Le Salarias de lAilXntïqtje.
( Salarias atlanticus. ) -
eaL’océan Atlantique au nord de la ligne, né noÜs a encore
envoyé qu’un seul salarias, qui ressenable extérieurement
aux blennies proprement dits les pins ordinaires, et que
l’on ne reconnaît pour ce qu’il eSLqu en examinants©# dëntsw
Il a ’été pris à Madère par M. Richardson, et aux Antilles
par M. Plée.
Sa haütetfo aux^pectorales est cinq fois dans sa longueur, &ét*
son épaisseur deux fois dans sa hauteur ; en arrière -il se termine for
peu en pointe et est tr&s^cômprimé. Salêteyaussi haute que longue,)
.• est aussi environ cinq; fois dans la lopgueur totale et a le, profit à
peu près en quart de; cercle. Indépendamment des aents mobiles
. .ordinaires-, la mâchoire inférieure a eu arnere .dmx^njnes ^rès-
longues, très^ grêles, qui rentrent dans des trous dtfpalais quand k
hüuehë se fermei Le tentacule du sourcjl, presque de la nauteur'd>e
l’oeil, est simple et très-grêle. Chaque narine eii a foi âEsomaniice,*
assez grand,'pâlnié, divisé en six brins; ÿ ÿ en a de chaqoë/lote'de'
la nuque deux très-petits, faj^rochés l’ilÈ# de l’autré. La dorsale
est continue, et laisse un petit intervalle entre elle et k caudale :
il en est de même de l’anale. La caudale- est-un peu p®intpp ,,.les,
ventrales ont à peine le douzième de la lohguæm. S
D. 11/21; A. 24; Cvdl;P.
Dans 1a liqueur, ce poisson paraît brun dé qhocokt plus pâle
nu ventrfe; sa caudale est .noirâtre au nûlieuÿ ses, bords supérieur,
et inférieur sont jaunâtres : on aperçoit une tache noirâtre.derrière
l’oeil.
Nos individus ne passent pas trois pouces et demi.
fl*ny â point à douter que ce ng soit ici le premier
punaru de Margrave_(p. i 6 5 ), qui est tout brun, n’a que
deux dents à la mâchoire inférieure, longues et semblables
àfîdesàm^tSlèsÿ-cfe asi s®Lfiÿlilin trüs-petit tentacule rouge,
kfigilre est d’âilfèü¥S ressembkbte.
Le 0 üaria!sî pE Sera.
(jÊûlariaS ^SehwTnébv/-'^ ;
Le_ Ç a b ^ g t. d u rto i!(a rte ç u ;^ q . c e lu i cj.u jS,t^jdlipjjcjgr un
p eu t salarias, qu i nous d é c r it
edrëp ré seh té pa r S eb a h et q ù ij^ ^ di|tingue j)jù| l^jpremier
ra yon d ë s a do;rs.a%, p îu s d e t a ® ^ ^ t p lu s é ^ v fq u e l é s autres.
^ S ^ m f l t^propoU^nÆ^en^^ ^ ^ ^ w mx|géc;torales, qui
k lohgùbur ’de s£? tête, West? gu|r e^îus de-quatje fois dans,^
^safl^oiî^foilr* totale ^^bÀ'péofîl est' VertfokP et''‘ConOavè. ne lui
; yoisap^Id^entacqle. Sa-,niâ(i@irfoi^^aeme a fortis c a ^ e s .
m La'qprsale' n’a qu’un^ieg^e.éphan^rùre au-aessui .du. ^uzième
, rayon, qui^èst^m^^^ourt qüq îes/^pre^^H.e. s^éleve uST peu en
atrïèfe et' s7tinrt' a la î/àsé' ae 1a fe'âliâale« Le prèutièf foyon ae la
< <!ïi^gejBîre'du do^ est -détacÈe’ et d’uhiîefs plus lon^^^lé ééüi ^fo
a 3 Ses Vëfoïaæe&Ifofo grêles et dtJciitqUïème:dé'te lOngüèur1:
' .'saf îeaudak 'a quelque chose! de plu.s.
- ISfrçJtel v. 2 -. I®
Dans-soû état actuel^a demi desséchéjtèë petit'^dlsSbfoparaït
tout’ dehdrw .
b II n’est long que de deux pouces. :
> - ;Salarias !Marron‘. . - *
b TSalarius castanéus, n^B.] :
dtt Une petite espèdè Voisine de celle de Seba> a été envoyée
de TIsle-de-Fr Rnce par M.Des^ardiûs.
.1. Blennius fronie perpendiculariter déclin, ossiculo iffrimo pirtnoe dorsabs alto.
Seba, III, 3o; '5.