "fÔnt reptelienfë’esstfr la planche
dé M* Ehrenberg, montrent que c’est un salarias et non
un blennie proprement dit. On n’y» yeifi point dé caninfes.
Le Salarias sàutelj'r. v ’
(/Salarias aUiGusj ix o b ^ ïe Blennie s 'auteiih Lacép.) i ?
Nous avons reçu de divers parages de la mer des Indçs
un petit salarias, qui nous’ paraît être celui-là mêm^-sur
lequel Commerson avài^-établi son genre laMe^is.
Il est1 grêle et alongeen pointe ; sa hauteur'est' neuf ou dix
' fois dans sa longueur; sa:téte y'èstTéfrt fois; son profil est oblique
i l . 3 a